Je découvre sur le blog Civitas ce que Bernard Pivot a dit de l’écriture inclusive: « C’est du scribouillage, du bricolage, du tripatouillage. On ne peut pas l’utiliser. C’est illisible, donc c’est idiot. »
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Je découvre sur le blog Civitas ce que Bernard Pivot a dit de l’écriture inclusive: « C’est du scribouillage, du bricolage, du tripatouillage. On ne peut pas l’utiliser. C’est illisible, donc c’est idiot. »
Le journaliste vedette de Canal+ est la cible d’une dénonciation publique par la journalistes Marie Portolano. Pierre Ménès est un personnage que l’on aime ou non. Mais pourquoi lui, et pas les autres?
Le cinquantième anniversaire du suffrage féminin en Suisse réactive le thème de l’inégalité salariale. Qui serait encore massive: près de 20% de différence au détriment de la classe des femmes. Mais la Confédération manipule les chiffres sous ce titre aguicheur: Inégalités salariales: les femmes ont gagné 19,6% de moins que les hommes en 2016.
Les fashion weeks, grand-messes de la mode mondiale, sont des temps de surenchère dont les médias raffolent. Surenchère dans le ridicule. Ce petit monde fermé représente le front avancé du gloubiboulga occidental.
La flamboyante ex-politicienne romande l’avait annoncé au mois de novembre dernier: elle est la nouvelle rédactrice en chef du magazine gratuit Femina. Une feuille de chou comme on en trouve aux caisses des supermarchés français, encartée dans Le Matin chaque dimanche.
Elle déploie un marketing assassin. Avec sa candeur et sa voix accrocheuse elle alimente sans complexe le mouvement néo-raciste. Et personne ne trouve trop à y redire. D’aucuns ont été condamnés pour des propos moins graves.
Vendredi je zappe sur Koh-Lanta en fin d’émission. Une participante, Alexandra, contente de son résultat individuel dans une épreuve de confort, livre ses sentiments à la caméra. On comprend que cela lui donne confiance en elle.
Gérald Darmanin est la cible d’un féminisme en pleine dérive dangereuse et antisociale: accusations sans preuve, harcèlement médiatique, manifestations-commandos de rue, jugements hâtif pour raisons idéologiques, diffamation.
Voici quelques exemples (en bleu italique) cueillis sur internet. Je ne les relève pas tous, mais ceux-ci m’ont amusé. Je ne cite pas la source pour ne pas surcharger la lecture. Ce n’est d’ailleurs pas important.
Andrea Novicov devrait-il se suicider? Ce serait la meilleure manière de disparaître. Il serait cohérent. Car le directeur du Théâtre de l’Orangerie (TO) déclare une guerre sociale et le dit ouvertement: il veut la chute du mâle blanc. Lui-même étant un mâle blanc, il doit donc rapidement se faire disparaître.
La destruction des bouddhas de Bâmiyân avait suscité l’indignation du monde occidental. Pourtant ici aussi on abat les statues de personnages ou de symboles déclarés indignes. Ici aussi des progressistes veulent effacer et réécrire l’Histoire en commençant par en exclure tout ce qui n’est pas bien.
Si en 2008 l’élection de Barak Obama m’avait enthousiasmé, certaines de ses décisions politiques m’avaient ensuite douché. En particulier les mesures sexistes qu’il avait imposé aux universités.
Cette petite phrase discrète fait mal. Ou mâle. Les tenancières du langage inclusif subissent un camouflet. Je publie ci-dessous l’infographie qui accompagne l’article qui a inspiré mon précédent billet. Ce graphe illustre, en pourcentage, l’exposition des femmes au risque du Covid-19.
Quelques mots encore sur la volonté de féminiser des noms de rues et des panneaux signalétiques. Je n’ai pas lu de débat public préalable à ces décisions. Or il y a nécessité d’un débat.
Y a-t-il nécessité à nommer de manière spécifique les meurtres commis à l’encontre de femmes dans la sphère domestique? Oui, disent des associations féministes qui demandent l’inscription du terme féminicide dans la loi. Non, ont dit les députés dans leur majorité.
Elles doivent être trop moches pour faire carrière à Hollywood. Aucun producteur n’a voulu d’elles contre un rôle dans un film. Et Weinstein, pas trop regardant sur l’exposition des chairs hollywoodiennes, est hors service.
Poursuivant sa carrière de bateleur, il peaufine sa méthode de drague. Drague politique. C’est connu: les hommes féministes se posent comme de bons protecteurs des femmes. Ils évitent ainsi la confrontation et l’éventuel camouflet d’une drague plus directe.
La question illustre un biais de société dans lequel nous sommes entrés comme des éléphants. Elle m’est venue en lisant le récent billet d’Anne Cendre. J’apprécie le ton et le regard de cette journaliste, qui tient blog ici. Pourtant un passage m’a interpellé. Un bon désaccord valant parfois mieux qu’un mauvais accord, je réagis ici à ce passage.
Il faudra peut-être créer des espaces réservés aux hommes. Et des émissions radio et télé cryptées rien que pour eux. Et des salles de retrouvailles entre mecs où ils puissent se déstresser et être solidaires quand ils sont agressés.
D’un côté le site de la Confédération helvétique tord une bonne fois le cou à cette pure invention: il n’y a pas de discrimination salariale liée au sexe entre les fonctionnaires.