Mélenchon soutient les Calédoniens « de souche »
Kanaks contre Caldoches, ça recommence dans la fureur et le feu. Plus que les causes supposées et évoquées je regarde l’instrumentalisation politique de cette violence.
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Mélenchon soutient les Calédoniens « de souche »
Kanaks contre Caldoches, ça recommence dans la fureur et le feu. Plus que les causes supposées et évoquées je regarde l’instrumentalisation politique de cette violence.
Mélenchon - Le Pen : le grand renversement.
Cela pourrait être la fin de parcours pour Jean-Luc Mélenchon. Il faut l’entendre faire des contorsions de langage pour éviter de nommer les tueurs du Hamas des terroristes. Il fait semblant de croire à ce qu’il dit, donne de la voix pour rétablir son autorité, mais cela ne marche plus.
Le Hamas et la gauche française.
L’attaque d’envergure contre Israël par des terroristes du Hamas s’inscrit dans une longue suite de tentatives de détruire l’État d’Israël. Celle-ci était annoncée par un responsable du Hamas en 2022 déjà: « La prochaine guerre contre Israël n'est qu'une question de temps. »
Sondages en France : la Marine toutes voiles dehors.
Deux sondages (Ifop et Elabe) viennent de tomber en France, est les deux disent la même chose: Marine Le Pen gagnerait la présidentielle par 55 % des voix conte 45 % à Emmanuel Macron. Ceci au cas où l’élection aurait lieu aujourd’hui.
Il n’y a que les idiots qui ne changent jamais d’avis. Et l’avocat-ministre M. Éric Dupont-Moretti (EDM) n’est pas un idiot. Donc il change d’avis.
À gauche les divorcés se rabibochent, à droite les fiancés se tapent sur la caboche. Drôle de spectacle. C’est la politique. Tous les coups sont permis.
Les résultats d’hier soir sont presque conformes aux sondages. Presque car Valérie Pécresse et Éric Zemmour sont plutôt sonnés.
Christiane Taubira tire sa révérence. Trois petits tours pour pas grand chose. L’icône socialiste mord la poussière après avoir gagné sans vrai programme la « primaire citoyenne » – euh, la primaire de gauche hors des partis habituels.
Trop c’est trop. Trop d’excès de langage et de comportement. Le tribun populiste, dont la marque de fabrique semble être la crise permanente, chute dans l’opinion. Le socle contestataire qu’il a alimenté de sa personnalité colérique et autoritaire s’effrite sous l’effet de ses propres rodomontades.
La France Insoumise se soucie du climat. Du moins électoralement. Dans un article non signé et sourcé sur Le Monde, la section du Midi de LFI tenait une communication hasardeuse. C’était en 2012. Six ans plus tard la page internet est toujours là.
L’annonce d’un blessé grave, avec flaques de sang, coma – et qui sait: mort? – a été finalement démentie. Quelques soubresauts agitent cependant encore certains acteurs de cette intox.
Il était presque touchant Mel E, quand il déclarait, avec une moue d’amertume, qu’Emmanuel Macron avait le point. Le combat contre la Loi travail a échoué. Pas d’union entre la France Insoumise et les syndicats. Pas de mouvement étudiant. Et si peu de monde dans la rue.
Retour de la chienlit dans l’hexagone? Moins de six mois après son élection Emmanuel Macron doit faire face à la rue, et à la route. La rue c’est le Spice Boy Mel E., alias Jean-Luc Mélenchon. La route ce sont les routiers.
Seule la victoire est belle. Benoît « Grande-Oreilles » Hamon, candidat du PS à la présidence, est éliminé sans ménagements. Sa ligne pointant vers la gauche dure et son charisme d’asperge l’avaient placé sous les 7% de voix le 23 avril. Une débâcle historique.
Le plus comique en ce moment c’est François Fillon: il refuse de rendre aux Républicains les millions non utilisés de sa campagne. Il est vrai que désormais il doit payer ses costumes lui-même. Mais sourions aussi de cette France aimée, plongée dans son psychodrame quinquenal.
La République en marche a fait son show hier, avec un succès certain. Une première fournée de 426 candidats prêts à se faire dorer – ou carboniser – en place publique au mois de juin a été présentée. De la jeune pâte bio du jour, pas un vieux grain moulu et vermoulu.
On le disait déprimé. Trop atteint par sa défaite. Pétri d’une amertume indicible. On se demandait par où il allait resurgir, et si même il allait resurgir. Le revoilou, pimpant comme un diable à ressort qui ressort de sa boîte.
L’as des As(selineau) sort de sa posture immobile. Son masque de cire fond. Il vit, respire, s’emporte. Interviewé, le ton monte. Il crie. Puis hésite. Reste bouche bée… avant d’engueuler le journaliste et de déployer ses ailes sur un air de printemps. Que s’est-il passé?
Le discours de Jean-Luc Mélenchon me laisse toujours très critique. Je ne parle pas seulement des contradictions de comportement, déjà abordées précédemment. L’une d’elles étant la posture d’homme providentiel qui a réponse à tout, et qui invective plus qu’il ne dialogue quand il est contredit – posture très monarchique. C’est un long chemin d’intégrer en soi ce que l’on prétend. Il n’en est pas là.
Jean-Luc parle de bonheur et de France heureuse. Marine dans ses trémolos porte tout le malheur du monde. Si j’étais français ce ne serait ni l’un ni l’autre. Les deux sont trop étatistes et leurs bouches sont prêtes à mordre.