Énergie : la Suède relance un programme nucléaire civil.
La Suède est parfois considérée comme un modèle de vertu politique, sociale et écologique. C’est sans complexe qu’en septembre 2022 elle a élu 20% de députés du parti Démocrates de Suède.
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Énergie : la Suède relance un programme nucléaire civil.
La Suède est parfois considérée comme un modèle de vertu politique, sociale et écologique. C’est sans complexe qu’en septembre 2022 elle a élu 20% de députés du parti Démocrates de Suède.
Énergie nucléaire : l’abandon français selon Arnaud Montebourg.
Ancien ministre de l'Economie et du Redressement productif sous François Hollande, Arnaud Montebourg a été récemment entendu par une commission d’enquête de l’Assemblée Nationale française.
Société tout-électrique : couvrir les montagnes de panneaux solaires ?
Les énergies intermittentes comme l’éolien et le solaire souffrent d’une maladie rédhibitoire: en hiver elles produisent le moins d’électricité, alors que la consommation est la plus forte.
On le sait: les énergies intermittentes – ou renouvelables non hydroliques, le vent et le soleil – ne peuvent se substituer valablement aux hydrocarbures et au nucléaire. La plupart des activités humaines ne fonctionnent qu’avec une ressource continue.
Nos dirigeants recommandent de pratiquer une sobriété dans notre consommation de ressources. Qui dit sobriété dit réduction. Nous sommes invités à réduire cette consommation en modifiant nos comportements.
L’écologiste est formel: « Sans le nucléaire, notre société ne fonctionnera pas ». La réduction de la consommation énergétique et le remplacement du fossile par l’intermittent pourrait avoir des conséquences encore plus dramatiques pour nos sociétés que le réchauffement.
Quel est le point commun entre une musicienne de rock, le métro de Moscou, un prématuré dans sa couveuse, un contrôleur aérien, un branchement internet et votre coup de fil à un ami?
En parlant hier de l’océan austral, sujet que je pensais neutre et fédérateur, j’ai réalisé qu’il était contaminé lui aussi. Par qui? Je n’en sais rien. On ne sait pas qui lance une légende. Celle des 1’000 ans en l’occurrence.
On a domestiqué l’eau qui tombe en construisant des barrages et des canaux d’irrigation. La prochaine étape sera-t-elle de capter la force de l’eau qui monte ? Une revue scientifique américaine publie le résultat d’une expérience réalisée par des chercheurs de l’Université de Columbia à New York et Loyola à Chicago. Comment cela marche ?
Suite du précédent billet.
Un constat de l’écologie politique, à la fois légitime et étrange, est que plus l’Homme agit sur son milieu plus il le dégrade. Mais pour corriger ce qu’il a défait il doit encore faire plus! Renaturer, entretenir, changer les systèmes et sources d’approvisionnement en énergie, freiner l’utilisation des productions industrielles qui font sa richesse (exemple: les voitures), etc.
Un article paru fin juin mentionnait quelle serait la cause de la troisième guerre mondiale: les ressources naturelles. C’est la thèse d’une économiste d’origine Zambienne, Dambisa Moyo. Cette jeune femme travaille aujourd’hui avec la Banque mondiale et Goldman Sachs.
Le pic pétrolier est désormais derrière nous. L’annonce en a été faite par plusieurs dirigeants, dont le premier ministre français au début avril. Cela signifie qu’après une phase en plateau de quelques années, la quantité de pétrole disponible sur le marché diminuera inexorablement alors que la croissance mondiale est actuellement de 4,5% par année.
L’idée est étonnante et même provocatrice. Le plastique n’a pas bonne presse en matière d’environnement. Alors quelle est cette idée? Une tartufferie ou une vraiment bonne idée?
(Cliquer sur les images pour les agrandir).
C’est toujours amusant et facile d’épingler les gens à leurs propres contradictions. Pourquoi bouder son plaisir? Etant moi-même contradictoire je peux me permettre de saluer ceux et celles qui le sont aussi. Après tout les contradictions sont à l’humain ce que les taches de graisse sont aux robes de mariées: la garantie de n’être pas trop parfait. Ouf!
Les problématiques énergétiques (pollution, dépendance, épuisement) imposent d’avancer vers la substitution des ressources habituelles par d’autres ressources plus durables et moins polluantes. C’est une question de société majeure pour laquelle les blogs jouent un rôle de relais de l’information et de lieux de débats contradictoires.
La crise de confiance dans le nucléaire causée par l’accident de la centrale de Fukushima suscite de nombreux débats, dont celui sur le remplacement de l’atome civil et le développement d’autres sources. Le gaz de schiste fait partie des alternatives envisagées, voire déjà exploitées comme aux Etats-Unis. Cependant les projets en France suscitent des réactions violentes. Retour sur un thème appelé à faire encore parler de lui.
Le nucléaire est une invention (presque) comme une autre. Travailler la nature, la transformer, la modeler selon nos besoins, utiliser ses ressources, inventer ce qui n’existe pas: ce n’est pas nouveau. Cela fait partie de l’espèce, et l’énergie nucléaire n’est à ce point de vue qu’un prolongement du pilon et de la roue. Toutes les espèces modifient quelque peu leur environnement ou au moins interagissent avec. L’humain est en tête dans ce processus de transformation.
L’accident de référence reste Tchernobyl, qui avait atteint le plus haut degré de dangerosité d’une avarie dans une centrale nucléaire: le niveau 7. La centrale de Fukushima a atteint le niveau 6, selon le président de l'Autorité française de sûreté nucléaire (ASN), André-Claude Lacoste.
Je parlais hier des insectes susceptibles de finir dans notre assiette. Mais le ver de terre? Qui en parle? Qui lui rend hommage? Le Matin de dimanche dernier! Toute une page pour cet obscur travailleur de l’ombre. Petite incursion dans le monde des ténèbres.
De plus en plus de signes et de scientifiques se penchent sur ce qu’il est désormais convenu d’appeler le «refroidissement global», ou «Global cooling». A l’inverse du réchauffement climatique, il est ici question de la régression des températures.