Je pose des guillemets afin de relativiser ce terme. Libération suggère une oppression à laquelle on met fin. Cela justifiait alors le moderne libertinage et la sexualité devenait un but en soi.
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Je pose des guillemets afin de relativiser ce terme. Libération suggère une oppression à laquelle on met fin. Cela justifiait alors le moderne libertinage et la sexualité devenait un but en soi.
Je rebondis sur le dernier billet de Philippe Meyer. Il tient le blog PremiAirClasse sur le traffic aérien. Dans ce billet il s’exprime sur notre irréductible besoin de voyager.
Parce qu’il y a des grands nains. Enfin, des nains plus grands que d’autres. Ils n'ont pas tous la même taille. Sinon ça n’a pas de sens de dire p’tits nains. C’est juste gentil. Un nain, c’est petit, ça ne peut pas faire de mal. Alors, p’tit nain c’est une manière gentille de s’adresser aux autres.
C’est quelque chose de simple, une pratique personnelle que l’on m’a transmise il y a longtemps, que j’ai gardée et que je fais passer. Elle ne se limite pas à un seul jour par année mais Noël est bien indiqué pour y penser.
Flygskam ou Flygstolt? Ce n’est pas pareil. Je lisais sur le dernier billet de Philippe Meyer que les injonctions à renoncer aux voyages en avion avaient un nom en suédois: Flygskam.
Il est onze heures. Le soleil monte, l’air se réchauffe. Des nuages de traîne envoient en passant des bouffées d’air frais à l’odeur d’humidité. Ils gonflent comme des ballons, puis disparaissent comme des fantômes.
Pourtant on n’en a pas parlé à l’époque. Ni l’ancienne ministre Najat Vallaud Belkacem, ni les députés d’alors. Silence radio. Il a fallu cette remorque publicitaire près d’une université pour qu’elles se rappellent à notre souvenir.
Illustration de la guerre des mots et du langage intimidant. Faire taire en insultant ou en amalgamant aux racistes et aux fascistes est le mode de débat préféré d’un certain nombre de décervelés.
Les comportements sexuels féminins n’ont pas fini de surprendre. C’est un constat, pas un jugement. On reconnaît habituellement aux femmes plus de réserve qu’aux hommes. L’affaire que j’évoque se passe aux États-Unis, dans la petite ville d’Evans, en périphérie d’Augusta en Géorgie.
Il ne s’arrêtera donc jamais. Cet homme a la passion de l’exploit en solitaire. Sa toute récente course le montre encore une fois aux prises avec la nature la plus hostile: l’Antarctique.
2016 n’est pas 1930, pas plus que Mai 68 n’était Octobre 1917. Néanmoins le politologue François Cherix a pris la mesure du mouvement qui se lève. Il fait état de ses angoisses dans un article publié par Le Temps: « Notre temps a une furieuse odeur d'années Trente. »
La campagne américaine m’inspire ce dernier billet très personnel. Exercice rare chez moi. J’ai appris à ne me dévoiler qu’avec des très proches. Je déroge à ma règle, de manière mesurée; cela a du sens dans ce moment.
Au crépuscule de sa vie François Mitterrand écrivait à sa maîtresse et son grand amour Anne Pingeot: « Tu as été ma chance de vie ». La presse diffuse actuellement des extraits des Lettres à Anne, livre qui expose publiquement toutes les missives de l’ancien président à sa fiancée de l’ombre.
Elle s’est arrêtée là. Vaincue par la férocité du web elle s’est pendue, après une longue bataille. Elle avait 31 ans. D’accord elle a fait une connerie. Elle l’a payée très cher.
« L’avenir est propre » a lancé Bertrand Piccard aux personnes présentes à Abou Dhabi. SI2 a ainsi rejoint son point de départ et bouclé sont tour du monde sans pétrole. Ce vol a été un peu éclipsé par les événements mondiaux, et par le temps d’arrêt à Hawaï pour réparer les batteries et attendre une nouvelle fenêtre de départ.
Je reviens sur cette saillie qui a agité Genève la semaine passée. La femme occidentale, non voilée, serait une sorte de prostituée bas de gamme. C’est l’avis de Hani Ramadan, religieux musulman dont les propos salissent régulièrement la culture occidentale.
La Cour européenne des Droits de l’Homme a défini sa doctrine concernant les injures diffusées sur des forums internet. Pour une injure sans diffamation, seul le modérateur du forum est responsable.
Morts assis à une terrasse de café rue de Charonne, au Bataclan, ou ailleurs, ils n’ont pas de nom. Il n’est plus temps d’être Charlie ni personne. Charlie est riche aujourd’hui. Qui donnera pour ceux-ci? Pour leurs familles?
Une émotion m’a gagné en lisant l’article de Lucie Monnat dans la Tribune de Genève hier. La journaliste raconte sobrement le défi qu’ont réalisé quelques personnes cette semaine au Moléson. Son écriture laisse transparaître la lumière qui porte ce groupe des Conquérants des Cimes.
L’association américaine de littérature et des droits humains PEN American Center va décerner son prix annuel pour la liberté d’expression à Charlie Hebdo. Des écrivains membres de ce groupe font entendre leur voix différente et s’opposent à cette récompense.