La nièce de la Marine nationale se met en retrait de la politique. Elle ira promener son look de rockeuse flamboyante dans le privé et mettre les mains dans le cambouis. Et s’occuper de sa pitchoune de trois ans.
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La nièce de la Marine nationale se met en retrait de la politique. Elle ira promener son look de rockeuse flamboyante dans le privé et mettre les mains dans le cambouis. Et s’occuper de sa pitchoune de trois ans.
Finalement le jeune Emmanuel Macron a endossé le costume de ses aînés. Fini le printemps et les petits oiseaux, ou le petit Jésus en croix. Le clivage est de retour, le mensonge débité à la hache. La violence verbale et morale marche au turbo.
Un peu de légèreté mais pas de l’anodin. Cela se passe à Rochefort en Charente-Maritime, pas loin de La Rochelle. Une petite ville charmante de 24’000 habitants. C’est le quotidien Sud-Ouest qui relate le fait divers.
Mon récent billet sur l’uberisation du sexe par la mise aux enchère de la virginité a suscité une discussion vive avec une internaute canadienne. J’avais posté un lien vers mon billet sur un site au Québec. J’y publie parfois ceux de mes billets qui peuvent entrer dans la thématique: progrès et liberté.
Pas mécontents de voir bientôt les talons du parti socialiste, les français. Il en a fait assez. De la fétide théorie du genre à l’école, où l’on apprenait que Mehdi mettait du rouge à lèvres, à l’interdiction de proposer une information contradictoire sur l’avortement ou les vaccinations, ils fallait qu’ils dégagent.
Elizabeth Warren, Michelle Obama, Hillary Clinton. Trois kadors du féminisme américain. Trois chefs de file de l’élite dominante. Trois bourgeoises éminentes du camp du bien. Pourtant elles discriminent les femmes.
Dénoncer le sexisme de manière unilatérale est à la mode. Cela fait partie de stratégies d’encerclement et de domination des hommes. Dernier exemple en date, les propos d’une directrice de recherche bernoise.
Ces réflexions suivent mon avant-dernier billet sur la faiblesse de l’État qui favorise les trafics d’humains (de migrants). Les causes des migrations sont plurielles. Il y a la pauvreté et le désir de gagner mieux sa vie dans un pays plus développé. Le désir également de changer de culture ou de philosophie de vie.
Je suis étonné comme beaucoup de ce qu’un homme si mince en expérience puisse être considéré comme présidentiable. Je cherche encore un axe central dans son programme qui le rende identifiable.
La Suisse ne goûte pas au grands mots ni aux superlatifs. En France par contre c’est une addiction. On ponctionne et détourne le vocabulaire pour donner un supplément de légitimité aux choses. Par exemple: citoyen.
Je parlais récemment de la peur la nuit, femmes et hommes comparés. Je rappelais que les hommes sont davantage victimes d’agressions que les femmes. Néanmoins je tiens compte de ce qu’elles sont en moyenne moins fortes physiquement et moins préparées à se battre, et qu’aujourd’hui elles sont culturellement conditionnées à être victimes.
Interpellée sur son tweet sexiste et raciste (voir mon précédent billet), l’élue socialiste de Rouen a donné sa version sur son blog, sobrement intitulé « Me connaître ». Et elle s’enfonce. Voici son communiqué.
Benoît Hamon, alias Dumbo, aurait dû utiliser ses aérofreins auriculaires pour ralentir les ardeurs de Laura Slimani. Cette élue socialiste et porte-parole du candidat pratique un racisme « cool » et un sexisme décomplexé. Ce qui lui vaut d’être aujourd’hui visée par une plainte pénale.
Lu jeudi 9 mars dans l’édito du Matin: « Les hommes. Ils se sentent à l’aise. Ils n’hésitent pas à prendre la parole. À la couper. Ils ont des théories et des avis. Ils écartent les jambes. Empiètent sur le siège d’à-côté. Ils se sentent légitimes. (scan en pdf ici)
En analysant les programmes des candidats, un Sherlock Holmes de la politique pourrait se demander comment cette idée saugrenue est venue aux français. « Abracadabrantesque, mon cher Watson », s’exclamerait-il, perplexe.
Elle s’est faite une vie après Malibu. Dans la défense des animaux au sein de l’association PETA (People for the Ethical Treatment of Animals) en particulier. Elle a aussi tourné récemment dans un clip de Julien Doré (voir à droite).
Le canari c’est Twitter. Le loup c’est le loup. Le Matin dimanche rappelle que le loup tue parfois des humains. Plus de femmes que d’hommes. Ah ça, le loup serait-il misogyne?
Imaginons un instant que la situation soit inversée: le Mexique serait le pays riche, et les États-Unis soient moins développés. Imaginons que tout le sud de ces derniers, en particulier le long de la frontière mexicaine, soit sous la coupe de milices armées au service des cartels de la drogue.
Ce n’arrive pas souvent. La présidente du tribunal de Rouen a lâché une phrase réaliste en plein procès. Un constat du réel. Jugeant en comparution immédiate une agression au couteau dans un couple, elle s’étonne du statut dont a bénéficié la prévenue.
Ce n’est pas l’apologie d’un meurtre mais ça n’en est pas loin. Le meurtre est ici banalisé et présenté comme une solution humanitaire. Comme une forme d’auto-défense, un acte héroïque dans une vie misérable. Il est raconté dans un livre à paraître prochainement.