Lu dans Le Matin dimanche de ce jour.
Pendant que Chelsea mouline, Angelina veut un vrai homme. Et les ouragans sont sexiste. Parole du Matin dimanche. Voyons cela.
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Lu dans Le Matin dimanche de ce jour.
Pendant que Chelsea mouline, Angelina veut un vrai homme. Et les ouragans sont sexiste. Parole du Matin dimanche. Voyons cela.
J’ai découvert hier que le mal est plus profond que je ne l’imaginais. De quoi faire bondir mon coeur inlassable. C’est une grosse surprise. Voyons cela par étapes.
«La France, un pays de merde?» Surfant sur les propos du footeux Zlatan Ibrahimovic, figure de proue de l’équipe du PSG, le magazine suédois Fokus reprend l’affirmation sous forme de question. Sa une mentionne trois éléments qui confirmeraient les propos d’Ibrahimovic: zéro croissance, 10% de chômeurs et le Front National en marche vers la victoire.
Le plus important ce 8 mars 2015 n’est pas la misandrie en creux ou explicite, ni l’humiliation des femmes désignées comme victimes par principe, on a l’habitude. A l’instar de ce site intitulé 8mars.info qui publie cet élément du credo (image 1) installé dans les esprits: «Pour montrer votre opposition à la violence des hommes envers les femmes, portez un ruban blanc...». Seuls les hommes sont désignés comme violents. Alors que toutes violences confondues ils en sont les premières victimes.
Face à une pensée présentée comme indiscutable (donc unique), il n’est pas seulement utile de mener une controverse: c’est une nécessité vitale. La controverse a toujours existé. Par exemple celle de Valladolid en 1550 et 1551, de célèbre mémoire, débattait de la question de la bonne manière de se conduire avec les indiens d’Amérique du sud et centrale.
Pour la chanteuse, la femme n’est pas forcément l’avenir de l’Homme. D’ailleurs qui croit encore cela aujourd’hui? En particulier quand on sait par exemple que rien qu’à Genève 23% des auteurs connus de violence sont des femmes? Une sur quatre: c’est loin d’être anecdotique. Les hommes n’ont rien à leur envier à ce point de vue (heureusement il y a bien d’autres raison d’aimer les femmes et de les trouver admirables). Je rappelle ici l'existence du centre pour hommes battus Pharos, à Genève, dont j'ai parlé précédemment.
Zemmour. Avec un Z comme Zorro. Il a pris du coffre sur Infrarouge. Il parle avec une force et une précision que je ne lui connaissais pas. Il tient son sujet et cloue le bec à ses contradicteurs. Fait remarquable, même Esther Mamarbachi n’arrive pas à le couper! Au fait, j’ai déjà vu Infrarouge mieux inspirée côté invités. Ceux-ci ont déroulé le tapis rouge au polémiste en n’étant simplement pas à la hauteur.
Nos cousins du Québec le prononcent «ta-barre-naque». C’est un juron. Il signifie enfant de chienne ou putain de merdre. On y décèle une pointe d’étonnement. J’en use ici pour teinter d’une touche de deuxième degré l’objet singulier que je propose.
En conclusion temporaire, je propose deux pistes pour contrer la mise en accusation systémique des hommes. La première piste assimile le féminisme à un système de penser binaire proche de la pathologie par la disproportion de la posture victimaire en regard des correctifs sociaux légitimes. La colère de ces femmes et de ceux qui, comme les LGBT, se soumettent à leur idéologie, peut davantage être assimilée à celle des Gorgones, êtres malfaisants de la mythologie grecque.
En citant un extrait de Valérie Solanas je suis resté très discret sur sa personnalité et ce qu’elle représente dans le mouvement féministe de l’époque. Certains pensent qu’elle était un cas isolé, victime d’un trouble psychiatrique. Je pense qu’au contraire elle a été une icône et que l’on peut parler d’un avant et un après Solanas dans le féminisme américain. On ne peut comprendre ce féminisme lesbien, vindicatif et expansionniste sans mentionner Solanas.
Le discours de reproches et de revendications a aussi des racines plus anciennes. Il y eu des raisons de corriger les effets néfastes de la révolution française et du code Napoléon, qui avaient placé les femmes en sujétion sociale. Mais cette correction et le retard à leur accorder le droit de vote expliquent-ils à eux seuls la violence du discours sur les hommes et la société, telle que décrite précédemment?
Qui connaît ces paroles de chanson: «If I have to, I can do everything. I am strong, I am invincible, I am Woman». Ce qui donne en français: «S’il le faut je peux tout faire. Je suis forte, je suis invincible, je suis Femme». C’est une partie du refrain d’une chanson d’Helen Reddy, «I am Woman».
Un américain a créé un site internet de rencontres un peu particulier. Les clients sont d’un côté des hommes aisés financièrement, quadra ou quinqua, et de l’autre des étudiantes qui souhaitent boucler un sac Vuitton plutôt qu’un porte-document Monoprix.
Les leaders de la cause des femmes luttent toujours contre les stéréotypes qui discrimineraient celles-ci par rapport aux hommes. Pourtant elles-mêmes ne cessent de créer de nouveaux stéréotypes de genre, comme si le stéréotype était un support de communication. Doit-on dès lors vraiment lutter contre les stéréotypes? Ne serait-il pas plus réaliste, si l’on admet que le stéréotype est un modèle pédagogique, de l’admettre, le comprendre, et d’en finir avec le débat victimaire?
Retour hier soir d’une journée à Lyon. Je traverse la gare et passe par la galerie marchande pour remonter vers l’arrêt du tram 15. Un escalator permet d’y accéder. Devant moi un couple dans la vingtaine.
Etonnante l’insistance mise à survaloriser les filles tout en exigeant qu’il n’y ait aucune différence filles-garçons. Ce n’est pas l’égalité qui se joue là. Parce que si c’était l’égalité, l’administration de la Ville de Genève se serait bien gardée d’infliger un tel camouflet aux filles ce samedi 8 mars.
L’Ukraine n’a pas que des révolutionnaires nazis dans sa panoplie d’Etat européen moderne. Elle a aussi les Kinder surprise. Et pas n’importe lesquels: les Kinder exclusivement pour les filles! Comment, vous n’avez pas vu cette campagne?
La société de complémentarité est suspectée d’encourager à l’inégalité des sexes parce qu’elle favorise des stéréotypes ou des modèles de comportements fixes et cloisonnés. Dans l’imagerie dominante matraquée depuis quelques années, une femme ne pourrait être autre chose que mère et boniche, un homme que héros et maître absolu. Quelle imagination! L’univers manichéen et simpliste de la bande dessinée est entré dans la sociologie.
La question est pertinente. Urgente même, sans quoi le risque d’extinction de l’espèce nous guette. Cette question fait le pendant du titre d’un livre pour enfants: «Zazie a-t-elle un zizi?», que Sylvie Neidinger mentionne sur son billet du jour.
Deux jours en Valromey, dans le Bugey, entre le Grand Colombier et Hauteville-Lompnes. Ici s’entrelacent forêts, pâtures, et rivières bordées de hauts buis et de rocs moussus et magiques. Les elfes sont là, me dit-on.