L’encore président se mue en magicien, en vue de l’annonce possible de sa candidature. Selon l’Obs et d’autres médias, il plancherait sur une proposition susceptible de le remplumer électoralement.
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L’encore président se mue en magicien, en vue de l’annonce possible de sa candidature. Selon l’Obs et d’autres médias, il plancherait sur une proposition susceptible de le remplumer électoralement.
Le gouvernement français a publié une statistique comparant l’évolution des niveaux en orthographe depuis trente ans. Entre 1987 et 2016 le taux moyen de fautes a presque doublé.
Une portion d’électeurs de gauche aurait voté à la primaire de la droite, et donc partiellement financé la campagne des Républicains et de l’UDI. Aux dernières nouvelles ils n’ont pas mangé leur chapeau.
Que lis-je dans le quotidien Le Monde? Émotion mondiale suite au décès du Leader Maximo. De quoi être étonné. Parce que, si ce n’était pas la joie pour les cubains avant lui, ça n’a pas été la salsa après non plus.
Petit Bourgeon ne deviendra jamais fleur. Elle est trop morte. Sa mère et son beau-père ont été complices dans son massacre. Elle dort pour toujours. Petit ange Fiona ne souffrira plus.
Je suis surpris par le dernier billet (lien ici) du blogueur Didier Bonny. Je pourrais répondre sur son blog car j’ai eu l’occasion de constater par moi-même qu’il est toujours ouvert au dialogue, courtois et qu’il ne refuse pas la confrontation des idées.
Alain Juppé est comme un rat en cage. La secousse électorale de dimanche est son choc électrique. Ce choc produit trois réponses de la part des rongeurs: la lutte, la fuite ou l’inhibition.
Le monde ouvert est mort. La guerre, celle des armes et celle des mots, gagne du terrain. Face au déchaînement de violence il n’est pas possible de rester neutre.
Paris est le centre de la France. La preuve? Les élites s’y trouvent. Ailleurs on est en province, avec ce que cela suppose de parfum de naphtaline et de crottes ovines.
Des années de doctrine interventionniste, de Georges W. Bush à Barak Obama, se soldent par un bilan effroyable et un monde devenu beaucoup plus dangereux. Même le gain de paix de la construction européenne n’est plus garanti.
Dans une proposition politique j’écoute le thème et le contenu, mais aussi celui ou celle qui le porte et comment il ou elle communique. Non pas pour juger « au faciès » mais parce que le non-verbal est à mon avis souvent éclairant sur la personnalité des candidats et leur capacité à aller au charbon.
Michael Moore vient d’appeler à manifester contre Donald Trump jusqu’à ce qu’il se retire. Parce qu’Hillary Clinton a obtenu plus de suffrages en nombre que son adversaire. C’est vrai. Pourtant la carte de l’élection montre autre chose d’intéressant.
En septembre dernier Angelina Jolie, copine des Clinton, avait accablé son Brad de mari. Aujourd’hui il semble que la messe soit dite: l’accusation de violence a fait plouf dans le bénitier. Coup monté ou crise borderline?
Hier le président Obama s’est dit inquiet de l’élection de Donald Trump. Il lui demande de tendre la main aux femmes et aux minorités. Ce faisant n’alimente-t-il pas encore la division de la société américaine?
Les miroirs se brisent. Le camp démocrate est aux abois. Les violences physiques contre des supporters de Trump s’exposent sur youtube, alors que la Fondation Clinton navigue en eaux troubles.
Trois jours après l’élection je lis une critique dans un journal nord-américain: Donald Trump ne dit que ce que ses supporters ont envie d’entendre. Ce serait du populisme. Mais chaque parti ou candidat ne dit-il pas ce que son électorat veut entendre?
Je n’accable pas madame Clinton. Elle est à terre et j’imagine sa déception. Construire sa vie sur cet unique objectif et échouer au poteau: destin cruel. Et si elle en avait trop fait?
Le FBI a refermé la nouvelle enquête sur l’affaire des courriels de la candidate. Il n’y a pas d’accusation. Dont acte. Cela n’éteint pour autant pas les questions.
À son tour l’ex-directeur adjoint de l’agence et ancien chef du bureau de New York, James Kallstrom, dénonce les méthodes du couple Clinton. Dans une interview télévisée (vidéo ci-dessous) il les qualifie de « Criminal family », soit famille du crime.
Quel que soit le contenu des messages c’est une affaire d’État, selon le journaliste Gérald Olivier. Il connaît bien les États-Unis. Il est titulaire d’un Master of Arts en Histoire américaine de l’Université de Californie. Il a vécu plusieurs années sur la côte ouest. Aujourd’hui il tient un blog: France-Amérique.