- Mais non!
- Mais si!
- Tu exagères.
- Du tout.
- Je ne te crois pas.
- Je m’en fiche.
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Avant de faire un aveu terrible, cette information: en France une initiative lycéenne a été reprise par l’Académie de Nantes et par le Ministère de l’Education nationale. Elle invite les lycéens à porter une jupe et du rouge à lèvres le 16 mai, pour, selon eux, «lutter contre les discriminations sexistes».
Nous avons vu que la violence de genre est la racine profonde, essentielle, permanente de l’idéologie. Les termes employés en 2014 ne diffèrent pas de ceux des années 1970. Il est toujours question de supposée suprématie masculine, de privilèges patriarcaux, de domination et d’oppression masculine, de solidarité entre femmes contre l’oppresseur.
La France donne actuellement l’exemple désolant d’une gauche vidée de toute substance et à la dérive. Tenter de remettre le couvert de théories contraignantes ou volontaristes, soutenir sa rhétorique productiviste teintée d’un progrès dont on ne comprend plus le sens, ne cache pas qu'elle est une grande malade.
Encore une journée «de». Une de ces journées où pendant 24 heures tout est supposé être dit sur une problématique. La télé en parle (parfois), les politiques descendent dans l’arène s’il y a des voix à gratter. Et le lendemain on a l’impression que l’on a fait un petit pas pour l’homme et un grand pas pour l’humanité.
C’était prévu, cela se précise. Les députés français se prononceront dans les prochains mois sur le nouveau projet de loi concernant la prostitution qui criminalise les clients. Le but est de faire du client un délinquant. Des associations de travailleuses du sexe s’opposent à ce projet.
Sœur Mireille Vallette se dévoile en messagère du nouvel évangile. Elle l’écrit sous son billet Burqa Blues: le féminisme a été sa Révélation (avec un grand R, image 1 - cliquer pour agrandir) à l’âge 25 ans. Révélation? Le mot fait référence au dévoilement de choses cachées. Il est en particulier utilisé à propos des religions dites «révélées». Cela demande réponse.
D'abord l'information suivante: j'ai créé un deuxième blog, centré sur la politique et la vie à Genève. A découvrir ici avec en deuxième article le Parti Pirate.
A lire toutes affaires cessantes: la marxisation de la société va se répandre dans l’école française dès l’âge de 6 ans.
Je propose aujourd’hui un article d’une grande limpidité sur l’idéologie du genre, écrit par Alexis Aguettant sur son site Homme Culture Identité, dont je recommande la visite. Les enjeux politiques et culturels sont ici parfaitement résumés.
Amina est la jeune femme tunisienne incarcérée pour profanation d’un cimetière, puis libérée dans l’attente de son procès. Elle se déclarait membre des Femen. On se souvent que d’autres membres de la secte avait manifesté seins nus à Tunis pour sa libération, portant atteinte à la culture du pays.
La Suisse veut donc ratifier le protocole d’Istanbul sur la violence faite aux femmes, suivant en cela les lobbies ultra féministes. Cette convention «sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique est la première à prévoir, au niveau international, une protection des femmes contre toutes les formes de violence, y compris les violences domestiques.»
Mais à quoi donc servent les seins? A attirer le regard des hommes! Oui, oui, mais pas que. Ils servent aussi à allaiter. Oui, on sait ça aussi. Mais encore? A avoir inventé le soutien-gorge. Nan! Vous n'y êtes pas. Vous donnez votre langue au chat?
Un auteur féministe suédois, Maria Sveland, a inspiré un rapport qui a été remis au conseil des ministres des pays nordiques. Ce rapport contient une proposition explosive et de même nature que les revendications des intégristes de la charia: la féministe veut rendre illégale la critique du féminisme, comme si c’était un crime de haine.
La presse aime avoir sa dose de cul et le groupe des Femhaine la lui donne. En échange la complaisance de certains médias à les montrer et à faire gonfler la bulle de ce groupuscule est sans limite. La complaisance de la justice et des autorités également. Cela va peut-être changer: le vrai visage des Femen apparaît sous le masque blond.
Depuis des temps immémoriaux les femmes se sont approprié symboliquement le corps des hommes. De deux manières. L’une est la création du couple, avec tout ce qui l’accompagne: la fidélité, le travail pour la famille et la mise en péril de sa vie pour défendre sa petite communauté. La survie et l’expansion de l’espèce en ont certainement profité: la stratégie féminine a été gagnante.
Une nouvelle étude statistique publiée en France concerne les accidents de la route. Selon les chiffres les hommes conduisent plus dangereusement. «Si les hommes conduisaient comme les femmes, il y aurait donc moins de victimes sur nos routes», affirme la Préfecture de police. Le magazine Elle, qui commente l’info, précise: «75% des morts sur la route sont des hommes et parmi les 25 % de femmes, 32% d’entre elles étaient passagères». Et encore: «En 2012, trois quarts des accidents de la route à Paris ont été causés par des hommes, révèle ainsi la préfecture de police. Sur les 6 329 accidents recensés l’année dernière, seulement 1 542 femmes, soit 25%, sont « présumées responsables.»
Un ami soulève hors blog un paradoxe à propos de Dominique Strauss Kahn. Ce n’est pas le moindre des paradoxes dans une affaire qui atteint aujourd’hui un sommet de confusion. J’y reviens car cela concerne des choix de société sur lesquels la réflexion ne peut être que progressive, par étapes, allant dans de nombreuses directions.
Mon précédent billet fait référence à certains slogans vus ou entendus lors des manifestations en faveur du mariage homosexuel. J’y soulève la connivence entre ces slogans, la misandrie développée dans notre société et les milieux lesbiens en particulier. Le député genevois Didier Bonny pense que mes propos sont déplacés. Je vais donc préciser ma position et creuser la tranchée.
Divers groupes se revendiquant du féminisme (à tendance radicale, le seul que l’on entende aujourd’hui) ont fait alliance avec des mouvements gays, lesbiens, transsexuels et bisexuels (LGTB). Les récentes manifestations en faveur du mariage pour tous à Paris l’ont encore montré.
La révolution culturelle qui a suivi mai 68 a fait prévaloir certains concepts relevant davantage des facultés que l’on nomme aujourd’hui féminines. Par exemple dans l’éducation, la prévalence était à la liberté plus qu’à la discipline et à la sanction. Dans la justice, on a mis en avant les humiliations subies dans leur enfance par des criminels parfois plus que leurs crimes et leur propre responsabilité. On est dans le soin, la thérapie, le «care», le maternant, pas dans la sanction.
J’ai parlé il y a quelques temps de la seule conférence sur les hommes, en l’occurrence les hommes battus, dans le cadre de la quinzaine de l’égalité Rhône-Alpes. J’avais mentionné comment le groupe organisateur avait été boycotté dans le programme alors même qu’il avait été accepté et même petitement subventionné dans cette manifestation organisée par des élus régionaux.