Inondation-submersion de Duba (suite)ï : un autre avis.
En suite à ma précédente note sur le sujet, j’ai encore trouvé d’autres sources d’information pour éclairer cet épisode extrême immédiatement attribué au réchauffement et au CO2.
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Inondation-submersion de Duba (suite)ï : un autre avis.
En suite à ma précédente note sur le sujet, j’ai encore trouvé d’autres sources d’information pour éclairer cet épisode extrême immédiatement attribué au réchauffement et au CO2.
Crue de l’Arve : record ou pas ?
Je reviens sur ma note précédente pour quelques précisions. J’écrivais hier que le débit record de l’Arve date de 1885, selon un article du site du Dictionnaire Historique de la Suisse (DHS, online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/).
Saga du CO2 (16) : mais d’où viennent ces sécheresses ?
La pluie revient après des semaines de pure sécheresse. Proche de 2022 le manque d’eau inquiète. Pourtant l’automne a ramené des nuages sur l’Europe de l’ouest et de bonnes séquences pluvieuses ont bien mouillé la terre en maintes régions.
Réchauffement et sécheresse : pas de lien statistique.
Les sécheresses ne sont pas dues à la chaleur. Elles sont dues à une raréfaction des précipitations. Cette raréfaction peut être temporaire, de quelques semaines à quelques mois, ou durables et se compte en années ou en dizaines d’années.
Suite à mon précédent billet sur la campagne d’Extinction Rébellion (XR), je précise ici un point: le risque d’inondation du quartier de la Jonction par l’Arve.
On n’a jamais vu ça, disent des habitants. Ils disent toujours ça. L’important c’est l’émotion, pas la vérité. Et aujourd’hui nous vivons sans plus de références au passé, donc ce que nous voyons, nous croyons que c’est la première fois.
Deux siècles ont suffi pour chambouler l’emprise urbaine sur les sols. En comparant la carte de Draguignan au XIXe siècle et une image aérienne récente, on comprend que les crues ne peuvent être que de plus en plus dévastatrices et coûteuses.
Sacrée fille, la Garonne. Un tempérament de garçonne quand elle dévale les pentes des Pyrénées. Elle est connue pour ses excès. Et cela ne date pas d’hier. Son nom signifie soit La rivière caillouteuse, soit pour les Celtes La rivière de l’Eau (en tant que divinité). La mère des rivières est aussi l’une des plus dangereuse.
Vite formée, courte mais intense, Alex est une tempête d’automne au trajet particulier. Née au large des côtes françaises, elle traverse la Bretagne vers le nord. Le 2 à 11 h du matin elle est sur la Manche (image 1, clic pour agrandir. Source: earth.nullschool).
Le réchauffement n’est qu’une cause mineure de la submersion récente de Venise. Il est pourtant accusé en titre dans de nombreux médias. La dilatation et la faible élévation des océans ne peuvent concurrencer les autres raisons, bien connues.
Quelles côtes européennes seront submergées par les restes de l’ouragan Lorenzo ? Submergées : le mot est paru dans la presse. On pense aussitôt à la tempête Xynthia lors de laquelle la mer avait pénétré profondément dans les terres.
Records de pluviosité, inondations, températures plus fraîches que la moyenne: le printemps 2016 sort des standards pour se situer dans les premiers de classe. Pas partout cependant. Si l’Europe de l’ouest a pris sa douche, quelques poches ont résisté à la déferlante humide.
Les orages exceptionnels de samedi en Côte d'Azur sont ce que l’on nomme un épisode cévenole. Du costaud. En début d’automne de l’air chaud associé à une dépression ibérique se charge en humidité sur la Méditerranée et se heurte aux reliefs régionaux: Pyrénées, Massif central, Alpes. Les nuages y déversent toute leur eau, qui coule ensuite vers la mer.
Peu à peu d’autres informations sur le climat sont rendues publiques. On a vu que la banquise antarctique s’étend et s’épaissit malgré le réchauffement. Pourtant même l’ONU se sert du réchauffement comme d’un fourre-tout et peint l’Apocalypse à notre porte.
Katrina est passé il y a exactement sept ans. Ce fut un désastre. Aujourd’hui, sept ans après jour pour jour, c’est l’ouragan Isaac. Il a touché la côte et traîne sur la ville inondable. Il est classé en catégorie 1. Moins fort qu’il y a sept ans selon la météo. Mais les témoignages sur place le signalent plus fort qu’attendu.
La tempête tropicale Lee n’a pas la force d’un ouragan. Katrina était de force 5, Lee pas (encore) de force 1. Le risque de grandes vagues et d’élévations importante du niveau de la mer est sensiblement moindre. Les vents eux-mêmes ne soufflent «qu’à» 80 km/h.
«La jeune morte saute à pieds joints dans une flaque de lumière.»
Quinze ans après elle n’en finit pas. Elle n’en finit pas d’habiter sa vie. Sa vie à lui, qu’il a choisi d'habiller de mots pour en comprendre la nudité lumineuse. Quinze ans après «La plus que vive», elle n’en finit pas de mourir. Et lui de vivre.
Les inondations dans le Queensland s’amplifient. A Rockhampton, ville de 75‘000 habitants, la crue a atteint 9 mètres de hauteur. La vue aérienne de la Nasa montre la ville prisonnière d’une sorte de lac intérieur plus grand que la ville elle-même (cliquer pour agrandir). Une bonne partie de Brisbane, troisième ville du pays, est sous les eaux et le fleuve monte encore.
Aujourd’hui c’est Science et Avenir de septembre qui est à l’honneur.
Le premier ministre pakistanais a fait aujourd’hui un premier bilan économique après les inondations dramatiques du mois d’août. On sait déjà que le pays mettra très longtemps à se relever de cette catastrophe. L’étendue des destructions est au-delà de ce que le monde a connu depuis très longtemps. Et si la mortalité est moindre qu’a Haïti par exemple, les conséquences humaines et économiques commencent à peine à être évaluées.