En préparation d’une grosse annonce pour demain, je cite l'essentiel d'un échange ayant eu lieu samedi dernier, lors de cette belle soirée sous la lune. Nous partagions le repas du soir à cinq, sur la terrasse d’une amie, ma partenaire en théâtre.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
En préparation d’une grosse annonce pour demain, je cite l'essentiel d'un échange ayant eu lieu samedi dernier, lors de cette belle soirée sous la lune. Nous partagions le repas du soir à cinq, sur la terrasse d’une amie, ma partenaire en théâtre.
Il y a quelques années le blogueur Per Amman, dit Blondesen, décédait d’un cancer. Blondesen publiait jusqu’alors des billets iconoclastes et pleins de sens, longs, drôles, critiques, sans limites, audacieux.
Dans la polémique du jour je me permets ces quelques lignes. Pour ma part je me suis senti mal à l'aise à la lecture de ce qui s'est dit sur les décorations données aux sauveteurs du Thalys. Aujourd'hui je m'adresse aux blogueurs au coeur de cette polémique.
La rédactrice en chef du Matin dimanche, Ariane Dayer, publie aujourd’hui un édito sur « Le bon et le mauvais migrant ». Elle veut parler des réfugiés. Elle refuse de faire des catégories entre les bons réfugiés, ceux qui fuient la guerre, et les mauvais, ceux qui fuient la pauvreté.
Le président français déclarait il y a deux jours: « Nous devons réduire les emprises terroristes sans préserver Assad. Les deux ont partie liée. En même temps, il nous faut chercher une transition politique en Syrie, c'est une nécessité. ».
Dans une récente discussion sur la guerre de Vendée, que je qualifiais d’idéologique, une internaute faisait remarquer que nous avons tous une forme d’idéologie même si nous nous en défendons. De mon côté je vois dans l'idéologie une forme particulière, autoritaire, dictatoriale de la pensée, et surtout de la pensée politique.
Dans un article le sociologue Jean-Pierre Le Goff analyse les nouveaux positionnements de la gauche française. Cet ancien de Mai 68, ancien maoïste, a su faire son autocritique et démonter les tendances totalitaires qui ont parcouru l’époque et le mouvement.
C’est la démagogie moderne: la Légion d’Honneur est attribuée avant même que les héros aient pris leur douche. Suants, aisselles trempées, cheveux collés, habits déchirés, odeur de peur et phéromones du courage, les héros modernes doivent être consommés rapidement.
On peut approuver les lois antiracistes sans bêler avec Harlem Désir. On peut souhaiter pour les personnes homosexuelles une vie libre et sécure sans reconnaître l’expression «mariage pour tous».
Polémique en Suisse. L’évêque de Coire, Vitus Huonder, s’est exprimé en citant un passage de la bible, précisément du Lévitique : «Quand un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable; ils seront punis de mort: leur sang retombera sur eux.»
La Maire de Genève, élue des Verts, a tenu discours samedi soir pour la Fête nationale. Dans un doux bourdonnement concurrent aux Fêtes de Genève elle a parlé de patriotisme agricole. Patriotisme est décidément un mot revenu en grâce.
Je complète mon billet d’hier. J’ai dénoncé avec force 10 ans d’emprisonnement d’un homme sur la base d’une fausse accusation, mais aussi une loi qui accrédite un climat paranoïaque dans les relations entre femmes et hommes. Je m’en suis ouvert dans un commentaire et je crois que cela vaut un billet à part entière.
François Bayrou est silencieux comme un tracteur électrique en panne de batterie au milieu du champ. Allez chercher une borne au milieu du sainfoin! Pourtant il progresse dans le coeur des français. Se taire est peut-être le meilleur discours dans cet Hexagone chiffonné.
Caroline Fourest a quelque chose d’un Tariq Ramadan au féminin. Elle est aux intégristes fuchsias ce que Tariq est aux Frères Musulmans: une publicité médiatique présentable. Elle a donné une interview au magazine Causeur dans laquelle elle s'exprime sur la GPA.
On connaît ces situations où la femme devient enceinte sans que le couple n’ait explicitement discuté d’un projet de famille. Dans certains cas la grossesse est accidentelle, dans d’autre elle est une trahison.
Sous l’égide de la Mairie de Paris, la nuit du ramadan s’est mise en scène une nouvelle fois. Spectacle retransmis par la télévision. Plusieurs artistes y participaient. Ce genre de manifestation me touche peu. Les célébrations obligées ne sont pas ma tasse de thé. Mais c’est le jeu.
Je m’avance et me fends d’un scoop. Le « truc » de la conférence de cet automne sur le climat sera la sixième extinction de masse. Probablement. Celui de la conférence de Varsovie en 2013 avait été le typhon Hayan et la grève de la faim très médiatisée et émotionnelle du délégué philippin.
J’aime bien Rama Yade. Je l’ai déjà écrit. Et je l’aime encore plus quand elle semble découvrir le monde réel. Elle peut même dire de grosses bêtises, ce qui est un bon point. Et elle ne s’en prive pas.
Je retiens trois choses de la mini-polémique autour du Conseiller d’Etat Luc Barthassat sur le blog de Sylvain Thévoz. La première concerne la vie privée et familiale des personnalités publiques. La deuxième a trait au modèle socialiste de M. Thévoz. La troisième à la duplicité de l’auteur de cette polémique en période électorale.
Si les blog TdG se sont enflammés pour la Grèce depuis le référendum, certains blogueurs français ont carrément joui ! Pour témoin ce titre emblématique : « Je suis Grec. » Pour ma part, réflexion faite, je ne suis pas Grec.