Oui, on peut dire que certaines représentations sont sexistes misogynes. Une image de femme dénudée sans rapport avec le produit présenté en fait possiblement partie. De même une image d’homme dénudé posant pour un parfum ou des chaussettes peut être considéré comme sexiste misandre. Le clip de Roxy en 2013 peut être classé dans les premiers.
société - Page 33
-
Roxy Pro : surfeuse, clip et polémique
-
A quand un poème de Michelle pour Boko Haram?
L’enlèvement des lycéennes nigérianes a soulevé une vague de protestations dans le monde entier. Même Michelle Obama s’y est mise. Bon, elle n’a pas fait ça avec une pancarte: «Tibet libre»! Boko Haram c’est quand-même moins risqué. On a la compassion qu'on peut.
-
Le 16 mai: soulevons les jupes!
Avant de faire un aveu terrible, cette information: en France une initiative lycéenne a été reprise par l’Académie de Nantes et par le Ministère de l’Education nationale. Elle invite les lycéens à porter une jupe et du rouge à lèvres le 16 mai, pour, selon eux, «lutter contre les discriminations sexistes».
-
Travesti d’Eurosong: le rêve d’Icare
«L'image de la femme, franchement elle en prend un sale coup!»
Cette remarque reçue sous mon billet d’hier propose un autre angle de vue. Le travestissement d’hommes en femmes n’est pas nouveau. Il correspond à un besoin de découvrir l’autre et à s’exiler de soi-même. Pourquoi pas? Aujourd’hui on en a presque l’habitude. De «La Cage aux Folles» aux Drag Queen, la liste est longue.
-
Eurosong: l’homme est une femme comme les autres
La victoire du transsexuel autrichien à l’Eurosong est présentée ce matin comme un message contre l’homophobie. Je ne savais pas que l’Eurosong était une tribune politique et que c’était l’objet du vote.
-
Les raisons d’une critique (6 et fin): le Peuple des mâles
En conclusion temporaire, je propose deux pistes pour contrer la mise en accusation systémique des hommes. La première piste assimile le féminisme à un système de penser binaire proche de la pathologie par la disproportion de la posture victimaire en regard des correctifs sociaux légitimes. La colère de ces femmes et de ceux qui, comme les LGBT, se soumettent à leur idéologie, peut davantage être assimilée à celle des Gorgones, êtres malfaisants de la mythologie grecque.
-
Les raisons d’une critique (5): le vide masculin
Attaquer le patriarcat c’est attaquer les hommes. L’évidence est cinglante. Il n’y a à ce jour aucune critique raisonnable du patriarcat qui n’attaque frontalement l’attitude de supposée domination masculine, mettant tous les hommes dans le même sac, et posant les femmes en victimes universelles. La mise en accusation des hommes est indispensable dans le système de penser binaire du féminisme.
-
Les raisons d’une critique (4): procureures et chiffres
Nous avons vu que la violence de genre est la racine profonde, essentielle, permanente de l’idéologie. Les termes employés en 2014 ne diffèrent pas de ceux des années 1970. Il est toujours question de supposée suprématie masculine, de privilèges patriarcaux, de domination et d’oppression masculine, de solidarité entre femmes contre l’oppresseur.
-
Raisons d’une critique (3): le mâle est (dé)fait
En citant un extrait de Valérie Solanas je suis resté très discret sur sa personnalité et ce qu’elle représente dans le mouvement féministe de l’époque. Certains pensent qu’elle était un cas isolé, victime d’un trouble psychiatrique. Je pense qu’au contraire elle a été une icône et que l’on peut parler d’un avant et un après Solanas dans le féminisme américain. On ne peut comprendre ce féminisme lesbien, vindicatif et expansionniste sans mentionner Solanas.
-
Les raisons d’une critique (2): femme libérée
Le discours de reproches et de revendications a aussi des racines plus anciennes. Il y eu des raisons de corriger les effets néfastes de la révolution française et du code Napoléon, qui avaient placé les femmes en sujétion sociale. Mais cette correction et le retard à leur accorder le droit de vote expliquent-ils à eux seuls la violence du discours sur les hommes et la société, telle que décrite précédemment?
-
Les raisons d’une critique (1): «Invincible»
Qui connaît ces paroles de chanson: «If I have to, I can do everything. I am strong, I am invincible, I am Woman». Ce qui donne en français: «S’il le faut je peux tout faire. Je suis forte, je suis invincible, je suis Femme». C’est une partie du refrain d’une chanson d’Helen Reddy, «I am Woman».
-
Le concept d’égalité appliqué aux urinoirs
Que lis-je ce matin sur le blog de Julie? Que nous ne sommes pas tous égaux. Patatras! La nouvelle tombe ainsi à l’aube du 1er mai. Cette n’est pas due au hasard: nous ne sommes pas égaux devant le boulot. Ecrit dans sa lumineuse encre bleue, l’information est encore plus cruelle qu’un jour de printemps sans soleil.
-
Inégalité salariale, caquets et accidents professionnels: nouvelles du front
Les femmes devraient faire très attention en allant travailler. Elles s’exposent à de graves conséquences: les accidents du travail. En 10 ans en France, 23% de plus de femmes sont victimes de ces accidents, alors que l’on a constaté une diminution de 20% chez les hommes.
-
Mariage gay en France: désillusion?
L’excellent magazine en ligne et papier Causeur a fait un premier bilan du mariage homo un an après son instauration en France. Il rappelle d’abord que le mariage gay a aboli le droit fondamental et anthropologique à une double filiation paternelle et maternelle. Puis l’auteur, Pascal Bories, livre quelques chiffres et observations.
-
Mesdames, serrez les cuisses!
Ou alors, si vous les écartez, assumez-en les conséquences. Car l’écartement des cuisses en public pourrait être ressenti comme une sollicitation sexuelle. C’est du moins ce qu’affirme une sexologue et psychiatre suisse dans le Matin de samedi. Elle commente une campagne agressive sur un comportement masculin, lancée en Turquie par des féministes sur le thème: «Serre les cuisses» et «N’empiète pas sur mon espace».
-
La performance de la pondeuse nue
Cela se passe à Cologne, en Allemagne, lors d’une foire d’art. Une dame est nue sur des praticables. Elle se nomme Milo Moiré. Elle est «performeuse». Entendez par là qu’elle fait de l’art en direct, devant du public. D’accord, le mot «art» est ici peut-être excessif ou inapproprié.
-
Jennifer Connelly
L’actrice américaine joue la femme de Noé dans le film qui sort ces jours. Dans la vie elle est mariée depuis 11 ans à Paul Bettany, acteur et metteur en scène. Elle est mère de trois enfants. Le Matin d’hier propose une interview de cette actrice atypique. En voici des extraits.
-
La provocation de Rémy Gaillard
Il y a de la bagarre dans l’air! Jusque là j’ignorais qui est Rémy Gaillard, quand j’ai découvert la vidéo qu’il a posté et qui a fait plus de 3 millions de vues. Rémy Gaillard est un humoriste. La vidéo qu’il a postée, intitulée «Free sex», est provocatrice et éventuellement amusante. Ce n’est pas mon humour mais chacun le sien.
-
Autres moeurs: la drague féminine
Cette fois une femme fait les avances. C’est une mise en scène. Caméra cachée, elle aborde des hommes pour leur demander une gâterie, un tour chez elle, un...vous voyez? Son but: montrer en l’inversant ce que peut faire ressentir la drague masculine. L’idée d’inverser les rôles est souvent intéressante. Surtout qu’elle n’est pas vraiment dans les moeurs. Enfin, pas de la même manière.
-
Doa Aswad, 17 ans, 7 avril 2007
Il y a juste 7 ans une mort des plus cruelles a été médiatisée sur la toile. C'était une lapidation filmée, la lapidation de Doa Khalil Aswad. Elle avait 17 ans. Ses bourreaux ont filmé sa mort avec des téléphones portables et on publiée la mise à mort sur le net.