Ç'est Suisse. Ça va être cause de paranoïa. Mais il fallait s’y attendre. Pendant ce temps au Danemark un juge égalise… non les cheveux mais les tarifs des coiffeurs. Et enfin une étude vient casser les profitables croyances du pays de Misandrie.
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Ç'est Suisse. Ça va être cause de paranoïa. Mais il fallait s’y attendre. Pendant ce temps au Danemark un juge égalise… non les cheveux mais les tarifs des coiffeurs. Et enfin une étude vient casser les profitables croyances du pays de Misandrie.
On a vu dans la presse une jeune femme courir le marathon de Londres avec l’entrecuisse du legging taché de sang. Kiran Gandhi (image 1, cliquer pour agrandir) avait refusé d’utiliser une protection hygiénique alors qu’elle avait ses règles. Pourquoi? Pour, dit-elle, attirer l’attention sur la condition des femmes indiennes: seules 12% d’entre elles auraient accès à cette hygiène intime.
L’écologie sera-t-elle le dernier rempart de la biologie? Parce que les femmes et les hommes sont différents et que cela modifie les comportements sociaux. Une étude vient de le démontrer.
Nouvelle information reçue hier alors que je publiais sur le sujet : une femme condamnée à 5 ans de prison pour fausse accusation de viol. Malheureusement une de ses deux victimes hommes avait déjà exécuté 10 ans de prison pour rien. Il a été libéré en novembre dernier. Je pense qu'une fausse accusatrice de viol devrait être condamnée au maximum prévu pour le viol: 10 ans, 15 ans.
J’aime bien Rama Yade. Je l’ai déjà écrit. Et je l’aime encore plus quand elle semble découvrir le monde réel. Elle peut même dire de grosses bêtises, ce qui est un bon point. Et elle ne s’en prive pas.
« Quand j’écoutais les réponses j’étais intérieurement terrorisée qu’on était rendus collectivement à penser ça de nos maris, à penser que les hommes de nos vies sont tous violents. ( … ) Comment il se fait que collectivement nous pensions ça ? »
Dans la vidéo qui accompagne le précédent billet quelques passages méritent d’être gravés dans le marbre. Telle cette déclaration ci-dessus, exprimée par la journaliste que l’on voit au début réaliser un micro-trottoir.
D’un côté le public. De l’autre un invité. Les premiers écoutent. Le second raconte. Les premiers rient en l’écoutant. Le second ne rit pas. Le présentateur, Jeremy Kyle, s’emporte et recadre les rieurs et les rieuses. Enfin, les rieuses surtout. On n’entend pas de rire masculin.
On ne peut pas dire cougar. C’est un homme. Cougar c’est pour les femmes. Un homme attiré par des personnes beaucoup plus jeunes, ça n’a pas de nom spécial. Ou alors pédophile, mais cela ne s’applique qu’en cas de rapport avec une personne pré-pubère me semble-t-il. Ce qui n’est pas le cas ici.
Voici deux pistes complémentaires au décryptage commencé hier. D'une part il est possible que la forme épicène (doublement sexuée) du langage soit déjà en perte de vitesse. Quant à la grammaire française, la qualifier de sexiste est un mauvais procès d’intention.
Les crimes sexuels ou assimilés font le bonheur des moralistes. Ceux-là mêmes qui descendent des générations libertaires du XXe siècle. Celles-là même dont les mères s’allongeaient par plaisir quand un homme les séduisait. Je reviens donc sur ce sujet très à la mode.
L’information circule depuis cinq jours en France et est venue jusqu'à nous: 100% des femmes seraient harcelées ou agressées sexuellement dans les transports publics terrestres. Un résultat digne d’une dictature. C’est le contenu du rapport produit récemment par le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh).
Lu dans Le Matin dimanche de ce jour.
Pendant que Chelsea mouline, Angelina veut un vrai homme. Et les ouragans sont sexiste. Parole du Matin dimanche. Voyons cela.
Les dernières élections françaises ont vu l’instauration de la parité sous la forme d’un binôme. Deux candidats, une femme et un homme, se présentent ensemble pour le même siège. Et au final très peu de femmes sont élues présidentes des départements.
Il y a quelques jours le gouvernement genevois livrait son bilan de la criminalité. Avec une certaine satisfaction puisque les chiffres sont en baisse. Voyons ce que disent ces chiffres dans le domaine particulier et sensible des relations femmes-hommes.
Les femmes et les minorités seraient des sous-espèces de l’humanité. En tant que sous-espèces identifiées et reconnues du genre humain, elles bénéficient de programmes de protection spécifique. C’est d’ailleurs l’existence de ces programmes spécifiques qui démontre qu’elles ne sont plus considérées comme les autres humains. Cela fait voler en éclat le concept d’égalité, et laisse à penser que le mythe du sexe faible reste au fond un bon argument de vente. Ou qu’il est une réalité et que les hommes seraient bien plus indépendants et libres qu’elles.
Selon un sondage Ifop commandé par l’Organisation Internationale du Travail (OIT) et par le Défenseur des droits, en France de nombreuses personnes interrogées estiment avoir été discriminées à l’embauche.
Articles dans la presse, débat sur la RTS 1ère: le nombre de postulantes au corps de police dépasse celui des candidats hommes, en particulier dans le canton de Neuchâtel. S’agit-il d’une féminisation et faut-il en penser quelque chose?
Le mouvement a pris naissance aux États-Unis. La secte de Raël en fait sa pub médiatique depuis plusieurs années. La tendance se développe à la fois dans des cercles radicalisés à l’extrême, comme les Femen, et parmi quelques artistes qui y trouvent de quoi se faire voir nues. Le nu vend. Le nu féminin vend beaucoup. Normal que des peoplettes veuillent montrer leurs tétons pour occuper le buzz. L’argent n’a pas d’odeur.
Il n’y a pas grand chose à faire à Elbœuf. C’est une commune de Haute-Normandie située au bord de la Seine, au sud de Rouen. Une elbeuvienne de 17 ans a choisi une manière originale de tuer le temps. Elle est partie en voiture avec deux connaissances masculines. Dans la forêt d’Orival toute proche, ils ont fait l’amour à trois.
- Chéri, tu peux me prêter ton mascara?
A la cuisine, devant la cafetière fumante, il n’entend pas. Elle insiste et hausse le ton.
- Chéri, j’aimerais que tu me prêtes ton mascara.
Cette fois il a entendu. Il ne répond pas.
- Chéri, tu m’entends?
Silence.