La culture de l’exclusion contamine les universitaires aux USA. Le scénario est rodé. Cette fois c’est à l’Université de Georgetown, un quartier de Washington. Précédemment c’était à l’Université d’Evergreen.
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La culture de l’exclusion contamine les universitaires aux USA. Le scénario est rodé. Cette fois c’est à l’Université de Georgetown, un quartier de Washington. Précédemment c’était à l’Université d’Evergreen.
Le cas de Lisa Keogh dont je parlais il y a deux jours n’est pas unique. Aux USA et au Canada de plus en plus de professeurs et d’étudiants sont ostracisés et parfois poussés au départ sous la pression des « progressistes ».
Bonne année inclusive aux détériorés, aux restreints, aux étroits, et à tous les offensés du monde moderne. Et il y en a! On a vu précédemment que, pour des universitaires états-uniens, faire un pique-nique est offensant car supposément raciste. À tort, mais peu importe, c’est le progrès, paraît-il.
C’est quelque chose de simple, une pratique personnelle que l’on m’a transmise il y a longtemps, que j’ai gardée et que je fais passer. Elle ne se limite pas à un seul jour par année mais Noël est bien indiqué pour y penser.
Une armée de vertueux sort du bois depuis quelques temps. De nombreuses pubs vantent un virage environnemental sans que l’on sache si c’est nouveau et bien réel.
« Crois en Dieu mais attache ton chameau ». Ce proverbe arabe illustre la limite de la confiance que l’on peut accorder aux gens et aux choses. Par exemple si l’on peut parler spontanément avec des inconnus dans la rue, on ne va pas pour autant leur confier notre porte-monnaie ou nos cartes bancaires avec leurs codes, ni des informations personnelle confidentielles. La confiance reste fondamentale dans les relations humaines mais elle a aussi ses limites.
Certains jours des gamins nous regardent jouer à la pétanque. Deux sont particulièrement intéressés. L’un, environ 12 ans, est passé plusieurs fois. Il m’a demandé s’il pouvait essayer. Je n’étais pas disponible, les équipes commençaient une partie.
USA-Thaïlande 13-0: le premier match des Thaïlandaises dans ce mondial féminin a tourné à l’humiliation. On croirait à la victoire d’une sélection nationale contre une équipe de 4ème ligue.
Ce livre vient à point pour combler une lacune. On parle beaucoup de sexisme, on le dénonce, avec raison mais aussi avec exagération. Et surtout avec omission: on ne parle presque jamais du deuxième sexisme.
Hier je me suis arrêté sur une phrase du dernier billet de Mireille Vallette: « 83 % des lycéens disent que les choses les plus importantes à enseigner aux enfants sont l’obéissance et le respect de l’autorité. »
Dans ces épisodes de la guerre des sexes, Marie Laguerre s’est fait un nom. On se souvient peut-être de cet incident près d’une terrasse de café à Paris. Elle avait été frappée dans la rue par un inconnu. La scène commence à 0’13’’ sur la vidéo 1. N’hésitez pas à agrandir l’une ou l’autre vidéo ou image selon le besoin.
L’incident s’est produit cet été dans le groupe de boulistes amateurs où je joue parfois. J’ai mentionné ailleurs les disputes entre hommes dans ce cadre. Celle-ci fut plus intense. Réflexion sur la colère.
La firme Mattel, qui produit les Barbies, annonce qu’elle va participer pendant plusieurs années à une recherche sur la représentation des femmes et sur les stéréotypes sexistes. Par conviction? Par peur des pressions? Ou pour un coup de pub?
Suite à mon billet d’hier je reviens à Hillary Clinton. Je ne suis pas fan. Néanmoins je ressens de la compassion pour cette dame aux grandes ambitions déçues. Parce que, sous son masque de dureté, on trouvera probablement une part de souffrance.
Un enfant est assis sur une banquette à côté de sa mère. Je le sais parce qu’il l’appelle maman. L’enfant, un petit garçon, a environ quatre ans. Sa mère lui apprend à compter sur les doigts. Il est ravi et s’investit dans le jeu.
Que valent-ils à 18 ans sur le marché sexuel? Et qu’ont-il dans la tête, ces superbes jeunes maîtres du monde (paraît-il), quand ils manquent de confiance en eux et sont confrontés aux filles sur le dancefloor? Combien passent le rideau de feu qui consiste à oser exposer ses désirs à une fille, à la courtiser?
Une actrice québécoise est fâchée. Elle a lancé une pétition contre Netflix. Et recueilli 100’000 signatures en trois jours. Quel crime dénonce-t-elle? Celui d’Insatiable, une série qui sera diffusée à partir du 10 août au Québec. Debbie Lynch-White est fâchée avec la grossophobie de cette série.
Un article du Matin Dimanche d’il y a une semaine traite d’une nouvelle tendance: revaloriser le refus, le fait de dire Non. Ou à défaut, apprendre à le dire. Cela semble simple. C’est parfois ardu. Le non établit une distance. Refuser c’est se retirer temporairement d’une loyauté implicite ou d’une dynamique de groupe.
Combien de québécoises ont tenté de contraindre un homme à une relation sexuelle au moins une fois dans leur vie? Une étude récente donne un chiffre que peu de gens auraient imaginé.
Dans mon précédent billet je critiquais la contritionnite qui sévit dans notre occident un peu dérangé. Je n’ignore cependant pas l’importance des excuses, mécanisme fondamental des relations humaines. Pourvu qu’elles soient sincères et adressées à bon escient.