Ne traitez plus un macaque de macaque. Vous pourriez finir au tribunal sous l’accusation d’injures. Enfin, si l’on considère les singes comme nos égaux. C’est ce que voudrait l’association PETA, d’une certaine manière.
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Ne traitez plus un macaque de macaque. Vous pourriez finir au tribunal sous l’accusation d’injures. Enfin, si l’on considère les singes comme nos égaux. C’est ce que voudrait l’association PETA, d’une certaine manière.
Les communautés humaines se construisent avec logique et prudence. Comme les enfants elles commencent avec le proche: ce qui est près de soi, avec soi, physiquement. Pour l’enfant ce sont les parents, la fratrie, ou ce qui les remplace s’il est orphelin.
La région de Munich dit stop. Elle ne peut plus. Le coeur à des limites, celles de la capacité d’hébergement. Le ministre de l’Intérieur bavarois l’a annoncé hier. Il a aussi évoqué un autre aspect.
Apparemment non. C’est ce que Michel Onfray, le philosophe français qui se revendique de la gauche autogestionnaire, déplore dans une interview au Figarovox (extrait):
Hors de l’émotion il y a de la place pour réfléchir. L’émotion ne sert que l’immédiat. Elle met en mouvement. Elle n’a pas d’utilité à long terme. Une émotion qui gouverne durablement notre vie est même une forme de maladie.
Quoi? Quoi? On nous aurait menti? Bigre de bouc. Un autre mythe s’écroule. La Légende noire du Moyen-Âge, écrite par les Lumières obscures du siècle du même nom, perd encore un de ses épouvantails.
En préparation d’une grosse annonce pour demain, je cite l'essentiel d'un échange ayant eu lieu samedi dernier, lors de cette belle soirée sous la lune. Nous partagions le repas du soir à cinq, sur la terrasse d’une amie, ma partenaire en théâtre.
Il y a quelques années le blogueur Per Amman, dit Blondesen, décédait d’un cancer. Blondesen publiait jusqu’alors des billets iconoclastes et pleins de sens, longs, drôles, critiques, sans limites, audacieux.
La rédactrice en chef du Matin dimanche, Ariane Dayer, publie aujourd’hui un édito sur « Le bon et le mauvais migrant ». Elle veut parler des réfugiés. Elle refuse de faire des catégories entre les bons réfugiés, ceux qui fuient la guerre, et les mauvais, ceux qui fuient la pauvreté.
Dans une récente discussion sur la guerre de Vendée, que je qualifiais d’idéologique, une internaute faisait remarquer que nous avons tous une forme d’idéologie même si nous nous en défendons. De mon côté je vois dans l'idéologie une forme particulière, autoritaire, dictatoriale de la pensée, et surtout de la pensée politique.
Dans un article le sociologue Jean-Pierre Le Goff analyse les nouveaux positionnements de la gauche française. Cet ancien de Mai 68, ancien maoïste, a su faire son autocritique et démonter les tendances totalitaires qui ont parcouru l’époque et le mouvement.
J’ai lu l’effarante enquête du New York Times sur la théologie du viol selon l’organisation Etat Islamique. Les combattants invoquent le coran pour justifier la violence sexuelle systématique, répétée, commises sur des femmes capturées lors de leurs raids et considérées comme leurs esclaves.
On peut approuver les lois antiracistes sans bêler avec Harlem Désir. On peut souhaiter pour les personnes homosexuelles une vie libre et sécure sans reconnaître l’expression «mariage pour tous».
La presse spécialisée et l’ensemble des médias nous tiennent régulièrement informés d’événements très importants. Vraiment très, très importants. Par exemple, le nom du lapin d’une des filles Kardashian. C’est Bruce.
Polémique en Suisse. L’évêque de Coire, Vitus Huonder, s’est exprimé en citant un passage de la bible, précisément du Lévitique : «Quand un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable; ils seront punis de mort: leur sang retombera sur eux.»
Chaque société se donne les règles qu’elle veut et les fait évoluer. Il y a des standards communs, par exemple l’esclavage est aujourd’hui rejeté par la plupart des sociétés. L’auto-détermination et la liberté individuelle sont des règles qui essaiment. Mais le désaccord sur certaines évolution doit rester possible sans anathème.
Sous l’égide de la Mairie de Paris, la nuit du ramadan s’est mise en scène une nouvelle fois. Spectacle retransmis par la télévision. Plusieurs artistes y participaient. Ce genre de manifestation me touche peu. Les célébrations obligées ne sont pas ma tasse de thé. Mais c’est le jeu.
Nous avons de la lumière dans nos maisons entre autres grâce à Thomas Edison. Il a inventé l’ampoule à incandescence, qui allait remplacer la lampe à gaz ou à pétrole. Bien sûr il avait aussi besoin d’électricité, de fils, et bien d’autres choses encore.
La fin des temps étant venue tout le monde se retrouva dans le tribunal du Jugement dernier. Une salle immense. Des milliards de milliards d’humains s’y pressaient, y compris ceux qui attendaient depuis l’aube de l’humanité.
Les tirs de Kalachnikov claquent sous le soleil. Le sable rougit. Des corps tombent. L’homme en noir avance vers l’hôtel. Il tue, tue, comme possédé par un dieu fou. Un dieu fou qui hurle dans tête.