Le débat d’Infrarouge ce soir à 22h30 environ traite du thème du sexisme. J’y participe comme invité. Le terme sexisme est en général associé à misogynie, soit aux discriminations de genre au détriment des femmes.
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Le débat d’Infrarouge ce soir à 22h30 environ traite du thème du sexisme. J’y participe comme invité. Le terme sexisme est en général associé à misogynie, soit aux discriminations de genre au détriment des femmes.
L’as des As(selineau) sort de sa posture immobile. Son masque de cire fond. Il vit, respire, s’emporte. Interviewé, le ton monte. Il crie. Puis hésite. Reste bouche bée… avant d’engueuler le journaliste et de déployer ses ailes sur un air de printemps. Que s’est-il passé?
Dénoncer le sexisme de manière unilatérale est à la mode. Cela fait partie de stratégies d’encerclement et de domination des hommes. Dernier exemple en date, les propos d’une directrice de recherche bernoise.
« Paillasson, martyre, jetée en pâture ». Ou encore, qui pour parler à la place de la dame supposément réduite au silence: « N’importe quelle voix issue d’une bouche appartenant à un corps couillu. Celle d’un chien aurait fait l’affaire... » Le corps couillu étant bien sûr celui d’un « mâle ».
Interpellée sur son tweet sexiste et raciste (voir mon précédent billet), l’élue socialiste de Rouen a donné sa version sur son blog, sobrement intitulé « Me connaître ». Et elle s’enfonce. Voici son communiqué.
Benoît Hamon, alias Dumbo, aurait dû utiliser ses aérofreins auriculaires pour ralentir les ardeurs de Laura Slimani. Cette élue socialiste et porte-parole du candidat pratique un racisme « cool » et un sexisme décomplexé. Ce qui lui vaut d’être aujourd’hui visée par une plainte pénale.
La chasse au grand blanc est ouverte. La cible est Donald Trump. Il personnifie l’empire du mâle, un empire dont la restauration est loin d’être acquise selon le journaliste Michel Audétat dans le Matin Dimanche. Trump représenterait la virilité perdue, dite « décomplexée », qualifiée de digne de l’âge des cavernes. Et la virilité est l’attribut du mal/mâle.
Les démocrates n’en ont pas fini de distiller les petites phrases contre l’élu. La dernière en date vient de Bill Clinton. Elle date du 10 décembre et a été publiée le 16. Billy-the-dick était en visite à Pleasantville, non loin de son homeland de Chappaqua.
Nonchalante, allongée sur le sable, elle rêve. C’est l’été dans son hémisphère. Il fait trop chaud pour marcher. Alors elle rêve en feuilletant un journal de la métropole. Sur une page, une photo de jeune femme, au doux prénom d’Alicia. Un corps fin, beau, aux longues jambes.
L’Europe est une femme. Une femme qui, grâce à sa douceur et pénétration de pensée, augmentée d’un geste magique, pacifie ses ennemis et les digère. C’est ce que suggère un récent clip de l’Union Européenne.
Petit Bourgeon ne deviendra jamais fleur. Elle est trop morte. Sa mère et son beau-père ont été complices dans son massacre. Elle dort pour toujours. Petit ange Fiona ne souffrira plus.
Émilie Tran Nguyen est une femme charmante. Le genre de femme qui magnétise les hommes. Elle présente le journal de midi sur France 3. Et elle n’aime pas le sexisme.
Le singe se nomme Daisy. Il n’a rien de la fiancée de Donald. C’est un singe blond. Un singe blond? Où ça où ça? En Grande-Bretagne. Le Brexit ne nous épargne hélas pas ce genre d’exportation numérique.
Tout le monde peut se tromper. Même les politiques. Et même les femmes politiques. Si, si. Pourtant il suffit parfois d’un petit clic (de souris) pour éviter des erreurs carrément contre-productives.
Les accusations de sexisme visent en général les hommes. Au point où une parole féminine de type sexiste passe quasiment entre les gouttes. Invisible, inaudible. Exemple avec Marie-Laure Viola, journaliste du sport à la RTS.
Sadiq Khan, un psychiatre? À première vue, non. Il justifie pourtant sa première décision par des raisons curieuses. Cette décision concerne des affiches apposées dans les transports londoniens.
Les vagues de l’affaire Baupin ne se ressemblent pas toutes. Le député accusé de harcèlement sexuel par des collègues du parti Les Verts reçoit indirectement un soutien inattendu. Trois autres voix tiennent un discours nettement différent de la meute.
L’affaire Baupin continue de faire des vagues. Ce député Vert accusé d’agressions sexuelles subit une avalanche d’accusations. La France vit-elle à l’heure de la terreur du sexe? La surenchère des mots bat son plein, comme on va le voir.
Une page antiféministe sur Facebok, à laquelle je contribue, a reçu il y a quelques temps une demande émanant d’une étudiante en sociologie de Montpellier. Évidemment, la notion d’étudiante en sociologie doit rendre très attentif.
On l’a trouvé. Il est cerné, vilipendé, conspué. Il était soupçonné depuis longtemps. Aujourd’hui il n’y a plus de doute: l’ennemi est là. Il ose même se montrer sans état d’âme. Heureusement, la police des moeurs veillait.