Alerte astéroïde.
Cela fait partie des angoisses des temps modernes. Une météorite qui percute la Terre, selon la taille et le lieu d’impact, ce peut être une mégacité comme Paris ou New York réduite en cendres, ou un hiver climatique.
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Alerte astéroïde.
Cela fait partie des angoisses des temps modernes. Une météorite qui percute la Terre, selon la taille et le lieu d’impact, ce peut être une mégacité comme Paris ou New York réduite en cendres, ou un hiver climatique.
L’agence états-unienne vient de l’annoncer: en août prochain aura lieu un premier vol test pour le matériel, sans astronaute. Une capsule ira jusqu’à notre satellite naturel et reviendra.
En décembre dernier, le Faucon Pèlerin japonais larguait sur Terre plus d’un gramme de matière capturée dans le ciel. Capturée assez loin: sur l’astéroïde Ryugu à 440 millions de kilomètres.
Je continue avec ce focus sur l’actualité. C’est aussi une belle histoire, l’histoire d’une réussite à plusieurs niveaux. Elle montre, pardonnez-moi ce jeu de mot incertain, que la persévérance est parfois récompensée.
Trop chère et inutile, l’exploration spatiale? Ou bien sommes-nous déjà blasés du merveilleux? Pourtant la quête du merveilleux n’est pas le seul moteur des fusées. Les retours sur investissement, en brevets et en qualité de vie, justifient largement la poursuite des opérations spatiales.
L’astromobile Perseverance s’est envolé pour Mars (images Nasa, clic pour agrandir). La mission est évaluée à 2,5 milliards de dollars. Trop chère disent certains selon BFMTV, qui ne comprennent pas qu’en temps de crise l’argent ne trouve pas une utilisation plus terre-à-terre.
Le 31 octobre 2018 le magazine Nature publiait un article alarmiste sur le réchauffement des océans. Il serait beaucoup plus rapide qu’on ne le pensait. Nature est une référence. Les articles sont supervisés et validés par des pairs. Les auteurs de l’étude sont des scientifiques de réputation mondiale.
La vue des images, la pensée de l’événement, stimulent mes neurones. Mais aussi la formidable organisation qui a permis de tout imaginer et mettre en place, dont des centaines de milliers de collaborateurs directs ou sous-traitants, ainsi que l’état d’esprit qui a prévalu. De la première idée au dernier boulon serré, tout était scruté, transparent et évolutif. Ci-après, quelques extraits d’un article de Marc Tison paru dans lapresse.ca qui expose cela point par point.
« Température de -95° Celsius (-139° F) le matin. Plus chaud l’après-midi avec -13° C au plus fort de la journée. Vent faible de sud-ouest 14 km/h. Pression en légère hausse. Pas de tempête de sable annoncée pour les prochains jours. Ciel clair et dégagé sur Elysium Planitia. »
« Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes? » Ces mots d’une pièce classique ne sont ici qu’une lointaine métaphore. Les serpents de ce jour sont le plus souvent silencieux, et invisible d’en bas.
Politiciens et médias sont à l’affut de tout élément susceptible de marquer les esprits. Au point de véhiculer parfois des idées ou informations sans aucun fondement. En voici deux parmi d’autres.
Rapide survol de Mars grâce à quelques-unes des belles images de la planète rouge. On y découvre que cette couleur, observée depuis des temps anciens, est plutôt orange ou ocre quand on approche de son atmosphère ou de son sol, comme le montre l’image 1 de l’horizon martien (image CNES, clic pour agrandir).
Voilà, c’est fini. Quel moment extraordinaire: la fin en direct d’une mission spatiale historique. Fascinés par le haut degré de technologie de la mission Rosetta on oublierait presque son aspect humain, sans quoi rien ne serait pourtant possible.
Le ciel est comme un terrain de jeu pour les uns. Facétieux et audacieux, ils s’élancent, qui à l’horizontale comme Bertrand Piccard, qui à la verticale comme Luke Aikins. Pour les autres c’est un écran de pub.
Des experts de la Maison Blanche accusent le changement climatique en ce qui concernent la longue sécheresse subie par la Californie. La pluie est revenue, mais après des années de pertes pour la production vivrière.
Comment ne pas être sous le charme? Les images récentes de Pluton délivrées par la sonde New Horizon et la Nasa sont fascinantes. La toute dernière en haute définition fait penser à ces vues d’artistes qui illustrent l’espace inconnu.
Ça castagne dans les étoiles. Pif! d’un côté. Paf! de l’autre. Le tout finissant sous peu dans un grand crash. L’équilibre de l’univers aurait vacillé si les choses avaient été vues en plus grand. Si par exemple la sonde Messenger était de la taille de la Corse: l’explosion serait mémorable.
Si une machine n’a pas d’états d’âme, les astronomes ne cachent pas leur plaisir. Le héros de la fête s’appelle Hubble. Le télescope spatial est au moins aussi connu que les Beatles et Ronaldo. Il est devenu le symbole de l’inouïe percée technologique de ces dernières décennies.
Le réchauffement des pôles devait être un signe majeur du changement climatique anthropique. Depuis des années nous sommes submergés d’informations alarmistes sur cette partie du globe. Mais pas toutes les années. Pourquoi? Parce que la banquise n’en fait qu’à sa tête. Ou presque.
L’émission télé Mars One a relancé l’intérêt du public pour une émigration sur la planète Mars. Des milliers de volontaires se sont inscrits pour un voyage sans retour, et seuls quelques-uns resteront dans l’émission pour un départ bien hypothétique. Serait-il possible d’émigrer et de coloniser la planète rouge?