L’administration Obama avait mené une politique de culpabilisation envers les étudiants de sexe masculin. Il s’en justifiait en déclarant: « On estime qu’une femme sur cinq a été agressée sexuellement pendant ses études – une sur cinq. »
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L’administration Obama avait mené une politique de culpabilisation envers les étudiants de sexe masculin. Il s’en justifiait en déclarant: « On estime qu’une femme sur cinq a été agressée sexuellement pendant ses études – une sur cinq. »
« Ma fille sort avec un noir? Bon, pourvu qu’elle soit heureuse. » Un tel propos serait habituellement qualifié de raciste. C’est vrai quoi, la couleur de peau ne fait pas la valeur personnelle et l’invoquer laisse planer un parfum… comment dit-on? Nauséabond.
J’ai appris par mes profs qu’un chanteur ou comédien ne doit pas vivre lui-même l’émotion qu’il propose au public. Le show sert à éveiller les sentiments de l’auditeur, pas à déverser ceux de l’interprète. C’est d’ailleurs dans la grande réserve que les plus grandes émotions trouvent leur espace.
Je soulevais précédemment la question d’un apartheid anti-hommes, suite à l’annulation du festival suédois du Bråvalla. À cause de quelques hommes, c’est l’ensemble du groupe masculin qui est visé par un ostracisme et une exclusion que l’on croirait repris des anciennes lois raciales états-uniennes.
Le Bråvalla attire 50’000 spectateurs par édition. Il se déroule dans la petite ville de Norrköping au sud de Stockholm. Malgré son succès, ce plus important festival de rock en plein air de Suède sera annulé en 2018.
De notre envoyé spécial sur le front. – Chers auditeurs, la situation est dramatique. Il ne passe pas un jour sans que de nouvelles preuves en images n’apparaissent sur internet. L’épidémie ne connaît pas de fin. Son ampleur est difficile à mesurer mais le phénomène, massif, est constaté sur toute la planète.
La Procréation médicale assistée n’est un droit pour personne. C’est un moyen pour que les couples, dont l’un des partenaires est stérile, puissent procréer. Or procréer n’est pas un droit, c’est un fait de nature.
Je termine momentanément en reprenant les informations sur le harcèlement de rue. Le chiffre avancé de 72% des jeunes femmes de 16 à 25 ans victime de harcèlement est-il fiable? L’étude lausannoise pose question. Ou plutôt sa diffusion, car elle n’est pas, de l’aveu même de ses commanditaires, représentative de la population.
Madame Caroline Dayer a-t-elle fébrilement, jeudi, plongé dans les statistiques canadiennes? Parce qu’au débat de mercredi soir elle ne semblait pas les connaître – alors que c’est son job.
En vrac. 52 minutes c’est très court pour creuser un thème. Il faut partager le temps bien sûr et garder une dynamique d’émission. Mais le temps n’est pas en cause: je ne suis globalement pas satisfait de mon intervention. Pas assez incisif, manquant des points importants, des synthèses. Pas assez méchant. Il y avait heureusement Myret Zaki et Alain Valtério, des méchants de qualité.
Le débat d’Infrarouge ce soir à 22h30 environ traite du thème du sexisme. J’y participe comme invité. Le terme sexisme est en général associé à misogynie, soit aux discriminations de genre au détriment des femmes.
Quand ce n’est pas une chose, c’en est une autre. Chaque année, voire plus fréquemment, un nouveau thème apparaît. Le harcèlement est sans fin. Entre les attaques de base et celles, secondaires, visant un point de détail du comportement, tout est bon.
Elles sont journalistes ou auteurs. Elles portent entre 25 et 40 ans. Elles ont l’esprit aiguisé et la parole forte. Elles ne sont pas membres d’un club mais une même quête de lucidité et de refondation intellectuelle les anime.
Sur un blog voisin russophile, l’auteur a posté hier un billet polémique. J’y suis mentionné sans être nommé. C’est l’air du temps: on n’est rien de précis, ni homme ni femme, sans identité remarquable ou évocable, comme des ombres errantes dans le crépuscule. J’y réponds sur le même mode.
Depuis 2007 le président Ramzan Kadyrov impose l’islamisation de la société tchétchène, par le rétablissement de la polygamie, la chasse aux personnes homosexuelles, l’assujettissement des femmes, l’obligation de porter le « costume musulman » (voile, jupe longue), entre autres.
Hier soir je cherchais la rétrospective Nasser: RTS 2 l’avait remplacée par le concert de Manchester d’Ariana Grande & Co. Alors j’ai regardé ce One Love tant que j’ai pu. Je dois dire que la petite Grande est terriblement charmante. La Grande soeur idéale des adolescentes.
Ça balance pas mal à Paris. L’affaire Hanouna n’en finit pas de faire des vagues. Avec un possible retour de boomerang sur les accusateurs, au vu des derniers développements. Le Refuge en a-t-il trop fait?
Station de métro Waterloo, Londres, août 2015. L’heure de pointe. Après un repas bien arrosé un procureur et une avocate sont pris d’une envie subite de gros câlin. Sortis du restaurant ils s’adossent à un mur de la station et s’entreprennent mutuellement.
Il y avait un manque. Le clitoris est insuffisamment traité dans la plupart des manuels de Sciences Naturelles: dessin incomplet, nom manquant, organe carrément absent. Selon un petit groupe d’enseignants c’est une discrimination.
Les comportements sexuels féminins n’ont pas fini de surprendre. C’est un constat, pas un jugement. On reconnaît habituellement aux femmes plus de réserve qu’aux hommes. L’affaire que j’évoque se passe aux États-Unis, dans la petite ville d’Evans, en périphérie d’Augusta en Géorgie.