Ça alors! Notre championne nationale au sourire Colgate n’est pas une gentille fille. Elle tape. Et pas que la balle. Elle aurait frappé son mari. La Tribune de Genève nous en dit un peu plus.
violence conjugale - Page 2
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Martina Hingis ne tape pas que dans la balle
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Hommes battus: Amnesty reconnaît enfin la gravité du problème
Un article d’Amnesty Suisse pose enfin crûment la réalité. Sa branche belge, et dans une mesure sa branche française sont absorbées par des féministes misandres. L’article que je mentionne ci-dessous montre à quoi ressemble la réalité quand elle n’est plus contaminée par le féminisme.
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Les femmes et les enfants d’abord
La différence biologique reste selon moi normative des places respectives des femmes et des hommes. On peut dire qu’il y a une référence spécifique à chaque sexe. Elle a donné lieu à l’adage: «Les femmes et les enfants d’abord». Il y a là une idée qui spécifie une attention différente accordée aux deux sexes. Le but en est est la préservation et le bien-être de l'espèce. Préserver les femmes c’est assurer une descendance nombreuse qui assure la survie du clan ou de la famille.
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Selon la Convention d’Istanbul, les femmes sont mentalement handicapées
Dans cette époque où la déraison l’emporte de plus en plus, y a-t-il encore des élus qui pensent? Je crains que dans certains domaines on n’en trouve plus. La pensée unique continue à ravager l’intelligence européenne et à gangrener ses élites. C’est une catastrophe intellectuelle aussi grave que celle qui a mené à la seconde guerre mondiale.
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Loi de genre en Suisse: un poignard dans la démocratie
La Suisse veut donc ratifier le protocole d’Istanbul sur la violence faite aux femmes, suivant en cela les lobbies ultra féministes. Cette convention «sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique est la première à prévoir, au niveau international, une protection des femmes contre toutes les formes de violence, y compris les violences domestiques.»
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La violence domestique n’est pas une préoccupation
L’enquête de la Tribune de Genève parue samedi 29 juin dans l’édition papier présente le constat du sentiment d’insécurité vécu par des citoyennes et des citoyens. Il s’agit de chiffres subjectifs, sans représentativité exacte des différents groupes sociaux ni analyse détaillée de l’insécurité et de la violence. Ils ont cependant l’avantage de dresser un tableau des risques identifiés comme réels dans notre environnement immédiat. Ces risques on pu être vécus, ou rencontrés par des proches, ou rendus très présents à l’esprit part leur degré de dangerosité.
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La violence domestique entre femmes
A Zürich une campagne d’affichage cantonale interpelle sur la violence dans les relations homosexuelles féminines. Le sujet est peu connu car relativement peu étudié et documenté en Suisse et en Europe. Selon l’organisme zürichois de conseils et de consultations pour les femmes victimes de violence, 25% des femmes en relation homosexuelle en souffriraient.
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Comment le 8 mars devint une journée fun
Un certain 8 mars du XXIe siècle, il fut décidé de parler d’autre chose. A force de jouer les infirmières de causes ne touchant que 1 ou 2% de la population le soufflé retombait. Les professionnelles de la braderie annuelle du 8 mars virent que la posture victimaire prenait l’eau. Le "Bon Marché" idéologique avait de la concurrence. Dans un siècle de victimes il fallait retrouver des valeurs drôles et positives pour faire le buzz.
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Violence domestique: la bataille perdue du décervelage (2e partie)
Alors que la majorité des hommes ne voit pas encore ce qui se met en place sur son dos, Madame le Ministre français des droits des femmes annonce un plan d’enfer pour éradiquer le sexisme et la violence faite aux femmes. Le gouvernement a suivi un séminaire sous la houlette d’un ministre ouvertement communautariste. Mais si le clan de Madame Vallaud-Belkacem gagne temporairement les deux batailles de la politique et des médias, elle n’en fait pas moins fausse route, et ces victoires cachent mal un naufrage idéologique. Je suis d’ailleurs étonné qu’il n’y ait pas plus de voix pour soulever les incohérences de la situation.
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Violence domestique: la bataille perdue du décervelage (1)
La vidéo en fin de billet est un choc. Elle illustre pourquoi, à l’heure actuelle, les hommes ont perdu la bataille. La bataille médiatique est perdue. La bataille politique également. Le décervelage bat son plein. Les hommes sont mis à genoux. Absents du discours social en tant que victimes de violence. Le stéréotype est installé.
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Lyon: des féministes sabotent une conférence sur les hommes battus
J’ai parlé il y a quelques temps de la seule conférence sur les hommes, en l’occurrence les hommes battus, dans le cadre de la quinzaine de l’égalité Rhône-Alpes. J’avais mentionné comment le groupe organisateur avait été boycotté dans le programme alors même qu’il avait été accepté et même petitement subventionné dans cette manifestation organisée par des élus régionaux.
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Les femmes: moins violentes que les hommes?
Une étude récente fait apparaître la dissymétrie sexuelle massive de la population carcérale en France. Les femmes ne représentent que 3,4% de l’ensemble des personnes emprisonnées. En Suisse le pourcentage est légèrement plus élevé: 7,8% des personnes ayant subi une peine d’incarcération selon les statistiques de 2010. Soit environ une femme pour douze hommes.
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Hommes battus: comment les aider?
Si comme on le dit les gens heureux n’ont pas d’histoire, alors les hommes sont très heureux. Surtout le membres du GES, le Groupe d’Etude sur les Sexismes. Car non seulement ils n’ont pas d’histoire, mais il semble que c’est l’Histoire qui se refuse à eux.
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Roger Moore battu par ses femmes
Bon sang! Voilà qui va encore mettre à mal le stéréotype mâle. La domination masculine descend un peu plus du piédestal où la Féminista l’avait déposée. Horreur! Malheur! Pas lui! Pas James Bond. Et bien si: lui, James Bond, homme battu. Selon ses propres dires - et il faut garder avec les hommes la même circonspection qu’avec les femmes: tant que rien n’est démontré on n’en sait rien. Mais après tout on donne bien la parole à Sandrine Salerno. Pourquoi pas à James Bond?
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Violence conjugale: nouveaux chiffres, nouvel enfumage
Comment s’y prendre pour enfumer le pays? Par le bluff. Commençons par les titres de quelques quotidiens français. Le Monde: «Violence conjugale: le 3919 a traité 42 140 appels en 2011». Il précise: «La majorité des coups de fils pertinents concernaient directement des cas de violences conjugales, le reste portant sur des demandes d'information ou d'autres violences.»
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France: les harpies de la Féminista se déchaînent
C’était prévisible: l’élection de François Hollande, le commis des groupes féministes radicaux, et la mise en place de son gouvernement Javel, va faire se déchaîner la Féminista. Et cela commence tout de suite. Les mecs, cette fois réveillez-vous et ne vous laissez pas faire.
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Organiser la condition masculine
Les candidats à la présidentielle française tiennent un discours univoque sur les relations hommes-femmes. Tous ne parlent que de violence faite aux femmes en les mentionnant comme seules victimes et proposent de renforcer les lois destinées à les protéger. Aucun politique n’ose un discours différent, comme si ce thème ne souffrait aucun débat.
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L’esprit marqué
Certains événements marquent plus que d’autres. Ce n’est pas seulement leur imprévisibilité qui leur donne un caractère spécial. C’est une addition d’éléments qui frappent notre esprit sans qu’il puisse rapidement digérer ou classifier ce qui se passe.
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Si ce n’est toi - 6 et fin: back to basic
J’ai abordé ce thème de la domination masculine de manière complémentaire à mon livre. Toutefois le sujet est loin d’être épuisé et des questions restent. La première: pourquoi critiquer le féminisme radical, ou extrémiste? Parce que ses thèses ont contaminé les universités, les tribunaux, les médias, et instauré le grand stéréotype de l’homme violent, dominateur et esclavagiste. Parce que la culpabilisation des hommes dans leur ensemble a assez duré et produit des dégâts. Parce que l’image victimaire de la femme véhiculée par ce courant est particulièrement dénigrante pour nos compagnes.
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Si ce n’est toi (2): le syndrome du couple Cohen
Personne ne doit se laisser maltraiter. La maltraitance, la violence, sont des perturbations relationnelles sans issue autre que la souffrance et à terme, la mutilation physique ou morale, voire la mort, de la personne visée. Avec ou sans aboutissement fatal il y a toujours pour la victime une forme d’exclusion, un refus de son existence pleine et libre.