L’esprit frappeur et punisseur de l’époque pourrait y conduire, du moins dans l’absurde. Un permis pour faire l’amour? On y vient. Il pourrait prendre la forme d’un « Carnet du Consentement », comme on dispose déjà d’un carnet de santé.
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L’esprit frappeur et punisseur de l’époque pourrait y conduire, du moins dans l’absurde. Un permis pour faire l’amour? On y vient. Il pourrait prendre la forme d’un « Carnet du Consentement », comme on dispose déjà d’un carnet de santé.
Les comportements sexuels féminins n’ont pas fini de surprendre. C’est un constat, pas un jugement. On reconnaît habituellement aux femmes plus de réserve qu’aux hommes. L’affaire que j’évoque se passe aux États-Unis, dans la petite ville d’Evans, en périphérie d’Augusta en Géorgie.
Encore un sujet délicat et propice à la controverse. C’est la caméra cachée qui fait s’indigner les internautes depuis 3 jours. Elle est réalisée par un centre de désintoxication. Le but est de montrer les risques de l’alcoolisation dans la rue et le harcèlement qui s’en suit.
Susan Patton est citoyenne américaine. Qualifiée d’ultra réac, elle a défrayé récemment la chronique au sujet du viol. Elle a en effet déclaré sur CNN que tous les viols ne sont pas identiques et que certains ne devraient pas être ainsi qualifiés: «Ce ne sont plus des viols avec la menace d'un flingue ou d'un couteau. Il y a viol et viol. Je crois qu'il s'agit surtout de femmes qui ont beaucoup bu et qui couchent avec un homme, une relation qu'elles regrettent le lendemain. Pour moi, ce n'est pas un crime, ce n'est pas un viol. C'est une expérience d'apprentissage».
Le crash de l’avion en Ukraine suscite des inquiétudes sur la manière dont la sécurité peut être assurée, et sur la volonté de faire monter un peu plus la tension est-ouest.
La sécurité des citoyens est une des priorités des Etats organisés. C’est bien normal. Depuis des milliers d’années les humains disposent de police, de justice et d’armée pour assurer cette sécurité. Au Moyen-Âge c’était le rôle des seigneurs, que les paysans payaient par une taxe.
C’est fait dans le Colorado. Depuis hier le cannabis est en vente libre dans des boutiques spécialisées. Il faut avoir au moins 21 ans et la vente est limitée à 28 gramme à chaque visite.
Une nouvelle étude statistique publiée en France concerne les accidents de la route. Selon les chiffres les hommes conduisent plus dangereusement. «Si les hommes conduisaient comme les femmes, il y aurait donc moins de victimes sur nos routes», affirme la Préfecture de police. Le magazine Elle, qui commente l’info, précise: «75% des morts sur la route sont des hommes et parmi les 25 % de femmes, 32% d’entre elles étaient passagères». Et encore: «En 2012, trois quarts des accidents de la route à Paris ont été causés par des hommes, révèle ainsi la préfecture de police. Sur les 6 329 accidents recensés l’année dernière, seulement 1 542 femmes, soit 25%, sont « présumées responsables.»
Jusque là je croyais que l’on accusait un sportif de dopage sur la base de preuves formelles. Que sans présence de produit interdit dans les analyses on ne pouvait rien affirmer. Et encore moins condamner. Avec Lance Armstrong cela a changé. Il restera le héros déchu par les témoignages de ses camarades.
En suite à mon billet d’hier appelant François Hollande à faire comme en Hollande, je reviens sur la position du ministre de l’intérieur Manuel Valls. Celui-ci s’oppose à la dépénalisation du cannabis pour des raisons de sécurité. Selon ses propos la gauche française est assez critiquée pour son laxisme en la matière ou son refus d’assumer ses responsabilités, et tout changement de doctrine sur le cannabis serait perçu comme un retour aux vieux démons.
La Suisse vient de décider que fumer un joint ou posséder moins de 10 grammes d’herbe ne sera plus un délit poursuivable. Une simple contravention de 100 CHF fera l’affaire. Enfin un pas vers une position plus réaliste, même si on est encore loin du compte. La France reste partagée entre le conservatisme rigide d’un Hollande ou d’un Sarkozy, et le pragmatisme de quelques politiciens et politiciennes qui osent braver l’omerta.
Le sexisme se loge parfois dans des domaines inattendus et malheureux. C’est le cas de la nouvelle campagne de la Sécurité Routière en France. Appuyée par de nombreuses personnalités féminines cette campagne voudrait sauver les hommes, qui représentent 75% des tués sur la route contre 25% de femmes.
Les cendres d’Amy Winehouse sont encore chaudes dans l’incinérateur et déjà sa mort est récupérée pour refroidir les ardeurs des consommateurs de drogues. Les jeunes UDC valaisans produisent en effet une affiche qui fait polémique. Je leur en propose deux autres pour élargir le débat.
La nouvelle a été diffusée par le journal britannique Sunday Mirror: Amy Winehouse a été retrouvée morte à son domicile londonien par la police, la nuit dernière. Elle avait 27 ans. Elle aurait succombé à une overdose d’alcool et de drogue.
Juin 2010. Défilé de la collection hommes du printemps 2011. John Galliano choisit comme référence initiale le personnage de Charlot dans Le Dictateur, film où Charlot parodie Hitler. La collection est mise en scène et en musique, une musique plutôt pop sur un fond de rythme plutôt martial. Quelques vidéos sont faites. Je lis à plusieurs endroit des commentaires sur ce défilé: il montrerait la nostalgie de Galliano pour Hitler et le nazisme.
En marge de cette affaire démesurée, que sa démesure elle-même rend suspecte, et en marge du révélateur sociétal qu’elle représente, d’autres réflexion viennent. Galliano, les juifs, l’assassinat médiatique: comment clarifier ces thèmes intimement imbriqués dans cette affaire?
Je propose d’explorer deux autres aspects de cette affaire. L’un a été évoqué dans certains commentaires et mérite je crois d’être mis en avant. Je ne suis pas fan des théories de complots. S’il en existe, je ne veux pas m’encombrer l’esprit de choses que je ne peux pas vérifier. Je fais mon chemin selon mes convictions, mes appartenances ne recoupent pas les clivages habituels et c’est ainsi. Mais même si je ne reprends pas à mon compte les théories de complot, certaines affaires ont un drôle de parfum.
Parfois les soldats sont fatigués. Gagner des batailles n’est pas de tout repos. Et il en a gagné, des batailles. Pendant les quinze ans où il a collaboré avec la maison Dior, celle-ci a vu son chiffre d’affaire multiplié par six. John Galliano est un bon soldat. Et comme tout soldat on le retrouve parfois à la cantine. Fatigué. Une peine dans le coeur, à ce qui se dit. Alors il boit. Il boit comme on peut boire parfois: trop. Et quand on boit trop - ou que l’on a mélangé l’alcool avec autre chose - on dit des conneries. Alors il dit des conneries, le soldat Galliano.
Admettons que vous ayez déjà bien festoyé à Noël. Le boeuf de la crèche est passé au four et revenu sur la table en grosses tranches bien épaisses et juteuses. Le tout arrosé de... combien déjà de bouteilles de Bourgogne ou de Bordeaux? Plus les pousse cafés. Et encore, en l’honneur de l’esprit religieux à l’origine de la fête et de tous les enfants qui crèvent de faim et de leurs parents noyés en Méditerranée, vous vous freinez. Ce que vous ne mangez pas ce soir-là, vous le donnerez pour leur faire des cercueils décents. Bref, il faut déjà une bonne semaine pour vous en remettre.
Il y a des jours où certaines nouvelles donnent envie d’effacer le calendrier. Des jours à flinguer, histoire de modifier le cours du temps et la folie ordinaire des humains. Ce ne sont même pas des jours de guerre, même si quelque part en Afghanistan des soldats, des civils et des intégristes continuent de maculer de leur sans la terre où l’on cultive l’opium.
Toute société dispose de substances psychotropes pour permettre à ses membres de changer d’état de conscience, d’oublier, de se détendre, de faire la fête, de se donner de énergie ou de vivre une expérience mystique. C’est l’opium dans certaines régions du monde, le kif, la mescaline, l’herbe, la coca dans d’autre, et aussi bien sûr l’alcool.