L’Afrique et l’Histoire.
Le chanteur Gims fait polémique avec ses déclarations sur l’électricité au temps des pharaons et sur le fait que l’on ne connaît l’Africain que depuis l’esclavage.
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L’Afrique et l’Histoire.
Le chanteur Gims fait polémique avec ses déclarations sur l’électricité au temps des pharaons et sur le fait que l’on ne connaît l’Africain que depuis l’esclavage.
Voitures électriques : l’Allemagne fait marche arrière.
On croyait l’affaire pliée: l’Europe serait en tout électrique dès 2035, à quelques exceptions près (p.e. voitures produites à moins de 10’000 exemplaires). L’Union Européenne devait voter le 7 mars sur l’interdiction définitive de vente d’automobiles thermiques à partir de cette date.
Je rebondis sur le dernier billet de Philippe Meyer. Il tient le blog PremiAirClasse sur le traffic aérien. Dans ce billet il s’exprime sur notre irréductible besoin de voyager.
Dans mon précédent billet j’exposais une recherche faite au début sans idée particulière: comparer l’impact de la Covid dans trois pays d’Afrique à la situation en Suisse.
J’ai repris et modifié un ancien texte sur l’Afrique, celle que j’ai connue il y a quelques années. C’est une manière de réponse au film Black Panther dont je parlais précédemment.
Ce devait être une ode flamboyante contre le racisme et une résurrection de l’afrofuturisme au cinéma. Un max de femmes et de personnages blacks et une thématique supposée antiraciste. J’en ai vu quelques moments lors d’une récente diffusion télé.
Cela a commencé avec l’assèchement du Sahara, qui était vert jusqu’à environ 6’000 ans BP (Before Present). Des rivières y coulaient. Le Lac Tchad était presque une mer intérieure avec 26’000 km2.
Images saisissantes de la prolifération de déchets en plastique. Il y a une rivière dessous. On ne la voit plus, ou presque. On la devine. Et l’on se demande comment une telle pollution peut continuer.
Cette prédiction de Guillaume Barazzone date d’il y a un an. Selon Le Dauphiné, le Conseiller administratif de Genève affirmait: « D’ici à 2050, Genève pourra avoir des températures qui sont celles de l’Afrique du Nord aujourd’hui. » Avant de flipper en imaginant le Sahara à Bernex, une petite vérification s’impose.
Le futur c’est le passé. Par exemple, replanter des arbres pour les génération futures c’est se donner l’objectif de revenir à des périodes bien antérieures à la nôtre. Et pourquoi pas? N’est-ce pas de notre responsabilité de laisser à nos enfants un monde vivable, comme on dit aujourd’hui?
Après une semaine de panique médiatique on sait que la forêt amazonienne ne brûle pas. Du moins pas comme on se représente habituellement un incendie de forêt. L’image (1, clic pour agrandir) publiée par la Nasa est un leurre et un facteur anxiogène.
L’intention des rédacteurs du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières est certainement bienveillante. On pourrait le résumer ainsi: sécurité pour les émigrants, liberté pour les accueillants. Alors pourquoi tant de résistances?
J’ai lu l’hommage à Frantz Fanon republié sur le blog de Continent Premier. Le texte est signé par Hamidou Dia, philosophe et écrivain sénégalais décédé cette année. Il offre à réfléchir sur quelques notions très actuelles.
Nick Conrad, rappeur noir parisien, vient d’accéder à la notoriété avec une chanson iconoclaste: « PLB». Musicalement c’est une daube. Pas étonnant, c’est du rap.
Fallait-il crier Vive l’Afrique! après la victoire française? Pour certains cela vient d’un bon sentiment: célébrer l’origine des « Françafricains », ces joueurs à peau noire titulaires chez les Bleus. On voudrait associer un peu le Continent Perdu aux lumières de la victoire.
Lentes à venir, les premières dénonciations de la vente de migrants par des libyens sont surtout due à des hommes. Et des hommes d’origine africaine, artistes et intellectuels principalement.
Je réponds aujourd’hui à cette question posée sous mon avant-dernier billet (voir ici, ici et ici). Je n’ai pas de solutions mais des pistes de réflexion. La réflexion doit être menée par tous les acteurs concernés. En attendant, chacun peut apporter sa contribution et soumettre ses idées à des regards critiques.
Comment maximiser les gains des passeurs? En noyant régulièrement quelques centaines de migrants. Cela produit presque automatiquement l’augmentation du nombre de bateaux ou de missions des ONG qui viennent secourir ces derniers. Et donc le nombre de passagers qui peuvent traverser. Le pont flottant vers l’Europe est en place.
En complément à mon billet précédent je propose quelques extrait d’une interview de Bill Gates au journal allemand Welt am Sonntag. Le choix d’un média du pays d’Angela Merkel n’est pas anodin.
On parle aujourd’hui de marché et de trafic. Les migrants sont une denrée monnayable. Ils ont une valeur non négligeable puisque Frontex, organisation européenne de contrôle des frontières de l’UE, estime que le trafic génère entre 4 et 6 milliards d’euros annuels.