S’il est des utopies politiques, celle-ci doit appartenir aux plus extrêmes, aux plus irréalisables. Que cela ne nous empêche pas d’imaginer une gouvernance fondée sur la sagesse et non sur un programme politique partisan.
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S’il est des utopies politiques, celle-ci doit appartenir aux plus extrêmes, aux plus irréalisables. Que cela ne nous empêche pas d’imaginer une gouvernance fondée sur la sagesse et non sur un programme politique partisan.
La NZZ (Neue Zürcher Zeitung) publie aujourd’hui un article qui va faire du rock’n’roll dans le monde politique suisse. Et pas seulement Suisse. Il s’agit d’un accord secret visant à soutenir la reconnaissance internationale de l’OLP (Organisation de Libération de la Palestine) en échange de la paix terroriste sur le sol helvétique. L’information commence à être reprise par des médias romands.
L’humanisme est-il un sentimentalisme ?
A lire le dernier billet de Vincent Strohbach, « Les derniers humanistes », diverses questions me viennent. Qu’est-ce que l’humanisme? Les deux exemples cités sont-ils vraiment des humanistes? Pourquoi ce défaitisme devant le changement de paradigme du monde: était-ce vraiment mieux avant?
Ils sont tous des Nafissatou Diallo. C’est pourquoi les réactions fort tardives de féministes aux violences de Cologne, expriment un tel désarroi. L’incohérence qui devait tôt ou tard éclater vient au grand jour. C’est fait.
Dans notre société d’images, où chaque événement est immédiatement fixé et envoyé à travers le monde, il y en a peu, si peu sur les incidents de la gare de Cologne. A part quelques photos qui n’en sont pas. C’est intrigant. On croit ce qu’on nous dit. On ne voit rien.
Il n’a pas fallu très longtemps pour que le refrain vissé dans certaines têtes ne revienne sur les ondes. Dix jours. Labourons encore une fois ces croyances délétères et cette absurdité.
Une nouvelle version est suggérée à propos des événements de Cologne. Les témoignages et les vidéos sur les agresseurs convergent sur un point: des hommes de type nord-africain ou arabe. Combien y en a-t-il exactement? Environ 1’000 ont protégé ceux, une centaine, qui ont tenté de voler des biens ou agressé et transgressé la hiérarchie du corps.
On apprend que la Norvège a déjà mis sur pied des cours d’adaptation aux valeurs européennes pour les migrants. La Tribune de Genève en parlait le 3 novembre dernier. En Belgique la même proposition est considérée comme raciste par un cabinet ministériel féministe.
Il reperd des points de sondage aussi vite que le reflux de la vague. On croirait entendre Edith Piaf: « Emporté par la foule… ». Alors Fanfrelande n’en finit plus de ramer.
La déchéance de la nationalité française fait débat. Un débat qui sert d’écran de fumée au pouvoir car cette mesure est plus symbolique qu’efficace. Elle porte même à humour (noir) si l’on imagine les morceaux de corps des terroristes renvoyés dans leur pays d’origine. Et elle confirme en creux l’importance de l’identité nationale aux yeux de la gauche qui jusqu’alors piétinait cette notion.
Après Lens c’est Béziers qui défraie la chronique. Mais cette fois avec une question plus dérangeante: certains responsables de « l’oecuménisme » entre chrétiens et musulmans sont-ils proches ou affiliés à une mouvance islamiste? Cette question est posée par le Journal de Béziers, édité par la mairie sous la responsabilité de Robert Ménard.
L’initiative a été saluée dans la presse française, dont on sait qu’elle n’est plus réputée pour la pertinence de ses analyses. Devenue simple chambre d’écho, tout ce qui dégouline de guimauve et de bons sentiments fait le bonheur des rédactions. Le pays de Voltaire est devenu celui de Casimir.
Il faut entendre l’accent en néerlandais: Zwarte Piet! Superbe. Ce personnage du folklore est aujourd’hui voué au bûcher. Brûlé sur l’autel de l’antiracisme. A se demander si l’antiracisme d’aujourd’hui ne rend pas idiot. Personnellement je le pense.
Trois femmes pour parler de Noël et de nos racines: Joana, Léa, Natacha. Noël est une des fêtes fondatrices de la culture européenne. L’occasion de dire quelques mots à propos de racines. Les racines? Là d’où l’on vient, par où l’on a pris souche.
Mon précédent billet se terminait ainsi: « Le productivisme présente cette contradiction qu’à la fois il permet la survie de l’espèce dans des conditions inespérées, et la pousse en même temps au bord du précipice de la saturation et de l’insignifiance. » J’en dis un peu plus.
« La Terre n’appartient pas à l’Homme, c’est l’Homme qui appartient à la Terre ». Cette phrase attribuée au chef indien Seattle, de la tribu Suquamish, a été l’une des balises philosophiques de ma jeunesse.
Ah ça! Fallait-il donc qu’elle soit à fleur de peau pour avoir tweeté des images de Daech dans ses oeuvres? Nous, blogueurs lambda et commentateurs assidus, pouvons nous permettre de grosses bêtises: nous ne représentons ni un parti ni un modèle.
C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme, chante Renaud. Elle prend aussi la femme parfois. Et la rend ensuite. La rend célèbre. De cette célébrité la femme fait usage. C’est légitime. On ne traverse pas les océans à la rame sans quelques mérites.
La sanction n’est pas sévère pour le Front National. Sa défaite était prévisible dans au moins deux régions après le désistement du parti socialiste. Elle est plus significative dans l’est où Florian Philippot fait du sur-place, indiquant que les voix abstentionnistes ont profité à la droite européiste.
Il est beaucoup question de morale ces jours en Normalie. Argument ultime faute de mieux. On ne peut taxer les millions de français qui ont voté pour les listes du Front National d’immoralité. « Ils » le font pourtant. Voyons le but de cette manoeuvre.