Le projet de loi du Travail soutenu par la ministre Myriam El Khomri commence par un étrange article. Un article qui aurait été inspiré par Robert Badinter. Il valide l’expression des convictions religieuses dans l’entreprise.
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Le projet de loi du Travail soutenu par la ministre Myriam El Khomri commence par un étrange article. Un article qui aurait été inspiré par Robert Badinter. Il valide l’expression des convictions religieuses dans l’entreprise.
Aujourd’hui de nombreux propos sont assimilés à du racisme. Ce mot sert trop souvent à stigmatiser. Dire de quelqu’un qu’il est raciste est le mettre dans le camp du mal, soumis à la vindicte ou au rejet, alors que l’on s’auto-attribue un certificat du Bien.
Les garçons sont les garçons. Et qu’on le veuille ou non ils ont quelques spécificités. Dont un sexe différent de celui des filles. Un sexe qui leur assigne paraît-il une toute-puissance.
Toute remarque sur une population d’une origine ethnique non caucasienne est taxée de racisme. En France les statistiques ethniques sont interdites. Cela n’empêche personne de produire des études sociologiques qui s’apparentent à de telles statistiques.
Des experts de la Maison Blanche accusent le changement climatique en ce qui concernent la longue sécheresse subie par la Californie. La pluie est revenue, mais après des années de pertes pour la production vivrière.
Hier soir Jean-Luc Mélenchon répondait aux questions des chroniqueurs dans le fauteuil bleu d’On n’est pas couché. Je voulais entendre ce qu’il a à dire. J’ai été surpris par l’évolution de sa posture.
Si j’en avais les capacités je ne ferais pas ce Koh-Lanta. Si l’émission est parfois intéressante une chose majeure me rebute: être jugé par les autres, et éventuellement éliminé par leur décision.
Ce n’est pas si vieux. C’était en 2010. Nicolas Sarkozy avait alors envisagé d’étendre le dispositif et d’appliquer le retrait de nationalité aux doubles nationaux en cas de crimes graves.
Du moins n’en parle-t-on pas comme d’un délit. On ne voit pas le Parquet intervenir, ni les ligues de défenses de la superégalité oussque tout le monde est pareil et radieux. La volonté de fabriquer le meilleur des mondes semble sélective.
Le libre choix est roi. En particulier du côté des amours. Choix de la personne, choix de faire ou non l’amour. Le consentement est aujourd’hui largement admis comme marqueur fondamental des relations. Et tant mieux.
Elles n’apprécient pas. Certaines le disent: « Hey les mecs, vous n’auriez pas oublié la cuisine et le ménage? » D’autres, comme Chantal Jouanno, s’inquiètent de voir les femmes « … enfermées dans le rôle stéréotypé qui leur est assigné depuis des siècles : celui d’épouse et de mère. »
L’émission Specimen de la RTS proposait mercredi un document sur la manière dont nous réagissons face aux humains différents de nous. L’une des conclusions est que nous sommes tous plus ou moins racistes.
Les nouveaux membres du gouvernement français pensent-ils que c’est leur dernière chance d’être ministres avant longtemps? La gauche pourrait en effet être éliminée du pouvoir pour longtemps, après ce délétère épisode Hollande.
Le parlement français vote donc ces jours la réforme introduisant une forme d’état d’urgence dans la Constitution, ainsi que la possibilité de déchoir un français de la nationalité. Un coup pour rien? Probablement.
En Suède des féministes ont lancé une campagne inattendue. Leur sympathie pour les migrants est particulière puisqu’elles demandent aux hommes européens: « S’il vous plaît ne nous protégez pas si nous sommes violées par des immigrants ».
Récemment un footballeur double national franco-algérien a répondu à une interview sur la Gazette du Fennec. Les Fennecs est le nom donné à l’équipe nationale algérienne de football.
Je reprends, dans les chroniques de DAZ, cette citation de l'écrivain Alexandre Jollien. Ces deux antilogies permettent d’assombrir l’effet habituel du sourire et du compliment, qui sont en principe connus pour être empreints de bienveillance.
Quatorze ans de prison! En voici un qui aurait dû demander les circonstances atténuantes. Il aurait pu arguer qu’il n’était pas entièrement responsable. Vraiment? Allons y de cette chronique du cynisme, juste pour faire tourner les idées.
Qui a eu cette idée folle? Le temps, les écrivains, la population entière. Ils ont placé la barre haut. Très haut. La preuve? Le nombre d’élèves qui, une fois adultes, ne peuvent écrire un CV sans y glisser douze fautes.
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