La journaliste qui avait lancé l’expression et hashtag #balancetonporc, Sandra Muller, est aujourd’hui l’objet d’une plainte pénale pour diffamation. De victime elle devient bourreau. En voulant donner l’exemple elle semble en avoir trop fait.
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La journaliste qui avait lancé l’expression et hashtag #balancetonporc, Sandra Muller, est aujourd’hui l’objet d’une plainte pénale pour diffamation. De victime elle devient bourreau. En voulant donner l’exemple elle semble en avoir trop fait.
L’année 2017 est la moins meurtrière depuis 14 ans pour les journalistes professionnels. Selon Reporters sans Frontières 65 d’entre eux sont tombés sur le terrain, principalement en Syrie et au Mexique. 65, dont…
Le président aborde son discours avec solennité. Il dit que la honte doit changer de camp. Il dit même que c’est une honte nationale. Puis il égrène quelques prénoms: Sophie, Anna, Emilie, Fatima, mortes comme 120 autres.
J’en viens maintenant aux deux interventions qui m’ont inspiré la présente réflexion. La première a été publiée sur une page Facebook. On y fait endosser aux hommes dans leur ensemble le double rôle d’agresseurs … et de victimes, eux aussi. Cette deuxième partie commence de manière plus conflictuelle que la première, mais comme vous le verrez c’est nécessaire.
« Je veux jouir sans entraves », « Tout et toute de suite », « Ici et maintenant », « Il est interdit d’interdire »: ces slogans de Mai 68 seront-ils encore célébrés dans sept mois pour les 50 ans des événements? L’affaire Weinstein est-elle le dernier épisode de cette révolution culturelle qui tourne à la débâcle?
La talentueuse championne états-unienne désire courir la descente de Lake Louise avec les hommes en 2018. En 2012 une première demande avait été refusée. Cette fois la FIS (Fédération Internationale de Ski) temporise et se prononcera en mai prochain.
Anciennement, si l’on voulait être accepté dans un groupe, on devait faire preuve de ses compétences, ou de sa volonté d’intégration. Aujourd’hui il suffit de se dire discriminé pour voir une nuée d’angelots en faire une affaire politique.
Jeudi, parc des Bastions. Discussion avec un homme dont j’apprécie la rigueur et la liberté intellectuelles. Nous parlons de thèmes d’actualité, en particulier de l’hystérie anti-raciste qui remplace peu à peu la raison.
Marie-Claire est ce magazine qui a fait de la mode (fringues, strings, colifichets, améliorants d’apparence) une grande avancée féministe. Et qui parfois se pique de culture. Ainsi le film Dunkirk est-il passé sous la plume de la chroniqueuse people Mehera Bonner.
Le débat d’Infrarouge ce soir à 22h30 environ traite du thème du sexisme. J’y participe comme invité. Le terme sexisme est en général associé à misogynie, soit aux discriminations de genre au détriment des femmes.
Quand ce n’est pas une chose, c’en est une autre. Chaque année, voire plus fréquemment, un nouveau thème apparaît. Le harcèlement est sans fin. Entre les attaques de base et celles, secondaires, visant un point de détail du comportement, tout est bon.
Un chercheur suisse a réalisé une étude sur les libellules femelles Æschne des joncs. Il a mis en évidence leur stratégie pour se soustraire aux sollicitations des mâles quand elles sont en période de ponte. Une chroniqueuse canadienne du Journal de Montréal s’est saisie de cette étude pour faire une théorie.
Dénoncer le sexisme de manière unilatérale est à la mode. Cela fait partie de stratégies d’encerclement et de domination des hommes. Dernier exemple en date, les propos d’une directrice de recherche bernoise.
Je parlais récemment de la peur la nuit, femmes et hommes comparés. Je rappelais que les hommes sont davantage victimes d’agressions que les femmes. Néanmoins je tiens compte de ce qu’elles sont en moyenne moins fortes physiquement et moins préparées à se battre, et qu’aujourd’hui elles sont culturellement conditionnées à être victimes.
Lu jeudi 9 mars dans l’édito du Matin: « Les hommes. Ils se sentent à l’aise. Ils n’hésitent pas à prendre la parole. À la couper. Ils ont des théories et des avis. Ils écartent les jambes. Empiètent sur le siège d’à-côté. Ils se sentent légitimes. (scan en pdf ici)
Elle s’est faite une vie après Malibu. Dans la défense des animaux au sein de l’association PETA (People for the Ethical Treatment of Animals) en particulier. Elle a aussi tourné récemment dans un clip de Julien Doré (voir à droite).
Invitée à prendre la parole à l’ouverture d’une conférence, Hillary Clinton a tenu des propos… visionnaires. Ou mieux: de l’ordre de la prophétie. Elle dit l’avenir. À sa manière. Mais que veut-elle vraiment dire?
Récemment sur l’émission C dans l’air, le directeur de l’Express, Christophe Barbier, critiquait la proposition de Jean-Luc Mélenchon: celui-ci ne pourrait pas renflouer les caisses de l’État en augmentant les salaires féminins au niveau des salaires masculins.
Les démocrates n’en ont pas fini de distiller les petites phrases contre l’élu. La dernière en date vient de Bill Clinton. Elle date du 10 décembre et a été publiée le 16. Billy-the-dick était en visite à Pleasantville, non loin de son homeland de Chappaqua.
L’affaire avait fait grand bruit. Les États-Unis, sous le choc, hissaient Jackie au rang d’icône nationale. Puis l’affaire s’était dégonflée. Elle a trouvé récemment son épilogue.