Ça balance pas mal à Paris. L’affaire Hanouna n’en finit pas de faire des vagues. Avec un possible retour de boomerang sur les accusateurs, au vu des derniers développements. Le Refuge en a-t-il trop fait?
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Ça balance pas mal à Paris. L’affaire Hanouna n’en finit pas de faire des vagues. Avec un possible retour de boomerang sur les accusateurs, au vu des derniers développements. Le Refuge en a-t-il trop fait?
Je suis surpris par le dernier billet (lien ici) du blogueur Didier Bonny. Je pourrais répondre sur son blog car j’ai eu l’occasion de constater par moi-même qu’il est toujours ouvert au dialogue, courtois et qu’il ne refuse pas la confrontation des idées.
Polémique en Suisse. L’évêque de Coire, Vitus Huonder, s’est exprimé en citant un passage de la bible, précisément du Lévitique : «Quand un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable; ils seront punis de mort: leur sang retombera sur eux.»
Chaque société se donne les règles qu’elle veut et les fait évoluer. Il y a des standards communs, par exemple l’esclavage est aujourd’hui rejeté par la plupart des sociétés. L’auto-détermination et la liberté individuelle sont des règles qui essaiment. Mais le désaccord sur certaines évolution doit rester possible sans anathème.
Repère 2
Racisme, sexisme et homophobie sont les mamelles délétères de la modernité. Ces trois accusations sont mises à toutes les sauces et invoquées dès qu’un mot déplait. Elles servent avant tout à se rassurer, à faire allégeance aux nouveaux dominants et à stigmatiser. Elles illustrent le désordre intellectuel profond de notre société et l’incapacité de certains à penser autrement qu’en slogans et émotions. Elles justifient également la peur des mots et de la liberté qui règne aujourd’hui dans le monde.
L’excellent magazine en ligne et papier Causeur a fait un premier bilan du mariage homo un an après son instauration en France. Il rappelle d’abord que le mariage gay a aboli le droit fondamental et anthropologique à une double filiation paternelle et maternelle. Puis l’auteur, Pascal Bories, livre quelques chiffres et observations.
«Quelles sont tes pratiques sexuelles? Buccale? Anale? Vaginale? Avec des hommes? Des femmes? Avec les deux? Autres?» C’est le tableau de la diversité sexuelle proposée par le gouvernement aux enfants dès onze (11) ans. Sous prétexte d’éducation sexuelle et d’idéologie du genre les profs sont aujourd’hui contraints de parler très tôt des aspects les plus minoritaires de la sexualité, voire d’inciter des gamins pré-pubères à oublier leurs livres pour mettre la main dans leur slip, avec la bénédiction de l’autorité pédagogique.
Les mots ont un sens et l’esprit de l’époque, prompt à stigmatiser, ne doit pas conduire à inhiber l’analyse et la critique. Il est permis de mettre en cause ce qui se présente comme un progressisme, alors qu’il s’agit autant d’une déconstruction d’acquis culturels et sociétaux que de libéralisme philosophique.
Les Verts libéraux lancent une initiative parlementaire en vue de rendre possible le mariage entre personnes de même sexe. Le débat français, dont on se souvient encore de la violence et de l’incroyable stigmatisation subie par les opposants, va donc trouver une suite dans notre pays.
Les nouilles seront-elles le nouveau champ de bataille entre hétéros et homos? A ceux-ci les Panzani, à ceux-là les Barilla? C’est possible. A cause d’une pub et d’une petite dictature LGBT au Canada. Voici l’affaire.
Il y a quelques jours paraissait une information selon laquelle les actes d’homophobie avaient augmenté ces derniers temps au Cameroun. La politique du pays est ouvertement opposée à l’homosexualité.
Comme le chante Cabrel: «Et ça continue, encore et encore». Ces sempiternelles et stupides accusations sont en passe de devenir l’un des must du politiquement correct. Aujourd'hui c'est Nicolas Bedos la cible.
En ces temps troublés l’anathème préféré est «homophobe». Discuter le mariage gay, a fortiori le contester, fait de vous un paratonnerre ou un cactus dans le désert d'El Paso: vous attirez immanquablement la foudre, ou les foudres du clan des stigmatiseurs. Homophobe a même détrôné islamophobe dans le top 5 du stigma. Waow! Ça change tout!
Le débat périphérique sur l’homoparentalité tourne autour de la question suivante: discuter de ce projet de société est-il ou non une marque de rejet à l'égard des personnes homosexuelles? Est-ce une forme de discrimination ou de racisme, comme on l’entend régulièrement reprocher?
Divers groupes se revendiquant du féminisme (à tendance radicale, le seul que l’on entende aujourd’hui) ont fait alliance avec des mouvements gays, lesbiens, transsexuels et bisexuels (LGTB). Les récentes manifestations en faveur du mariage pour tous à Paris l’ont encore montré.
Quel paradoxe! Le quotidien Libération, à l’origine défenseur de la liberté intellectuelle et d’expression, est devenu chantre de la stigmatisation. Comme n’importe quelle feuille de chou réac et facho. En effet il lance un observatoire des propos homophobes. Il s’agit d’une collection de propos tenus par des personnalités publiques en France autour du projet de loi «Mariage pour tous».
Gainsbourg avait chanté l’homme à la tête de chou, sans préciser quel chou. Salvador Dali avait d’autres audaces que légumières. Quant aux injures classiques, le brocoli ne semble pas y figurer. Que lui -a-t-il donc pris de traiter un de ses copains de «tête de brocoli»? Et d’être fiché à vie à cause de cela?
Aujourd’hui les affiches: Libéral-Radical, Sauvez-laci et Jeunesses socialistes. C’est du lourd. (Première partie ici). Cliquer sur les images pour les agrandir.
Le rappeur américain Trick Trick a sorti un nouvel album. Pas anodin comme info lue dans Le Matin du jour: il y fait l’apologie du meurtre contre les homosexuel-le-s.