Idole des ménagères humanistes de plus de 50 ans, le neuropsychiatre prophétise de nouveaux lendemains à inventer, après le malheur de la pandémie. Il tient sermon dans une interview accordée le 18 avril à RFI.
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Idole des ménagères humanistes de plus de 50 ans, le neuropsychiatre prophétise de nouveaux lendemains à inventer, après le malheur de la pandémie. Il tient sermon dans une interview accordée le 18 avril à RFI.
Vendredi 27 mars. Les applaudissement sont plus frénétiques ce soir. La trompe est toujours présente, et tout le reste. On ne lâche pas. Les habitants aux fenêtres se répondent en lançant des rythmes. On fait la claque, reprise de près en loin comme une Ola ¡ sonore avant d’être dissoute dans une roulade phonique.
La politesse est au service de la gentillesse et du respect. Et la gentillesse est une facette de la bienveillance. Pas de quoi faire la Une des médias avec ça. Trop ringard et sans histoire.
Sur leurs blogs trois personnalités politiques genevoises se sont attelées au rituel du moment: poster un message lumineux pour l’an neuf. De mon côté j’ai fait l’effort de les lire et d’y penser. Voili voilou le résultat.
Il est onze heures. Le soleil monte, l’air se réchauffe. Des nuages de traîne envoient en passant des bouffées d’air frais à l’odeur d’humidité. Ils gonflent comme des ballons, puis disparaissent comme des fantômes.
Certains jours des gamins nous regardent jouer à la pétanque. Deux sont particulièrement intéressés. L’un, environ 12 ans, est passé plusieurs fois. Il m’a demandé s’il pouvait essayer. Je n’étais pas disponible, les équipes commençaient une partie.
Cette jeune femme résume tout: « L’an dernier on a soutenu les garçons à fond, maintenant il faut soutenir les filles. » Elle doit avoir 15 ans et s’exprime dans un reportage sur TF1.
Ce livre vient à point pour combler une lacune. On parle beaucoup de sexisme, on le dénonce, avec raison mais aussi avec exagération. Et surtout avec omission: on ne parle presque jamais du deuxième sexisme.
Étrange époque. Les idées présentées comme les plus progressistes aujourd’hui sont éminemment conservatrices – ce qui n'est pas blâmable. C’est le cas de l’écologie qui vise au maintien du statut quo environnemental des années 1950.
Les enfants trinquent. C’est Kramer contre Kramer. Ou presque, la différence étant que Sandrine et Valérie sont homosexuelles. Mais les enfants sont identiquement utilisés comme des armes. Ce cas fait beaucoup pour la reconnaissance du mariage gay. Il montre qu’homos ou hétéros, nous pouvons être pareils. Dans le pire en tous les cas.
Hier je me suis arrêté sur une phrase du dernier billet de Mireille Vallette: « 83 % des lycéens disent que les choses les plus importantes à enseigner aux enfants sont l’obéissance et le respect de l’autorité. »
C’est une tradition récente aux États-Unis. Autour de la St-Valentin un bal est organisé pour les pères et leurs filles. La mère ou des amis sont présents. La dad-daughter dance est considérée parfois comme une initiation personnelle et sociale.
La loi sur la laïcité de l’État, en votation à Genève, n’est pas discriminatoire dans le texte. Elle ne vise pas explicitement les personnes de confession musulmane, sauf sur un point: le visage doit être visible.
Dans ces épisodes de la guerre des sexes, Marie Laguerre s’est fait un nom. On se souvient peut-être de cet incident près d’une terrasse de café à Paris. Elle avait été frappée dans la rue par un inconnu. La scène commence à 0’13’’ sur la vidéo 1. N’hésitez pas à agrandir l’une ou l’autre vidéo ou image selon le besoin.
Des milliers d’hommes ont déjà jeté leur rasoir. Internet bouillonne suite au clip sexiste de la marque Gillette. Un clip carrément méchant, sorte de prolongement de MeToo en vue d’éduquer les mâles vers le Bien.
Le Tribunal de l’opinion a rendu sa sentence: Moix est crucifié. Ses déclarations sur les femmes de 50 ans et sa préférence pour les femmes jeunes et de type asiatique valaient-elles tant d’infamie? Pas sûr.
Nous nous indignons. Nous dénonçons des offenses. Ce faisant nous pensons agir pour le Bien, et nous nous rangeons de son côté. Nous pensons être mieux. Il manque pourtant quelque chose.
J’ai lu l’hommage à Frantz Fanon republié sur le blog de Continent Premier. Le texte est signé par Hamidou Dia, philosophe et écrivain sénégalais décédé cette année. Il offre à réfléchir sur quelques notions très actuelles.
Suzy est rassurée. L’affiche n’est pas illégale et son promoteur ne sera pas condamné. On ne rendra pas Suzy invisible ni aveugle. Avant le crash elle verra le ciel une dernière fois. C’est mieux pour mourir. Parce qu’elle aurait bien pu se retrouver la tête dans le sac avant d’être jetée sur la voie.
Il n’y a pas que les pêcheurs qui s’appellent Martin. Celui-ci est né un 11 novembre dans les plaines du Danube au IVe siècle. Son père, militaire de haut rang, le destinait à la même carrière. Il finira évêque.