Jean-Luc parle de bonheur et de France heureuse. Marine dans ses trémolos porte tout le malheur du monde. Si j’étais français ce ne serait ni l’un ni l’autre. Les deux sont trop étatistes et leurs bouches sont prêtes à mordre.
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Jean-Luc parle de bonheur et de France heureuse. Marine dans ses trémolos porte tout le malheur du monde. Si j’étais français ce ne serait ni l’un ni l’autre. Les deux sont trop étatistes et leurs bouches sont prêtes à mordre.
Je suis étonné comme beaucoup de ce qu’un homme si mince en expérience puisse être considéré comme présidentiable. Je cherche encore un axe central dans son programme qui le rende identifiable.
Pourquoi devrais-je le supporter? Il ne m’a rien fait de désobligeant. J’aime le voir jouer au tennis. Il éveille ma sympathie. Lui, je ne le supporte pas, je le soutiens. Alors que les mouches…
J’ai signalé en mars cette expression confuse: le référendum d’initiative populaire. Un référendum et une initiative sont deux objets politiques différents. Ils ne peuvent pas être mélangés. Eh bien j’ai trouvé mieux.
La Suisse ne goûte pas au grands mots ni aux superlatifs. En France par contre c’est une addiction. On ponctionne et détourne le vocabulaire pour donner un supplément de légitimité aux choses. Par exemple: citoyen.
Les belles journées de mars ont fait sortir un groupe de joueurs de pétanque pas loin de chez moi. Je suis moi-même un joueur très moyen mais j’aime ce sport. Je me suis approché d’eux pour les regarder.
J’avais grande sympathie pour Pierre Bérégovoy, ancien Premier Ministre de François Mitterrand. Pour son style, son parcours, son humanité. Mis en cause publiquement il s’était suicidé au bord d’un canal à Nevers.
Il ne peut s’en empêcher. C’est plus fort que lui. C’est son argument ultime. Son Arme fatale à lui. De quoi banaliser Nicolas Sarkozy et son Pov’ con, expression que le candidat du parti de gauche avait renvoyée à son auteur lors d’une manifestation (image 1).
On croyait que la stigmatisation était le fait principalement des populistes. Eh bien non. Ce simple mot populiste suffit à exclure moralement des millions de gens. La stigmatisation est largement répandue. Les exclusions, sociales et morales, se portent bien, soutenues par ceux qui prêchent l’inclusivité.
En analysant les programmes des candidats, un Sherlock Holmes de la politique pourrait se demander comment cette idée saugrenue est venue aux français. « Abracadabrantesque, mon cher Watson », s’exclamerait-il, perplexe.
Elle s’est faite une vie après Malibu. Dans la défense des animaux au sein de l’association PETA (People for the Ethical Treatment of Animals) en particulier. Elle a aussi tourné récemment dans un clip de Julien Doré (voir à droite).
Un article de la Tribune de Genève papier du jour mentionne les travaux de Vincent Kaufmann (image 4) sur les limites de la libre circulation. Le titre de l’article: « Les effets pervers du dogme de la mobilité ». Fichtre!
Imaginons un instant que la situation soit inversée: le Mexique serait le pays riche, et les États-Unis soient moins développés. Imaginons que tout le sud de ces derniers, en particulier le long de la frontière mexicaine, soit sous la coupe de milices armées au service des cartels de la drogue.
Depuis quelques années plusieurs mammouths ont été sortis bien conservés du pergélisol. Avec des tissus mous et du vieux sang riches en ADN. De quoi en placer des brins dans des cellules d’éléphante d’Asie, en voie de disparition, pour tenter le clonage.
La réponse est oui si l’on prend une définition extensive du mot. Par exemple celle-ci, extraite du cnrtl.fr et que l’on retrouve presque identique dans d’autres dictionnaires:
« Attitude d’hostilité de principe et de rejet envers une catégorie de personnes. »
Qui ne rejette personne en tant que groupe ou sous-groupe?
Qu’on l’aime ou non ne dépend plus de la rationalité. En usant d’un langage populaire, vulgaire (de vulgus, le peuple), en proposant une ligne en partie inverse de Clintobama, il a pris le contrepied du langage feutré, ampoulé, qui régnait jusque là. Un langage qui consistait à ne pas dire crument les choses, à les contourner.
François Fillon est dans la tourmente. L’attaque subie à trois mois de la présidentielle ne peut être fortuite. Les faits reprochés – et dont en l’état rien ne dit qu’ils recèlent une fraude – datent de presque deux décennies.
Je lis deux commentaires sur un forum à propos du résultat de la primaire socialiste. Deux soutiens au candidat investi pour la présidentielle. L’un de ces commentaires dit: « Je suis profondément pour les gens et contre l’économie ».
La journaliste et écrivain Claude Sarraute se lâche. Cette fille d’écrivain (Nathalie Sarraute) et femme de journaliste (Jean-François Revel) fut journaliste au Monde et pensionnaire aux Grosses têtes.
Un cercle ça commence partout et ça ne finit nulle part. Donc si les parlements nationaux étaient circulaires il n’y aurait plus ni gauche ni droite. Ni centre ni extrêmes. Seulement des options définies par leur contenu.