Hier un ami me demandait pourquoi, dans mon dernier billet, donner tant d’importance à un fait anecdotique, soit à cette touriste australienne empêchée d’allaiter en plein air à Disneyland.
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Hier un ami me demandait pourquoi, dans mon dernier billet, donner tant d’importance à un fait anecdotique, soit à cette touriste australienne empêchée d’allaiter en plein air à Disneyland.
Qui sont ces étrangers religieux qui soufflent comme des bêtes sur Marne-la-Vallée? Qui s’offusquent dès qu’un téton de femme est visible? Des Sikhs? Des Muslims? Des Shintoïstes? Des Hindouistes? Des Cathos?
Arte diffusait hier Coming Out. Ce documentaire réalisé par Denis Parrot est constitué de séquences vidéos reprises d’internet où des filles et des garçons annoncent leur homosexualité.
La culture de l’exclusion contamine les universitaires aux USA. Le scénario est rodé. Cette fois c’est à l’Université de Georgetown, un quartier de Washington. Précédemment c’était à l’Université d’Evergreen.
Le cas de Lisa Keogh dont je parlais il y a deux jours n’est pas unique. Aux USA et au Canada de plus en plus de professeurs et d’étudiants sont ostracisés et parfois poussés au départ sous la pression des « progressistes ».
Élus, élues, ne soyez pas trop exemplaires. Pourquoi vous demanderais-je l’exemplarité alors que j’ai moi-même des kilomètres de défauts, comme la plupart des humains? Je ne veux pas vous mettre au-dessus de moi.
Faut-il désespérer de l’Homme sur Terre? Un internaute exprimait ainsi son sentiment sous mon précédent billet. Il faut dire que voir toutes ces rivières de plastique couler indéfiniment sans qu’aucune solution n’apparaisse, c’est lourd dans le cœur.
À plusieurs reprises ce prix fait figure d’essai non transformé. Je rebondis ici sur le commentaire posté sous mon précédent billet, Nobel de la Paix : Trump ou Black Lives Matter ? Le commentateur suggérait que « … ce prix devrait être supprimé car il ne pourra jamais faire consensus ».
Les fashion weeks, grand-messes de la mode mondiale, sont des temps de surenchère dont les médias raffolent. Surenchère dans le ridicule. Ce petit monde fermé représente le front avancé du gloubiboulga occidental.
Parce qu’il y a des grands nains. Enfin, des nains plus grands que d’autres. Ils n'ont pas tous la même taille. Sinon ça n’a pas de sens de dire p’tits nains. C’est juste gentil. Un nain, c’est petit, ça ne peut pas faire de mal. Alors, p’tit nain c’est une manière gentille de s’adresser aux autres.
Bonne année inclusive aux détériorés, aux restreints, aux étroits, et à tous les offensés du monde moderne. Et il y en a! On a vu précédemment que, pour des universitaires états-uniens, faire un pique-nique est offensant car supposément raciste. À tort, mais peu importe, c’est le progrès, paraît-il.
La gauche états-unienne semble être la plus bête du monde. Voici un exemple navrant de plus, exemple de ce qu’il y a derrière Joe Biden et Kamala Harris. Surveillez vos arrières!
C’est quelque chose de simple, une pratique personnelle que l’on m’a transmise il y a longtemps, que j’ai gardée et que je fais passer. Elle ne se limite pas à un seul jour par année mais Noël est bien indiqué pour y penser.
Une armée de vertueux sort du bois depuis quelques temps. De nombreuses pubs vantent un virage environnemental sans que l’on sache si c’est nouveau et bien réel.
Sous ce titre, France 2 diffusait il y a quelques jours une émission sur les personnes transsexuelles. Le concept fait poser des questions essentielles sur la nature humaine et la constitution de l’identité sexuelle.
Le racisme est donc de retour. Mais pas là où on l’attendait, soit d’une droite autoritaire et archaïque. On a oublié l’implication de formations de gauche dans l’esclavagisme. On a oublié, ou voulu oublier. Eh bien cela revient.
Fini l’or des stades pour les vraies femmes. Elles se font surclasser par les femmes transsexuelles, c’est-à-dire des hommes biologiques ayant changé d’apparence et d’identité.
« Crois en Dieu mais attache ton chameau ». Ce proverbe arabe illustre la limite de la confiance que l’on peut accorder aux gens et aux choses. Par exemple si l’on peut parler spontanément avec des inconnus dans la rue, on ne va pas pour autant leur confier notre porte-monnaie ou nos cartes bancaires avec leurs codes, ni des informations personnelle confidentielles. La confiance reste fondamentale dans les relations humaines mais elle a aussi ses limites.
La pandémie nous conduira-t-elle à une vie meilleure? C’est un mythe, éphémère, auquel un enfant, entendu dans un reportage, donne une réponse lumineuse. Pourquoi faudrait-il changer la vie? Avons-nous fait à ce point tout faux? Sommes-nous coupables de quelque chose dans l’apparition des virus et des grandes maladies?
Idole des ménagères humanistes de plus de 50 ans, le neuropsychiatre prophétise de nouveaux lendemains à inventer, après le malheur de la pandémie. Il tient sermon dans une interview accordée le 18 avril à RFI.