Illustration de la guerre des mots et du langage intimidant. Faire taire en insultant ou en amalgamant aux racistes et aux fascistes est le mode de débat préféré d’un certain nombre de décervelés.
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Illustration de la guerre des mots et du langage intimidant. Faire taire en insultant ou en amalgamant aux racistes et aux fascistes est le mode de débat préféré d’un certain nombre de décervelés.
Depuis Charlottesville (Virginie) la confrontation entre factions opposées et d’idéologie radicale a pris une tournure singulière. Deux camps s’affrontent. D’un côté des organisations suprémacistes, de l’autre des progressistes.
Selon M6, les Espagnols en ont ras-le-bol. Pas des Espagnols, non: les Espagnols, selon le titre de l’info. Dit comme ça on penserait que tous les Espagnols en ont ras-le-bol. Mais de quoi? Du tou-tou, du touriste.
Je réponds aujourd’hui à cette question posée sous mon avant-dernier billet (voir ici, ici et ici). Je n’ai pas de solutions mais des pistes de réflexion. La réflexion doit être menée par tous les acteurs concernés. En attendant, chacun peut apporter sa contribution et soumettre ses idées à des regards critiques.
Comment maximiser les gains des passeurs? En noyant régulièrement quelques centaines de migrants. Cela produit presque automatiquement l’augmentation du nombre de bateaux ou de missions des ONG qui viennent secourir ces derniers. Et donc le nombre de passagers qui peuvent traverser. Le pont flottant vers l’Europe est en place.
Depuis quelques semaines un bateau s’oppose au trafic d’êtres humains de l’Afrique vers l’Europe. Ce bateau est affrété par des « racistes » selon le langage intimidant en vigueur. En réalité on sait que défendre sa culture et ses lois n’a rien de raciste, mais c’est ainsi dans la guerre des mots.
Comment le dire autrement? Le soupçon pesait depuis plusieurs années: les ONG humanitaires servent de passerelle pour l’immigration illégale vers l’Europe. Cette fois le procureur Trapani a fait saisir préventivement un bateau affrété par une ONG.
Quatre femmes font la manche. Elles portent le costume des musulmanes identitaires: seuls l’ovale de leurs visages est visible. Entourées d’amies et d’enfants en bas âge elles ne parlent pas un mot de français. C’est au marché de Ville-la-Grand près de Genève.
Marie-Claire est ce magazine qui a fait de la mode (fringues, strings, colifichets, améliorants d’apparence) une grande avancée féministe. Et qui parfois se pique de culture. Ainsi le film Dunkirk est-il passé sous la plume de la chroniqueuse people Mehera Bonner.
Qu’il est douloureux, le texte d’Addolorata – Ada Marra. Elle provoque et exclut pour marquer sa différence, soit. En réalité nous savons tous et toutes que la Suisse existe: un territoire historique, une administration et une armée, des institutions, une culture politique, des traités internationaux, et des citoyens et citoyennes.
La France vient d’annoncer sans rougir deux intentions de type protectionniste. C’est d’une part la création de hot spots pour migrants en Libye, afin de trier sur le sol africain les situations des demandeurs d’asiles et d’éviter que la marée humaine venue du sud ne prenne des risques mortels lors de la traversée de la mer.
Surgie sur le ballon comme un diable à ressort, Amandine Henry a marqué samedi un superbe but contre l’Autriche lors de l'Euro 2017. Un corner tiré au deuxième poteau, une tête puissante et précise et la joueuse des Bleues sauvait son équipe (vidéo ci-dessous).
Il l’avait dit pendant la campagne: le nouveau président français veut un statut et un budget pris sur les fonds publics pour son épouse. Ce serait anecdotique s’il n’y avait un problème constitutionnel en vue. Car rien n’est prévu dans ce sens et je ne vois pas comment en démocratie un statut pourrait être accordé par le seul fait du prince.
L’administration Obama avait mené une politique de culpabilisation envers les étudiants de sexe masculin. Il s’en justifiait en déclarant: « On estime qu’une femme sur cinq a été agressée sexuellement pendant ses études – une sur cinq. »
« Ma fille sort avec un noir? Bon, pourvu qu’elle soit heureuse. » Un tel propos serait habituellement qualifié de raciste. C’est vrai quoi, la couleur de peau ne fait pas la valeur personnelle et l’invoquer laisse planer un parfum… comment dit-on? Nauséabond.
J’ai appris par mes profs qu’un chanteur ou comédien ne doit pas vivre lui-même l’émotion qu’il propose au public. Le show sert à éveiller les sentiments de l’auditeur, pas à déverser ceux de l’interprète. C’est d’ailleurs dans la grande réserve que les plus grandes émotions trouvent leur espace.
Je soulevais précédemment la question d’un apartheid anti-hommes, suite à l’annulation du festival suédois du Bråvalla. À cause de quelques hommes, c’est l’ensemble du groupe masculin qui est visé par un ostracisme et une exclusion que l’on croirait repris des anciennes lois raciales états-uniennes.
En complément à mon billet précédent je propose quelques extrait d’une interview de Bill Gates au journal allemand Welt am Sonntag. Le choix d’un média du pays d’Angela Merkel n’est pas anodin.
On parle aujourd’hui de marché et de trafic. Les migrants sont une denrée monnayable. Ils ont une valeur non négligeable puisque Frontex, organisation européenne de contrôle des frontières de l’UE, estime que le trafic génère entre 4 et 6 milliards d’euros annuels.
« Le compliment non demandé, le regard qui déshabille… on est dans la rue et on nous impose le désir de quelqu’un. » Je reviens sur ces propos de Léonore Porchet, l’élue des Verts qui veut éradiquer le harcèlement de rue.