Sous ce titre M6 propose les mercredis soir une émission captivante. De jeunes entrepreneurs – jeunes en expérience, pas toujours en âge – présentent un projet devant des investisseurs. De quoi s’agit-il?
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Sous ce titre M6 propose les mercredis soir une émission captivante. De jeunes entrepreneurs – jeunes en expérience, pas toujours en âge – présentent un projet devant des investisseurs. De quoi s’agit-il?
Depuis des années différents organismes officiels avancent des chiffres pour tenter de quantifier l’importance et la persistance de cette situation dans le secteur privé. Quel est le bon chiffre: 40 %, 32 %, 25 %, 19 %, 7 %, ou moins?
L’annonce faite ce matin confirme les intentions du candidat devenu président. Elles concernent d’abord la loi travail. Cette loi qui avait suscité tant de résistances et miné la fin du quinquennat de François Hollande ira plus loin que l’actuelle loi El Khomri.
François Fillon veut faire de la France un pays d’entrepreneurs. Est-ce possible? En partie probablement. De plus en plus de français désirent être à leur compte. Pour certains entreprendre est comme respirer: naturel et vital. Et motivant: par ses idées, ses projets et son énergie un individu peut être à l’origine d’un grand groupe. Les exemples ne manquent pas.
Surprise hier soir sur France 2. L’invité, Jean-Luc Mélenchon, débattait avec journalistes et autres invités. JLM était pareil qu’en lui-même: la moindre mise en question de ses positions vaut en réponse une envolée généraliste qui permet d’éviter de rendre des comptes précis.
Une tendance forte s’affirme actuellement en France, dans ces semaines et ces mois troublés. Une cible est désignée: les patrons. On a vu par exemple deux jeunes femmes présenter des pancartes sur lesquelles on peut lire: « Sous le pont d’Avignon on y pend tous les patrons ».
Le projet de loi du Travail soutenu par la ministre Myriam El Khomri commence par un étrange article. Un article qui aurait été inspiré par Robert Badinter. Il valide l’expression des convictions religieuses dans l’entreprise.
M’inspirant d’un questionnaire paru ce printemps j’ai une idée pour faire remonter François Hollande dans les sondages. Il suffit de demander: «Pensez-vous que les français qui aiment le président, aiment le président?»
Elle se porte à merveille chez nos voisins hexagonaux. Ce n’est pas le seul pays où l’on constate cette haine mais elle est ici bien trempée, ancrée et toujours réalimentée. Les français ont la culture de la détestation des patrons.
Le premier ministre a tenu enfin un discours réaliste. On sait combien la gauche française est ambiguë à propos des entreprises, de ceux qui créent des emplois et des richesses. Hollande avait même déclaré pour être élu: «Je n’aime pas les riches».
L’homme s’est taillé une place de choix dans la nomenklatura politique occidentale. Sorti de l’ENA, comme toute l’élite politique française, membre du parti socialiste, il fut conseiller de Jacques Delors, puis responsable dans le cabinet de feu le premier ministre Pierre Mauroy.
Certaines personnes, disposant d’une plus grande responsabilité et d’un grand pouvoir dans la société, devraient être données en exemple quand leur comportement montre une intelligence réelle de l’humain. Je ne parle pas de la vie privée où l’exemplarité, quand elle devient connue, tourne rapidement à un moralisme désagréable, mais dans l’exercice de leur vie publique.
On dit souvent que les français sont très attachés à une présence forte de l’Etat et qu’ils plébiscitent cette sorte de puissance parentale. Il est vrai que la tradition est ancienne: depuis la royauté qui n’a eu de cesse de grouper les régions autour du pouvoir central, en passant par les jacobins de la Révolution, puis les empires ou les gouvernements de gauche, l’Etat français est et reste encore très puissant.
«Dépasser le capitalisme», «Mettre fin au libéralisme», diverses formules expriment la même chose: le refus du capitalisme et du libéralisme économique et leur condamnation au nom de la justice sociale et du refus de l’exploitation de l’homme par l’homme. Le capitalisme libéral serait cause de tous les excès des financiers félons, des traders fous et des exploiteurs de tous genres.
L’idée d’une démocratie économique a le vent en poupe dans les milieux de gauche. La crise a montré la vulnérabilité des employés face aux dirigeants et aux actionnaires. Pourtant, pas d’entreprise sans salariés. Ils sont la force vive.
(Suite du billet précédent)
Le risque de la créativité
Je soulève aussi la question de la créativité. L’exemple de Galilée s’opposant à la religion ou de Pasteur au corps médical sont typiques de l’importance de l’individu et de la limite imposée par la collectivité. Si Pasteur avait proposé ses recherches sur le vaccin anti-rabique à une coopérative, elles auraient été refusées. Il n’a pu le faire que seul dans son propre laboratoire (il en avait les moyens), entouré de deux personnes qui croyaient non pas à la valeur du produit mais en lui. Dans le domaine de l’informatique nombre d’inventions viennent d’individus, pas d’entreprises. Par exemples les fenêtres, système créé par Jobs et ses deux collègues de Apple bien avant Microsoft. Maintenant ce système est partout. Ces inventions sont à chaque fois produites par des individus qui se donnent les moyens d’aller au bout de leur idée.
La tendance est plutôt à la gauche en France. L’approche de la présidentielle avive les espoirs de tous ceux qui voudraient une société moins libérale, plus étatique. Le rejet de Nicolas Sarkozy donne un semblant de légitimité aux surenchères chimériques.
Comme je le décrivais hier toute l’attitude politique de Jean-Luc Mélenchon est dans la gueule, la moue, l’agression. Il monte les tours plus vite que son ombre: un vrai casseur à fleur de peau, maîtrisant mal ses nerfs. Un macho caricatural. La France aime les machos, peut-être.
Kate Middleton est une dominante. Une magnifique, une vraie dominante. Elle a la classe, la démarche, le sourire, le regard, l’assurance de la dominante. Avec ce qu’il faut de dureté dans le visage pour faire front à ses responsabilités nouvelles. Elle semble la personne appropriée à la place qu’elle va occuper.
C’est la belle histoire de la semaine. En septembre dernier, un chauffeur routier gagne 10 millions d’euros grâce à la cagnotte du Loto. La belle aubaine! Dans le même temps il apprend que l’entreprise de transports dans laquelle il a toujours travaillé est au bord de la faillite. 15 employés risquent de se retrouver sur le carreau.