On ne naît pas homosexuel, on le devient. C’est le thème d’une manifestation qui se déroule à Paris. L’objectif est annoncé: théoriser pourquoi et comment quitter l’univers homo.
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On ne naît pas homosexuel, on le devient. C’est le thème d’une manifestation qui se déroule à Paris. L’objectif est annoncé: théoriser pourquoi et comment quitter l’univers homo.
Contrôler le langage c’est prendre le pouvoir sur les esprits. En France, des pétroleuses en robe, de Bure, l’ont bien compris et pratiquent l’inclusion façon 1984, par l’inversion du sens: l’inclusion c’est l’exclusion.
Le Grenelle des violences conjugales s’annonce fou, fou, fou! Première folie: la généralisation. Dans la presse écrite, sur les plateaux de télé, tout le monde dit: les femmes. Pas des femmes, mais les femmes, donc toutes les femmes.
Une fake news récurrente est parue dans Le Matin en ligne. Le journal cite Me Lorella Bertani. L’avocate féministe genevoise semble sûre d’elle: « La violence conjugale tue plus de femmes que le tabac, l’alcool et la route ». Vérification.
Deux nouveaux exemples du désordre qui caractérise la féminisation de la langue française. Les partisans de la marche forcée montrent le faible degré de cohérence de leurs troupes.
La parité est anti-démocratique. C’est un forçage de la liberté de vote en faveur d’un groupe. Si l’on peut admettre qu’un parlement soit représentatif des régions, dont les besoins diffèrent entre elles, les choix politiques ne sont pas sexués – l’identité sexuée ou de genre devenant un corporatisme.
Sandrine Salerno a très justement proposé une fan zone pour les quatre derniers matches de la Coupe du monde féminine. On se demande seulement pourquoi elle s’est réveillée si tard: une semaine après le début.
À première vue ce que dit Denis Brognard est plutôt gentil pour les gagnantes. Il souligne avec insistance la présence de deux femmes en tête de la finale. Il y ajoute l’aura du petit qui gagne contre le grand. La légende de David et Golliath sert la victimisation féminine.
Le sujet a déchaîné les justiciers de Twitter. Il s’agit du clip sur le mondial féminin diffusé le 17 juin dans le JT de Jean-Pierre Pernaut. On y voit des joueuses filmées au ralenti, avec gros plans sur les mains qui touchent le ballon. Le commentaire est jugé sexiste.
J’ai encore creusé ce sondage pendant la nuit et appliqué un autre calcul. Le nouveau résultat que je livre ici laisse pantois. Rapide rappel: avec 244 dénonciations sur les 755 réponses il y a 14,68% de femmes journalistes harcelées en Suisse. On est loin des 50% annoncés en gros titres.
Selon un sondage Tamedia relayé récemment par la presse romande, environ 50 % des journalistes suisses déclarent avoir subi du harcèlement ou une agression sexuelle dans leur cadre professionnel. Les gros titres donnent le ton.
Cette jeune femme résume tout: « L’an dernier on a soutenu les garçons à fond, maintenant il faut soutenir les filles. » Elle doit avoir 15 ans et s’exprime dans un reportage sur TF1.
Ce livre vient à point pour combler une lacune. On parle beaucoup de sexisme, on le dénonce, avec raison mais aussi avec exagération. Et surtout avec omission: on ne parle presque jamais du deuxième sexisme.
Lu ce matin une chronique du Journal de Montréal signée Richard Martineau. Un esprit impertinent et très pertinent à la fois. Il commente l’action d’éclat de Madame la Maire d’un arrondissement de Montréal, Sue Montgomery.
Un ton dépourvu de manières, des paroles fortes et l’affection de sa fille: c’était Alain Delon à Cannes. Il recevait hier une palme d’or d’honneur, malgré la polémique. Il lui était reproché d’être raciste, homophobe et misogyne.
Les profs vont apprécier. Le quotidien a publié le 4 mai une tribune en soutien au mouvement des gilets jaunes. Il est signé par environ 1’500 artistes français, connus ou non. La tribune se termine par un bouquet final épicène le plus déjanté que l’on puisse lire – si l’on arrive encore à lire.
L’objet de couleur rose bonbon est actuellement présenté à la Foire de Paris. Son utilité: réduire les queues devant les toilettes des femmes, selon son inventrice, l'architecte française Gina Perier.
La star Natalie Portman s’est adressée à une assemblée de 16’000 activistes vegans à Los Angeles. Cette progressiste revendiquée et féministe notoire a fait honneur à tous les progressistes nord-américains en prenant la défense des poules en lien avec la cause des femmes.
Le président français a senti « dans sa chair » ce que vivent les manifestants des Gilets jaunes qui peuplent les ronds-points comme des jonquilles chaque samedi. C’est beau, un président pris d’un élan de compassion mystique.
Dans les manifs lycéennes pour le climat on a vu apparaître de curieuses invitations. Sur de grands panneaux portés par certaines jeunes filles, on pouvait lire quelques slogans provocateurs à l’instar du célèbre et ancien « Faites l’amour pas la guerre » des hippies.