Élue démocrate en Californie, militante féministe reconnue, responsable locale du mouvement #metoo, elle est néanmoins prise la main dans le sac. Ou sur le sac, plus exactement.
Féminisme - Page 8
-
Il faut sauver la soldate Garcia
-
Mort d’Alexia : il n’y a qu’une victime
Nous préparerait-on une affaire Jacqueline Sauvage à l’envers? Le meurtrier a-t-il agi dans une une sorte de légitime défense face à son épouse? Au point où l’un de ses avocats puisse affirmer qu’il y a deux victimes dans cette affaire?
-
Alcool et consentement : permis de s’accoupler à 0,5 ‰ ?
L’esprit frappeur et punisseur de l’époque pourrait y conduire, du moins dans l’absurde. Un permis pour faire l’amour? On y vient. Il pourrait prendre la forme d’un « Carnet du Consentement », comme on dispose déjà d’un carnet de santé.
-
#balancetonporc : plainte en diffamation contre Sandra Muller. Qui s’excusera ?
La journaliste qui avait lancé l’expression et hashtag #balancetonporc, Sandra Muller, est aujourd’hui l’objet d’une plainte pénale pour diffamation. De victime elle devient bourreau. En voulant donner l’exemple elle semble en avoir trop fait.
-
Oprah Winfrey, reine de la sucée d’oreille
En demandant à Oprah Winfrey de galvaniser le peuple féminin lors des Golden Globes, les organisateurs ont-ils commis une bourde? Toutes occupées à la dénonciation universelle des hommes, aucune des participantes ne semble l’avoir relevé.
-
Harcèlement ? Des femmes libèrent une autre parole… à contre-courant
Catherine Deneuve, Peggy Sastre, Catherine Millet sont parmi les premières signataires. Des femmes qui refusent l’enfermement victimaire et la chasse à l’homme. J’en reproduis le texte ci-dessous. En fin, un lien permet d’envoyer son nom pour signer.
-
Après Harvey : les Golden Globes ou la revanche des veuves d’Hollywood
Première manifestation de l’après Weinstein, les Golden Globes ont été hier une sorte de grande manifestation féministe et victimaire. Nombre de femmes présentes arboraient une robe noire, selon la consigne. Comme des veuves. Et leur parole s’est élevée haut dans la salle.
-
Les 18 %, les cinquante-cinq autres et #balancetapresse
L’année 2017 est la moins meurtrière depuis 14 ans pour les journalistes professionnels. Selon Reporters sans Frontières 65 d’entre eux sont tombés sur le terrain, principalement en Syrie et au Mexique. 65, dont…
-
Alma Pater et Matrinonne
Après les écologistes parisiens d’EELV c’est le parti de gauche Québec Solidaire qui s’en prend au mot patrimoine. Et qui le raie de son vocabulaire pour cause de genre. Le mot patrimoine serait trop masculin.
-
Résidence alternée : les caves se rebiffent
Après une timide avancée le projet de résidence alternée était en panne en France. Un nouveau projet déposé récemment a fait se rebiffer les membres du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes.
-
Gaston y a l’téléfon qui son : masculin ou féminin?
La tentative de coup d’État culturel sur le langage devrait logiquement déclencher un autre mouvement: la masculinisation des mots exclusivement féminins, donc non-inclusifs. Cette anomalie langagière doit être dénoncée devant l’humanité toute entière, femmes et hommes inclus.
-
Les 34 gueux d’Emmanuel Macron
Le président aborde son discours avec solennité. Il dit que la honte doit changer de camp. Il dit même que c’est une honte nationale. Puis il égrène quelques prénoms: Sophie, Anna, Emilie, Fatima, mortes comme 120 autres.
-
Une femme sur trois ? On s’en fiche...
Ce 25 novembre 2017 marque la mort du féminisme en tant que mouvement critique de la société. En fait il agonise depuis son retour à la case départ, c’est-à-dire à l’essentialisation des sexes-genres. Une essentialisation qui permet de mener une guerre sans merci aux hommes.
-
Le Premier ministre français bannit l’écriture inclusive
Edouard Philippe a résisté au chant des sirènes chimériques, qui affirment que l’écriture inclusive est l’avenir de la femme. Par circulaire envoyée aux Ministères, il fixe la doctrine de l’État sur les règles en usage dans la langue.
-
Femmes minces, Weinstein et Trump : la vérité est ailleurs
J’écrivais en juillet que selon une étude publiée en 2015, les hommes préfèrent les femmes minces. Une révision de cette enquête le confirme. C’est le blog américain Squawker qui relaie la nouvelle en août 2017.
-
Les Sugar Babies comptent pas pour des lychees
Pourtant on n’en a pas parlé à l’époque. Ni l’ancienne ministre Najat Vallaud Belkacem, ni les députés d’alors. Silence radio. Il a fallu cette remorque publicitaire près d’une université pour qu’elles se rappellent à notre souvenir.
-
« Les amours inclusives », ou le bordel dans la langue
Il y a tant de grâce dans la féminisation du mot amour au pluriel! Cependant le singulier est du genre masculin: doit-on comprendre que les hommes sont exclusifs dans leurs amours – un amour à la fois? Et les femmes libertines, pratiquant plusieurs relations simultanées?
-
Sexisme, racisme, charia : les nouvelles ségrégations
Le 21e siècle va tourner au vinaigre. La destruction de l’État de droit est en cours. Partisans de la charia, féministes radicales, minorités racisées, réseaux sociaux: le camp dit progressiste se déchaîne contre le fondement de la démocratie. La guerre politique et culturelle pourrait emporter même les modérés.
-
Femme, ne parle pas en mon nom (2) : un nouveau pacte
J’en viens maintenant aux deux interventions qui m’ont inspiré la présente réflexion. La première a été publiée sur une page Facebook. On y fait endosser aux hommes dans leur ensemble le double rôle d’agresseurs … et de victimes, eux aussi. Cette deuxième partie commence de manière plus conflictuelle que la première, mais comme vous le verrez c’est nécessaire.
-
Femme, ne parle pas en mon nom (1) : l’insistance masculine
Ce billet en deux parties m’est inspiré par deux interventions de femmes à propos de la difficile entente entre les sexes. L’une demandait, sous un précédent billet, à ce que les hommes luttent avec les femmes contre les déviants. L’autre voudrait éduquer les hommes.