A plein de choses. A écrire des livres pendant des siècles sur la même histoire.
A se trouver des milliers de qualités devant l'être que l'on aime. Rappelons-nous d'être amoureux de manière régulière: nous sommes si aimables alors.
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A plein de choses. A écrire des livres pendant des siècles sur la même histoire.
A se trouver des milliers de qualités devant l'être que l'on aime. Rappelons-nous d'être amoureux de manière régulière: nous sommes si aimables alors.
Dans une discussion hors-ligne je soutiens l’usage du mot «discrimination» dans son sens premier. Il s’agit d’une opération mentale intelligente qui vise non seulement à établir des différences entre les objets du monde, mais à les qualifier en les comparant afin d’appliquer une stratégie adaptée. C’est ma manière de définir le Situationnisme, loin du Situationnisme historique des années 1960 soutenu par Guy Debord: chaque situation est à la fois générale et spécifique, et nous pouvons y donner la meilleure réponse possible si nous sommes capables d’évaluer ce qui est en jeu.
On a beaucoup parlé de voiture ces derniers temps à Genève. Ce drôle d’engin qui occupe de la place et qui fait du bruit. Qui pollue - pas autant que le méthane des bovins et le lisier des porcs, mais quand-même encore pas mal. Eh bien on devrait ériger une statue à Joseph Cugnot.
Le résultat est sévère: 63 % d’électeurs-trices contre le tunnel. Pour une fois j’en fais même du langage épicène: c’est dire combien je suis étonné. Choqué même. Mais soit. Les électrices-teurs ont choisi. Ainsi soit-il. Cela n’empêche pas de poster quelques commentaires sur ce résultat, et de regretter l’absence de vision.
Binious en tête, drapeaux blancs et noirs gwenn ha du partout, des milliers de bretons - entre 13’000 et 30’000 - ont défilé à Nantes hier. Leur demande: que le département de Loire-Atlantique soit rattaché à la Bretagne.
Ils parlent depuis un moment. Quand je dis un moment je veux dire: un bon moment. C’est quoi un «bon» moment? Y a-t-il des bons et des mauvais moments? Des mauvais moments ce sont des moments absents, peut-être. Ou des moments simultanés.
Le crash de l’avion en Ukraine suscite des inquiétudes sur la manière dont la sécurité peut être assurée, et sur la volonté de faire monter un peu plus la tension est-ouest.
La sécurité des citoyens est une des priorités des Etats organisés. C’est bien normal. Depuis des milliers d’années les humains disposent de police, de justice et d’armée pour assurer cette sécurité. Au Moyen-Âge c’était le rôle des seigneurs, que les paysans payaient par une taxe.
Au premier regard ce pourrait être un corps, ou des corps, tombés au sol. Abandonnés. Pétrifiés par un nuage pyroplastique du temps où le Môle faisait rougeoyer le ciel de Savoie. Ou par la foudre divine, tombée précisément à l’angle ouest du cimetière, près de la fontaine. Ou encore sidérés par une si longue extase, corps figés dans une insatiable absence.
Elle est agendée pour l’automne sous le nom de Sex Factor. Le casting n’est pas encore fixé: 16 candidats - 8 de chaque sexe - devront s’affronter sous l’oeil d’un jury professionnel. Et sous ceux, nombreux, des internautes qui consommeront les images sur internet.
En conclusion temporaire, je propose deux pistes pour contrer la mise en accusation systémique des hommes. La première piste assimile le féminisme à un système de penser binaire proche de la pathologie par la disproportion de la posture victimaire en regard des correctifs sociaux légitimes. La colère de ces femmes et de ceux qui, comme les LGBT, se soumettent à leur idéologie, peut davantage être assimilée à celle des Gorgones, êtres malfaisants de la mythologie grecque.
Il y a juste 7 ans une mort des plus cruelles a été médiatisée sur la toile. C'était une lapidation filmée, la lapidation de Doa Khalil Aswad. Elle avait 17 ans. Ses bourreaux ont filmé sa mort avec des téléphones portables et on publiée la mise à mort sur le net.
C’est fait dans le Colorado. Depuis hier le cannabis est en vente libre dans des boutiques spécialisées. Il faut avoir au moins 21 ans et la vente est limitée à 28 gramme à chaque visite.
Pas d'histoire de Noël, mais un cadeau pour ceux et celles qui honorent mon blog de leur attention, qu'ils et elles partagent ou non son contenu. C’est l’une des histoires qui composent mon nouveau livre, «Les contes de Crocodile River». Dans ces histoires des humains, drôles ou touchants, suivent leurs idées parfois jusqu'à l'absurde ou au miracle, vêtus d'innocence et de rêves. Celle-ci est plutôt humoristique et courte.
... à la suite du billet précédent j’ai sorti quelques images du placard d’internet. Pour certaines, le sujet représenté n’a en effet aucun lien avec le produit pour lequel on fait campagne. Pubs déloyales donc. Mais amusantes et oniriques. Voire suggestives. Cliquer pour agrandir.
Grâce aux ligues de vertu les publicitaires ont maintenant un moyen sûr de faire parler d’un produit: chercher une condamnation publique. C’est le cas de Burger King et de sa pub montrant un hamburger accompagné d’une femme très dévêtue, peinte en doré (cliquer pour agrandir).
Dans ma nouvelle vie, je viens de placer la barre haut. Je me présente aux sélections suisses en vue de l’Eurosong. Il faut se donner des challenges difficiles.
Le débat sur la burqa saute par-dessus les clivages politiques habituels. C’est tant mieux. Il est temps que l’Europe en finisse avec ses imageries stéréotypées des classes sociales figées, des rôles sociaux, et de son manichéisme social de bazar. La burqa est stigmatisée au nom de l’égalité des sexes. Soit. On peut alors se demander comment des féministes, qui prônent l’indifférenciation totale des sexes et de leurs stéréotypes, défendent encore les différenciations sociales héritées du XIXe siècle (droite-gauche, progressistes-réactionnaires).
L’été de l’automne est aisément reconnaissable.
La lumière est feutrinée, elle se couche, oblique. Les particules d’humide et de poussière n’étincèlent plus comme en pleine juillettude.
Deux heures 38. Sommeil en dents de scie. Trop chaud. Dehors le bruit calme de la pluie. L’orage est passé. Une averse traîne.
Avec ce soleil, et malgré quelques orages, l’immersion verte est délicieuse de douceur et de chant des cigales. Si vous passez dans la région de Nîmes, il n’y a qu’une quarantaine de kilomètres de jolie route, une route d’été, pour aller jusqu’à Anduze au pied des Cévennes.