En Suède des féministes ont lancé une campagne inattendue. Leur sympathie pour les migrants est particulière puisqu’elles demandent aux hommes européens: « S’il vous plaît ne nous protégez pas si nous sommes violées par des immigrants ».
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En Suède des féministes ont lancé une campagne inattendue. Leur sympathie pour les migrants est particulière puisqu’elles demandent aux hommes européens: « S’il vous plaît ne nous protégez pas si nous sommes violées par des immigrants ».
Pour la première fois depuis longtemps je trouve un réel fond à un discours féministe. Il s’agit du féminisme évolutionniste, défendu par Peggy Sastre dans sont récent livre « La domination masculine n’existe pas ».
Je parle aujourd’hui d’un autre monde. Il était une fois une époque sans consommation débridée. Une époque où l’on accumulait peu d’objets, où la technologie n’était appliquée qu’à l’essentiel. Où l’humain prévalait sur les distractions, sur l’apparence et sur le spectacle.
On croirait entendre Harlem Désir faisant le remake de Touche pas à mon pote. 30 ans de retard. Une génération. Un train. Un très long train.
Je parlais hier de la journaliste Eugénie Bastié. Je lui cède ma plume pour quelques lignes. Ce sont quelques extraits d’un article du 29 août dernier publié dans le Figaro. Elle y résume quelques clés du livre du juriste et philosophe Drieu Godefridi, La loi du genre (Les Belles Lettres, Août 2015). L’article entier est ici.
Petite histoire des temps très anciens. Au retour d’une chasse au mammouth particulièrement difficile, Caveman, le célèbre homme des cavernes, passe au téléjournal préhistorique sur la chaîne Dolmen +.
L’égalité a pris une place prépondérante dans l’organisation des relations humaines. Une place probablement excessive en regard des contradictions et aberrations auxquelles elle conduit parfois. D’autant plus excessive que l’égalité n’est pas un but en soi, elle est une disposition au service, par exemple, de la justice. Ce concept devra un jour être relativisé et limité à de strictes applications clairement définies.
On connaît ces situations où la femme devient enceinte sans que le couple n’ait explicitement discuté d’un projet de famille. Dans certains cas la grossesse est accidentelle, dans d’autre elle est une trahison.
C’est la raison invoquée pour cette retouche graphique. Et bien c’est raté. Enfin, si l’on admet la définition d’équité, qui a trait à l’esprit de justice et à l’égalité, mais aussi, selon l’étymologie du mot mentionnée dans le cnrtl.fr : « juste proportion ». L'équité est plus proche de « chacun selon son mérite » que d'une égalité dogmatique.
Amusante news sur un forum, qui illustre la prise de tête généralisée sur certains sujets. Un certain Rémy se plaint des tarifs de l’épilation dans un institut de beauté français.
Un troisième Bush brigue la présidence des Etats-Unis. Jeb vient de se déclarer candidat. Dans l’autre camps c’est Hillary qui veut y être. Deux candidats, deux familles qui squattent le pouvoir. En France on a eu la candidate Royal, puis le président Hollande, ou la famille Le Pen. La monarchie familiale tente de se refaire un look. Ou bien on tourne en rond, c’est selon.
Selon un sondage Ifop commandé par l’Organisation Internationale du Travail (OIT) et par le Défenseur des droits, en France de nombreuses personnes interrogées estiment avoir été discriminées à l’embauche.
- Non, non, je ne veux pas, dit l’un. Je n’appartiens à personne. Tu m’entends? A personne!
- Enfin, quelle mouche te pique?
- Je n’appartiens à personne parce que je ne suis la propriété de personne.
- Qui a dit que tu étais la propriété de quelqu’un?
- Le dictionnaire. Appartenir signifie: «Etre la propriété de quelqu’un».
- Ah. Oui. Donc tu n’appartiens à personne. Qui est concerné par cette déclaration?
Pour donner suite au débat et sur la notion de discrimination, je propose ici un éclairage juridique. Je rappelle d’abord que cette notion a un sens positif et un sens négatif. De nos jours le sens négatif prévaut dans l’usage médiatique et politique.
Ampelmann est devenu une icône. Mais il est si seul que certains politiciens veulent lui adjoindre une compagne. Pour la reproduction? Même pas. Pour recevoir de l’affection? Encore moins. C’est pour la parité femmes-hommes.
Les hommes meurent plus jeunes que les femmes. Ou moins vieux, selon par quel bout on regarde. Les statistiques sont sans pitié. En Suisse la différence hommes-femmes est de 4,2 ans en 2012. Ailleurs dans le monde c’est variable mais la même tendance se retrouve.
L’annonce ne trompe pas: il s’agit bien d’un renoncement au programme si contesté imposé aux écoliers du primaire par la ministre féministe Najat Vallaud-Belkacem et le ministre Benoît Hamon. Deux flèches battues en brèches.
Dans mon billet d’hier je souriais en montrant dans une vidéo quelques images de cette campagne américaine, ainsi que de son impact sur des hommes. J’était aussi étonné de voir des femmes et des hommes perdre à ce point toute fierté personnelle dans leur prise de position.
Les femmes devraient faire très attention en allant travailler. Elles s’exposent à de graves conséquences: les accidents du travail. En 10 ans en France, 23% de plus de femmes sont victimes de ces accidents, alors que l’on a constaté une diminution de 20% chez les hommes.
La société de complémentarité est suspectée d’encourager à l’inégalité des sexes parce qu’elle favorise des stéréotypes ou des modèles de comportements fixes et cloisonnés. Dans l’imagerie dominante matraquée depuis quelques années, une femme ne pourrait être autre chose que mère et boniche, un homme que héros et maître absolu. Quelle imagination! L’univers manichéen et simpliste de la bande dessinée est entré dans la sociologie.