On en se rend pas assez compte de l’énormité qui est advenue il y a 2’000 ans. Dans une société décrite comme très patriarcale et supposément esclavagiste des femmes, l’histoire de Jésus est un grand coup de pied dans ce que la modernité dit du passé.
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Jésus, ce fils d’un couple moderne
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Dieu choisit les siens, Bloomberg en est
Dieu joue-t-il aux petites voitures? Je n’en sais rien. Mais il jouerait au gros ouragan. Je l’imagine là-haut - ou ailleurs, car il a le bras long - tenant dans sa main Irène (l’ouragan, pas une femme!) et le faisant glisser d’île en île, de mer en terre, le serrant pour augmenter les vents et faire jaillir la pluie, ou le desserrant pour préserver quelques humains au passage.
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Naturellement bon, l’humain?
Vaste débat qui agite les esprits depuis des siècles. Naturellement bon signifierait spontanément bienveillant, porté à rendre service et à faire du bien plutôt que du mal. Jean-Jacques Rousseau avait lui-même écrit: «L'homme est naturellement bon, c'est la société qui le corrompt.» Je ne compte pas analyser la pensée du philosophe, mais poser quelques questions autour de ce thème de «l’Homme bon naturellement».
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L’iniquité du monde
Pourquoi le monde est-il comme il est: pourquoi les êtres vivants se mangent-ils entre eux? Certains animaux en dévorent d’autres pour survivre. Les bactéries parasitent d’autres organismes. Les humains se «mangent» aussi par les guerres ou l’esclavage.
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600’000 kilomètres de plus sont visibles
On ne peut pas vraiment dire où nous sommes dans l’univers. Sauf bien sûr dans la galaxie de la Voie lactée. Mais sommes-nous près du centre, de l'univers, s’il y a un centre? Ou en bordure? Et dans ce cas qu’est-ce qu’une bordure d’univers?
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Prostitution: l’Etat proxénète ou l'Etat-bouc?
Il paraît que le régime politique des pays occidentaux est le libéralisme. Il paraît. Parce que c’est de moins en moins visible dans certains pays. Initialement le libéralisme est une philosophie politique qui au 18e siècle s’opposait au pouvoir absolu de la monarchie. La liberté de l’individu primait sur toute imposition de l’Etat et lui conférait la responsabilité personnelle de ses choix de vie. Cette philosophie a été largement soutenue par les socialistes du 19e siècle.
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Le paradis, ça rapporte gros
Actuellement cela doit déjà rapporter environ 18 millions d’euros. Et ce n’est pas fini. Il faut dire que ce paradis-là est magnifique. Un 6 étoiles! Pensez donc: «Le paradis est plein de couleurs, il n'y fait jamais sombre, ses portes sont d'or et de perles.» Et puis on rencontre le trône de Dieu au paradis, comme si c’était au magasin du coin: «Oui, et il est vraiment gros.»
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Mais pourquoi donc dieu nous fait-il la guerre?
Une chose me fait question depuis longtemps, depuis le temps où je lisais la bible en croyant à ce qui s’y disait: pourquoi dieu fait-il autant la guerre aux humains? Soit il guerroie contre les «incroyants» - entendez ceux qui ne se prosternent pas devant lui - et pour cela ses fidèles sont instrumentalisés comme son bras armé. Soit il fait la guerre à ses propres adeptes en les soumettant à la tentation, en leur promettant la plus grande souffrance s’ils agissent selon leur propre morale.
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Religions révélées: qui valide qui? (2)
Une des grandes questions, la deuxième que j’aborde après mon billet d’hier, est la notion de validation, voire de vérification. L’intelligence est données aux humains comme aux animaux pour déterminer ce qui est bon pour eux et ce qui ne l’est pas. Cela suppose donc de: recevoir une information, la comprendre, se donner les moyens de la vérifier, voir de qui elle vient, et qui valide cette information.
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Bible et coran: c’est l’Homme qui perçoit Dieu
Un commentaire de Sami Aldeeb sous mon billet d’hier propose un renversement de perspective nécessaire dans tout débat sur la spiritualité: «La révélation n'est pas la parole de Dieu à l'homme (et donc intouchable), mais la parole de l'homme sur Dieu.» Ce renversement de perspective offre des perspective libératrices par rapport à l’emprise des religions.
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Adam et Eve: relecture du péché originel
Le mythe d’Adam et Eve est peut-être un de ceux qui ont fait couler le plus d’encre. C’est à la fois une tentative d’explication de la souffrance humaine (la chute du paradis), de l’incomplétude (apparition de la sexualité et reproduction en chaîne) et un modèle - tendancieux - du couple. C’est aussi une mise en perspective du sentiment de culpabilité vécu spontanément par les humains, avec apparition de la notion de faute, c’est-à-dire plus que d’une simple erreur de parcours mais une erreur intentionnelle, délibérée.
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Dieu est un homme comme les autres
La question de l’existence ou l’inexistence de Dieu ne trouve aucune solution par un débat. On le sait depuis le temps que les humains en débattent. Existe-t-il? N’existe-t-il pas? Autour de cette abstraction impalpable et invisible nommée Dieu, des guerres récurrentes se sont déclenchées.
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Nous irons tous au paradis (bis)
Je reprends le titre du billet de ce matin de Barbie, «the» Barbie, que vous pouvez trouver ici. C’est en effet un thème qui me court régulièrement par les neurones et qui vaut bien d’ajouter un haut-parleur à la hifi de Barbiegirl.
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Quel besoin Dieu remplit-il, et y a-t-il mieux?
Dans un mémoire de fin d’études sur la pensée symbolique, un étudiant décrit la transition de la pensée religieuse mythologique à la pensée symbolique dans la Grèce des grands philosophes. La pensée religieuse était incarnée dans la mythologie et les dieux qui la peuplaient, racontant l’histoire humaine comme on peut la lire dans diverses cosmogonies: proche de la science-fiction.
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Dieu n'a pas créé l'univers
C'est Stephen Hawking qui l'affirme dans un nouveau livre à paraître la semaine prochaine. Stephen Hawking est cet astrophysicien handicapé qui parle au moyen d'un ordinateur.
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De l’oeuf et de la poule
C’est toujours un soulagement quand les grandes énigmes de l’univers trouvent une solution, fut-elle temporaire et contestée. Ainsi l’humanité vient-elle de faire un grand pas en avant sur la question lancinante qui a hanté tant de générations. Une question qui a généré de trop nombreuses nuits d’insomnie.
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Dieu est mort... de rire
Dieu n’est pas plus valaisan que je ne suis chanoine. Mais c’est en Valais que la célèbre phrase du philosophe Nietzsche a été peinte en grand, sur la montagne: «Dieu est mort». Et c’est dans Le Matin de ce jour en page 19 que le dessinateur humoristique Racalbuto en fait un comic strip dont je m’inspire pour le titre de ce billet.
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Einstein et Dieu
S’il y a peut-être encore besoin du concept de Dieu, il est très sérieusement en voie de changer définitivement. C’est ce que je me disais en écoutant les frères Bogdanov. Nous vivons actuellement dans un système religieux poly-monothéiste. Il y a plusieurs dieux: celui des juifs, celui des chrétiens, celui des musulmans. Pourtant chaque religion prétend qu’il n’y a qu’un seul dieu. C’est la même enseigne (dieu) avec plusieurs propriétaires (les religions).
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J’ai cherché Dieu
L’homme est assis sur un banc, le regard au loin, plus loin que les murs des tours. Une petite pluie glisse entre les arbres. Les passants passent, sans un regard. S’ils s’arrêtaient ils entendraient sa voix, douce.
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J’ai cherché Dieu
L’homme est assis sur un banc, le regard au loin, plus loin que les murs des tours. Une petite pluie glisse entre les arbres. Les passants passent, sans un regard. S’ils s’arrêtaient ils entendraient sa voix, douce.