Un récent colloque sur ce thème concluait que la presse ne sait pas la raconter. Les journalistes manqueraient d’instruction sur ce terrain. Et de recommander de les former entre autres par des ateliers d’écriture obligatoire.
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Un récent colloque sur ce thème concluait que la presse ne sait pas la raconter. Les journalistes manqueraient d’instruction sur ce terrain. Et de recommander de les former entre autres par des ateliers d’écriture obligatoire.
Je suis surpris par le dernier billet (lien ici) du blogueur Didier Bonny. Je pourrais répondre sur son blog car j’ai eu l’occasion de constater par moi-même qu’il est toujours ouvert au dialogue, courtois et qu’il ne refuse pas la confrontation des idées.
Le singe se nomme Daisy. Il n’a rien de la fiancée de Donald. C’est un singe blond. Un singe blond? Où ça où ça? En Grande-Bretagne. Le Brexit ne nous épargne hélas pas ce genre d’exportation numérique.
On se souvient peut-être du jugement rendu en première instance à Tours: un sexagénaire avait obtenu l’autorisation de mentionner neutre sous la rubrique sexe. La décision vient d’être cassée en appel.
« La Terre n’appartient pas à l’Homme, c’est l’Homme qui appartient à la Terre ». Cette phrase attribuée au chef indien Seattle, de la tribu Suquamish, a été l’une des balises philosophiques de ma jeunesse.
Ainsi Jacques Brel a été convoqué ce matin aux Invalides. Ce ne pouvait être plus symbolique. Dans l’état où il doit être aujourd’hui il n’a rien à envier aux clients du Petit Cambodge. Les morts enterrent les morts.
Je parlais hier de la journaliste Eugénie Bastié. Je lui cède ma plume pour quelques lignes. Ce sont quelques extraits d’un article du 29 août dernier publié dans le Figaro. Elle y résume quelques clés du livre du juriste et philosophe Drieu Godefridi, La loi du genre (Les Belles Lettres, Août 2015). L’article entier est ici.
Un français de 64 ans vient d’obtenir par jugement le droit de mentionner sexe neutre à la place de sexe masculin. Le jugement a été prononcé par le tribunal de grande instance de Tours.
Je retiens trois choses de la mini-polémique autour du Conseiller d’Etat Luc Barthassat sur le blog de Sylvain Thévoz. La première concerne la vie privée et familiale des personnalités publiques. La deuxième a trait au modèle socialiste de M. Thévoz. La troisième à la duplicité de l’auteur de cette polémique en période électorale.
Voici deux pistes complémentaires au décryptage commencé hier. D'une part il est possible que la forme épicène (doublement sexuée) du langage soit déjà en perte de vitesse. Quant à la grammaire française, la qualifier de sexiste est un mauvais procès d’intention.
Ce clip illustre la moderne confusion du sens. En voulant discriminer sans discriminer il annule son propre projet. Prisonniers de la politisation du langage, ses auteurs ont livré un produit très étrange.
Articles dans la presse, débat sur la RTS 1ère: le nombre de postulantes au corps de police dépasse celui des candidats hommes, en particulier dans le canton de Neuchâtel. S’agit-il d’une féminisation et faut-il en penser quelque chose?
«Préserver les acquis» est une expression que l’on entend souvent dans le discours des syndicats ou de la gauche en général. Il s'agit alors des acquis sociaux. C’est aussi un mot d’ordre fréquent dans le discours féministe ou écologiste. Préserver, conserver: on est dans une forme de conservatisme.
La nouvellement promue ministre de l’Education Nationale est probablement le membre du gouvernement qui déclenche le plus la polémique. A cause de ses positions sur l’idéologie du genre en particulier. L’un après l’autre les ministres de l’éducation provoquent le pays sur un thème très sensible: le formatage des têtes encore disponibles des enfants.
La preuve par l’absurde.
Je parlais hier des Pink zones et des routes peintes en roses. Si l’on veut faire des zones et des routes rien que pour les filles, des routes où les hommes seront exclus à certaines heures, il faut mettre en place des zones et des routes bleues, rien que pour les garçons. Des routes et des zones dont les filles seront naturellement exclues.
Venons-en aux places roses. Cette fois des gouvernements sont pris en flagrant délit de sexisme aggravé! A moins que cela ne soit la démonstration de la différence irréductible entre les hommes et les femmes, celles-ci ayant besoin d’être protégées. On revient aux réalités d’antan.
En ce temps-là tout semblait possible. Une simple décision, et l’on devenait femme, ou homme. Certains se demandaient même pour quoi se limiter aux humains. L’identité de genre n’étant présentée que comme un fait anodin construit par la société, d’autres challenges plus excitants pouvaient être posés.
Dans mon billet d’hier je souriais en montrant dans une vidéo quelques images de cette campagne américaine, ainsi que de son impact sur des hommes. J’était aussi étonné de voir des femmes et des hommes perdre à ce point toute fierté personnelle dans leur prise de position.
«L'image de la femme, franchement elle en prend un sale coup!»
Cette remarque reçue sous mon billet d’hier propose un autre angle de vue. Le travestissement d’hommes en femmes n’est pas nouveau. Il correspond à un besoin de découvrir l’autre et à s’exiler de soi-même. Pourquoi pas? Aujourd’hui on en a presque l’habitude. De «La Cage aux Folles» aux Drag Queen, la liste est longue.
La victoire du transsexuel autrichien à l’Eurosong est présentée ce matin comme un message contre l’homophobie. Je ne savais pas que l’Eurosong était une tribune politique et que c’était l’objet du vote.