« Le compliment non demandé, le regard qui déshabille… on est dans la rue et on nous impose le désir de quelqu’un. » Je reviens sur ces propos de Léonore Porchet, l’élue des Verts qui veut éradiquer le harcèlement de rue.
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« Le compliment non demandé, le regard qui déshabille… on est dans la rue et on nous impose le désir de quelqu’un. » Je reviens sur ces propos de Léonore Porchet, l’élue des Verts qui veut éradiquer le harcèlement de rue.
Je termine momentanément en reprenant les informations sur le harcèlement de rue. Le chiffre avancé de 72% des jeunes femmes de 16 à 25 ans victime de harcèlement est-il fiable? L’étude lausannoise pose question. Ou plutôt sa diffusion, car elle n’est pas, de l’aveu même de ses commanditaires, représentative de la population.
Madame Caroline Dayer a-t-elle fébrilement, jeudi, plongé dans les statistiques canadiennes? Parce qu’au débat de mercredi soir elle ne semblait pas les connaître – alors que c’est son job.
Elles sont journalistes ou auteurs. Elles portent entre 25 et 40 ans. Elles ont l’esprit aiguisé et la parole forte. Elles ne sont pas membres d’un club mais une même quête de lucidité et de refondation intellectuelle les anime.
Hier soir je cherchais la rétrospective Nasser: RTS 2 l’avait remplacée par le concert de Manchester d’Ariana Grande & Co. Alors j’ai regardé ce One Love tant que j’ai pu. Je dois dire que la petite Grande est terriblement charmante. La Grande soeur idéale des adolescentes.
C’est une classe expérimentale dans la ville de Trappes. Ici pas de maîtresse qui impose et sanctionne. Les enfants n’apprennent pas dans la crainte et le stress. Ils apprennent en s’entraidant.
Le point commun entre les deux dirigeants est le recentrage. Emmanuel Macron veut un « Ni droite ni gauche » de rejet, sans ligne très claire. Theresa May assume un « Et droite et gauche » de proposition.
Le Premier ministre britannique a présenté hier le programme de son parti en vue des élections anticipées du 8 juin prochain. Elle rompt avec l’héritage ultra-libéral thatchérien et entend ce que dit le Brexit.
Le jeune Emmanuel est-il un pion placé là par une savante planification occulte? L’élection de cet hybride mi-gauche mi-droite cache-t-elle la main invisible et l’intention secrète de quelque groupe déterminé à croquer les français tout crus?
Il y avait un manque. Le clitoris est insuffisamment traité dans la plupart des manuels de Sciences Naturelles: dessin incomplet, nom manquant, organe carrément absent. Selon un petit groupe d’enseignants c’est une discrimination.
Les universalistes (mondialistes, déconstructeurs) aimeraient sans doute que les nations n’aient plus d’identité. Les résidents seraient comme des passagers d’une croisière: de simples voyageurs de hasard, sans attache particulière.
Les comportements sexuels féminins n’ont pas fini de surprendre. C’est un constat, pas un jugement. On reconnaît habituellement aux femmes plus de réserve qu’aux hommes. L’affaire que j’évoque se passe aux États-Unis, dans la petite ville d’Evans, en périphérie d’Augusta en Géorgie.
Pourvu que Najat Vallaud-Belkacem soit durablement écartée de la politique. Son séduisant sourire cache une idéologue farouche qui a fait de l’école publique un champ de bataille. Comme d’autres.
En 1944 il aurait été traité d’hitléro-trotskiste. Et aujourd’hui? Mélenchon est revenu, la bouche pleine de mots. Son silence d’entre deux tours laisse place à une nouvelle logorrhée de conquête.
Le thème des migrations est un des plus clivants aujourd’hui. C’est donc un bon sujet. Pour certains l’immigration est une chance. Pour d’autres une plaie. Comme souvent il y a du vrai dans les deux affirmations.
C’était sur le plateau de L’émission politique Spéciale présidentielle, hier soir jeudi 4 mai sur France 2. Plusieurs personnalités connues ou moins connues s’exprimaient sur le thème de l’identité nationale.
À minuit je regarde quelques commentaires sur Facebook. Chacun prend parti selon des préférences que je connais déjà. Pas envie de cela. Dire autre chose. Être subjectif pour sortir de la fatigue qui me reste de ce débat médiocre.
La peur, la haine et le rejet extrêmement violent contre Marine Le Pen m’apparaissent comme stupéfiants, dans les deux sens du terme. Cet orgasme émotionnel agit comme un opium ou une drogue euphorisante par lesquels toute réflexion nuancée et personnelle est balayée ou annihilée.
On sait que le programme de Marine Le Pen n’est ni fasciste, ni raciste. On sait par sondage que la majorité des français approuve certaines de ses thèses (61% souhaitent l’arrêt de l’immigration, entre autres). Pourquoi n’arrive-t-elle pas au pouvoir? Quels sont les freins?
J’aime les paradoxes. Ils ouvrent une porte sur la complexité du monde. Là je suis servi: Macron, sorte de Magic Ken porté par sa Barbie, libéral pur jus, arrive en tête du premier tour en bonne partie grâce aux voix de gauche. Une gauche pourtant très remontée contre le libéralisme.