Le Grenelle des violences conjugales s’annonce fou, fou, fou! Première folie: la généralisation. Dans la presse écrite, sur les plateaux de télé, tout le monde dit: les femmes. Pas des femmes, mais les femmes, donc toutes les femmes.
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Le Grenelle des violences conjugales s’annonce fou, fou, fou! Première folie: la généralisation. Dans la presse écrite, sur les plateaux de télé, tout le monde dit: les femmes. Pas des femmes, mais les femmes, donc toutes les femmes.
Le Monde publiait le 22 août un article signé par Laura Motet. Son titre: « Incendies en Amazonie: un fléau saisonnier amplifié par les prises de position de Jair Bolsonaro ». Il est toujours en ligne.
Après une semaine de panique médiatique on sait que la forêt amazonienne ne brûle pas. Du moins pas comme on se représente habituellement un incendie de forêt. L’image (1, clic pour agrandir) publiée par la Nasa est un leurre et un facteur anxiogène.
Voici quelques extraits d’un rapport détaillé sur la déforestation en Amazonie. Il est écrit par François-Michel Le Tourneau, géographe français, directeur de recherches au CNRS, et spécialisé dans les territoires peu peuplés – en particulier l’Amazonie.
Une fake news récurrente est parue dans Le Matin en ligne. Le journal cite Me Lorella Bertani. L’avocate féministe genevoise semble sûre d’elle: « La violence conjugale tue plus de femmes que le tabac, l’alcool et la route ». Vérification.
Il ne manquait plus que ça. Ils font feu de tout bois, si j’ose l’expression. Rien ne nous est épargné. « L’Amazonie est le poumon de la Terre. Notre maison brûle pour de vrai! » clament les apocalyptiques. « Bêêêê… » répètent leurs courtisans médiatiques. Le feuilleton de l’été continue.
C’est comme ça, la météo. Ça bouge. Ça vient, ça va. Les écarts de températures sont amples dans la même saison. Cette fois, 16° de chute en 48 heures. Et un record de froid vieux comme les relevés battu d’un dixième.
Greta Thunberg est partie sur le voilier princier pour émettre moins de CO2. On apprend qu’en réalité elle va en générer davantage.
Deux nouveaux exemples du désordre qui caractérise la féminisation de la langue française. Les partisans de la marche forcée montrent le faible degré de cohérence de leurs troupes.
Le terrain est en bordure d’un espace public, une pelouse, qui le sépare de la route. Un petit passage au bout du terrain fait raccourci entre cette route et des immeubles. En cette fin d’après-midi nous sommes six joueurs. Deux épouses accompagnent leur homme.
Foin des allusions perfides sur le coût de la traversée. Que de mauvaises langues pendent autour de la jeune fille! Pourtant on vous dit que le bateau est écolo. Avec des panneaux solaires et une turbine génératrice d’électricité.
Selon Le Temps la montagne mythique serait devenue un terrain miné, bientôt bonne pour l’aspirateur. C’est pas du belge: l’icône valaisanne s’effrite. Regard sur la manière de communiquer autour du climat.
Retour de la légende urbaine: la Terre vivrait à crédit depuis fin juillet. Elle dépenserait (par notre consommation) plus qu’elle ne pourrait régénérer, tous domaines confondus. Mais la Terre ne peut pas vivre à crédit. C’est impossible. Le crédit suppose deux partenaires. Quand nous contractons un crédit nous nous adressons à une personne ou un organisme qui met à notre disposition ce qui nous manque.
L’équipe féminine des moins de 19 ans (U19) a atteint son objectif: une cinquième coupe d’Europe. Le tournoi s’est déroulé en Arménie, à Erevan. Dans la chaleur et devant un public malheureusement clairsemé. La chaîne l’Équipe a transmis les matches.
D’abord elle est jolie. Elle soigne sa présentation, fait belle figure par tous les temps. Elle ondule parfois. Comme les prairies de soleil que l’on voit au loin.
Qu’est-ce qui a changé de manière visible et/ou sensible dans les régions d’Europe de l’ouest? J’insiste sur le visible et/ou sensible, ce qui parle aux gens. (Clic sur les images pour les agrandir).
La deuxième vague de chaleur fut intense et brève. Mais techniquement toujours sans canicule à Genève. Aucun minimum nocturne n’a en effet égalé ou dépassé les 20° C. Du moins à la station de Cointrin. Pour les relevés par journée le 25 juillet 1921 garde le record de chaleur.
Une majorité de députés français a voté en faveur du CETA, l’accord de libre échange entre le Canada et l’Union européenne. Pourtant la mondialisation va poser de plus en plus de problèmes. Elle va en sens contraire des efforts environnementaux.
La vue des images, la pensée de l’événement, stimulent mes neurones. Mais aussi la formidable organisation qui a permis de tout imaginer et mettre en place, dont des centaines de milliers de collaborateurs directs ou sous-traitants, ainsi que l’état d’esprit qui a prévalu. De la première idée au dernier boulon serré, tout était scruté, transparent et évolutif. Ci-après, quelques extraits d’un article de Marc Tison paru dans lapresse.ca qui expose cela point par point.
Il y en a beaucoup. La mienne est banale à force d’avoir été exposée un peu partout. Elle est l’une des plus célèbres, et ne date pas de la mission Apollo 11 mais d’Apollo 8. Anders, Borman et Lovell étaient en orbite autour de la Lune.