Isabelle Alonso est une des fondatrices des Chiennes de Garde. Elle est interviewée dans la Tribune de Genève à propos de la sortie d’un ancien roman réécrit, «Roman à l’eau de bleu». C’est une fiction où les femmes prennent le pouvoir sur les hommes. Pour mémoire Isabelle Alonso, en vraie dominante, disait sur un plateau de la télévision suisse romande comment les hommes devaient se comporter, qu’ils devaient pleurer, bref elle formatait les hommes selon sa volonté. La prise de pouvoir sur les hommes elle connait bien. Une vraie pro.
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Violence féminine: Isabelle Alonzy Alonso ne savait pas...
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Le grand retour de la séparation des sexes?
La liberté et l’égalité sont deux notions différentes et parfois opposées. La liberté engage d’abord l’individu: il est libre dans ses actions politiques, économiques ou culturelles, et dans ses opinions. L’égalité, elle, engage la société dans la place donnée aux individus, comme l’égalité devant la loi ou l’égalité des chances indépendamment de notre origine sociale.
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Contre les grincheuses: pour la liberté en publicité
L’affaire de la publicité pour le Jura, qui n’en est pas vraiment une, à peine une averse dans un verre d’eau, sert visiblement des intérêts divergents. Des intérêts antinomiques dont on connaît les uns - faire connaître un produit - mais moins les autres: instaurer une police de la pensée autour de tout ce qui concerne les femmes.
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Faire l’amour avec le Jura...
« Manier les mots, les soupeser, en explorer le sens, est une manière de faire l'amour... » écrivait Marguerite Yourcenar. La pub qui fait polémique sur le Jura pourrait répondre à cette réflexion de l’écrivain. Mais ici il y a le ton, et la voix féminine. Pour certains et certaines cette pub serait sexiste. «Une nouvelle fois, c'est le signe qu'on utilise le corps des femmes pour vendre n'importe quoi», pleurniche la cheffe grognon d’Oser le Féminisme Caroline de Haas.
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La cause des (jolies) femmes
La discrimination va parfois se loger là où on ne l’attend pas. J’espère qu’une association comme «Oser le priapisme» ou «Ni brute ni exquise» fera une manif pour revendiquer l’égalité pour toutes et la fin de cette discrimination odieuse.
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Mélenchon: casser l’entreprise, radio-Féminista, et autres fariboles
Comme je le décrivais hier toute l’attitude politique de Jean-Luc Mélenchon est dans la gueule, la moue, l’agression. Il monte les tours plus vite que son ombre: un vrai casseur à fleur de peau, maîtrisant mal ses nerfs. Un macho caricatural. La France aime les machos, peut-être.
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Organiser la condition masculine
Les candidats à la présidentielle française tiennent un discours univoque sur les relations hommes-femmes. Tous ne parlent que de violence faite aux femmes en les mentionnant comme seules victimes et proposent de renforcer les lois destinées à les protéger. Aucun politique n’ose un discours différent, comme si ce thème ne souffrait aucun débat.
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Avortement (2ème partie): parler en étiquettes
Suite et fin du précédent billet sur les éléments du débat à venir.
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Si ce n’est toi - 6 et fin: back to basic
J’ai abordé ce thème de la domination masculine de manière complémentaire à mon livre. Toutefois le sujet est loin d’être épuisé et des questions restent. La première: pourquoi critiquer le féminisme radical, ou extrémiste? Parce que ses thèses ont contaminé les universités, les tribunaux, les médias, et instauré le grand stéréotype de l’homme violent, dominateur et esclavagiste. Parce que la culpabilisation des hommes dans leur ensemble a assez duré et produit des dégâts. Parce que l’image victimaire de la femme véhiculée par ce courant est particulièrement dénigrante pour nos compagnes.
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Le silence assourdissant de Fanfreluche Trierweiler
Paris Match est un journal qui fait feu de tout bois. C’est son truc. Il y a une clientèle pour. Moi-même il m’arrive de le feuilleter en salle d’attente pour voir le bateau qui coule ou la robe blanche de Pippa (non, seulement la robe; d’ailleurs elle était de face...).
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Si ce n'est toi-5: il faut choisir
Nous avons vu précédemment que le passé a deux visages. Le premier visage, fait de lois supposées conditionner l’ensemble de la société voire de l’humanité, serait celui d’une femme soumise, taiseuse, molle, éventuellement famélique, yeux baissés, obéissante, dépendante, cloîtrée au poulailler-cuisine à pondre ses bébés, en face de laquelle se dresse l’homme grand, puissant, fort, décideur de tout, contrôlant, dur, tyrannique, ne considérant la femme au mieux que comme une servante, au pire comme une esclave. Quelle est la part de névrose dans cette image?
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Salaires féminins: il n’y a pas de discrimination sexiste massive et élevée
La question du jour est: pourquoi annoncer jusqu’à 25% d’écart salarial entre les hommes et les femmes quand le vrai chiffre est de 5% à 7%? Y a-t-il réellement une discrimination sexiste dans les salaires? La femme est-elle «moins chère» que l’homme, comme l’annonce une affiche provocatrice? Non. Les données ci-après concernent la France mais il est probable qu’il en soit de même en Suisse. Le discours sur l’inégalité salariale vient de haut puisqu’il est proféré par une députée, Marie-Jo Zimmermann, membre de la Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes.
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Si ce n'est toi 4: "La femme doit être soumise à son mari"
Cette phrase de la bible sur la soumission de la femme est l’objet de discussions depuis très longtemps. Pour les chrétiens rarement une phrase a été aussi mal interprétée et sortie de son contexte. Il y a même une opposition franche entre la lecture chrétienne et une lecture égalitariste dont s’inspire le féminisme radical.
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Si ce n’est toi (3): le bovarysme de la femme bourgeoise
Pourquoi développer un discours critique sur le féminisme radical alors que de nombreux éléments semblent lui donner raison? La mise en dépendance des femmes par Napoléon 1er était bien réelle. L’homme chef de famille, la femme ne pouvant travailler qu’avec l’accord de son mari, c’était la loi.
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Femmes je vous aime
Dans mon nouveau livre, "Féminista : ras-le-bol !", j'ai repris et réécrit certains textes de mon blog, textes qui côtoient bien les inédits. Ma critique du féminisme extrémiste n'exclut pas l'humour et le second degré. En voici un passage:
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Si ce n’est toi (2): le syndrome du couple Cohen
Personne ne doit se laisser maltraiter. La maltraitance, la violence, sont des perturbations relationnelles sans issue autre que la souffrance et à terme, la mutilation physique ou morale, voire la mort, de la personne visée. Avec ou sans aboutissement fatal il y a toujours pour la victime une forme d’exclusion, un refus de son existence pleine et libre.
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Si ce n’est toi c’est donc ton frère
Depuis quelques décennies on assiste en direct à la naissance d’un mythe. Un mythe aux conséquences ravageuses. Une théorie qui doit être abordée frontalement et demande une nouvelle analyse par rapport à celle, trop systématique et politisée, qu’en avait faite le sociologue Pierre Bourdieu: la supposée domination masculine. L’avenir des relations femmes-hommes, c’est-à-dire la collaboration ou la guerre des sexes, se joue en grande partie sur l’analyse que l’on fait de ce mythe.
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La fin des demoiselles
Et voilà. Sarkozy s’est déculotté. La France a plié devant les femrads d’Osez le Féminisme. Le mot «Mademoiselle» va disparaître. Il serait discriminant. Mais au vrai sens du terme qui est de différencier avec à-propos, non de subordonner. Et c’est normal puisqu’il désigne initialement deux situations sociales différentes, soit le fait d’être ou non mariée. Cela correspondait à un rite de passage social.
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Parution de mon nouveau livre!
Je délaisse momentanément la méditation romantique du Diable en été pour un Essai effronté. Je reviendrai avec un nouveau roman, si tout va bien d’ici l’été. Entretemps au printemps, publication de mon premier album numérique de chansons françaises, latino et world.
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Femmes-Hommes: la différence est-elle une subordination?
Les relations entre les hommes et les femmes est un sujet passionnant et probablement inépuisable. Il revient régulièrement sur le tapis. Les occasions n’y manquent pas. Pas plus tard qu’hier la TSR était épinglée par un blogueur qui trouvait que l’émission Tango est sexiste.