Le français est paradoxal et surprenant. Quand on dit: «la» femme, cela veut souvent dire «les» femmes. Ce singulier est pluriel. Sauf dans un roman où «la» femme est une femme particulière de l’histoire. Inversement, dire «les» hommes veut, en l’absence de toute autre précision, dire «l’Homme». Paradoxal, non?
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La femme quantique et Radio Mékong
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Un couple lesbien fait changer le sexe de son garçon
Le Daily Mail rapporte l’information: un couple de lesbiennes de Californie a décidé de faire changer de sexe à son garçon adoptif de 11 ans. Thomas, qui se fait désormais appeler Tammy, prend un traitement d’hormones depuis l’âge de 8 ans pour retarder sa puberté et le préparer à l’opération chirurgicale.
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Langage bisexuel: le massacre de la langue
Veut-on flinguer l’envie de lire? Dégoûter définitivement les jeunes générations? Ou est-ce une critique subliminale, une dérision de second degré? En tous cas on peut se demander pourquoi l’humanité est sortie du borborygme et du feulement ou du cri rauque. Pourquoi elle a passé des dizaines de milliers d’années à élaborer un langage complexe et brillant.
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L’auteuse, la novlangue et le langage sexué
Georges Orwell avait inventé la novlangue dans son roman 1984. La définition de novlangue proposée par wikipedia est explicite: «Simplification lexicale et syntaxique de la langue destinée à rendre impossible l’expression des idées subversives et à éviter toute formulation de critique (et même la seule « idée » de critique) de l’État.»
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Le fondement de la domination féminine
Pavlov, vous connaissez. Celui qui nourrissait son chien. Ou ne le nourrissait pas, c’était selon. Maltraitance? Non: expérience scientifique. Les jours où il le nourrissait, juste avant, il le conditionnait par des stimuli puis recueillait la salivation de la bête.
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Les hommes plus sensibles que les femmes?
«Très souvent je pense comme un mec. Je trouve les hommes beaucoup plus sensibles que les femmes».
Qui donc a dit cela? Une grande philosophe des temps modernes. Non ce n’est pas la cousine jalouse de Simone de Beauvoir. Ni l’éditorialiste de Cosmo ou une pigiste de Elle. Encore moins la PDG de «Ni flûte ni cerise».
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Pourquoi les hommes ont-ils été dévolus à la guerre?
Cette question n’est pas souvent posée. Pourquoi sont-ce les hommes plutôt que les femmes qui font la guerre? Il y a eu des femmes soldates, chez les Celtes par exemple. Et actuellement en Israël. Mais ce n’est pas la généralité. Les hommes se sont spécialisés pour faire la guerre. Quelle histoire!
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Si ce n'est toi 4: "La femme doit être soumise à son mari"
Cette phrase de la bible sur la soumission de la femme est l’objet de discussions depuis très longtemps. Pour les chrétiens rarement une phrase a été aussi mal interprétée et sortie de son contexte. Il y a même une opposition franche entre la lecture chrétienne et une lecture égalitariste dont s’inspire le féminisme radical.
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Si ce n’est toi (3): le bovarysme de la femme bourgeoise
Pourquoi développer un discours critique sur le féminisme radical alors que de nombreux éléments semblent lui donner raison? La mise en dépendance des femmes par Napoléon 1er était bien réelle. L’homme chef de famille, la femme ne pouvant travailler qu’avec l’accord de son mari, c’était la loi.
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Si ce n’est toi (2): le syndrome du couple Cohen
Personne ne doit se laisser maltraiter. La maltraitance, la violence, sont des perturbations relationnelles sans issue autre que la souffrance et à terme, la mutilation physique ou morale, voire la mort, de la personne visée. Avec ou sans aboutissement fatal il y a toujours pour la victime une forme d’exclusion, un refus de son existence pleine et libre.
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Hommes et femmes: l’asymétrie des sexes
Tout nus, hommes et femmes sont visiblement différents. Habillés aussi: pour la majorité des individus la voix est plus grave et la musculature plus volumineuse chez les hommes. La manière de marcher est plus balancée chez les femmes et plus raide chez les hommes: c’est dû à l’anatomie du bassin et l’implantation des fémurs selon le sexe.
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Le bonheur du sexe
Parler des femmes et des hommes c’est aussi parler de sexualité. Le sexe est un lieu d’intensité relationnelle. Désir, extase et rejet s’y côtoient. Les archétypes y règnent en maître. C’est une matrice réelle et symbolique. Un creuset où naît l’identité de genre et où la relation prend forme.
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Quand un mâle dominant fait fausse route
Continuant ma réflexion et mon travail autour du cancer, en particulier avec un thérapeute, c’est autour du loup que je concentre actuellement mon exploration. Ce loup dont le mode de vie est si intéressant pour nous humains, qui sommes plus près de la meute que de la bande de singes en terme de structure sociale.
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Quand les hommes avaient la belle vie...
Je continue mon périple autour du droit de vote et je reprends ici en le retouchant un commentaire que j’ai laissé sous mon billet d’hier. Je faisais le constat que le vote universel masculin n’est jamais mentionné, celui des femmes l’est. Il y a comme une cécité. Ou comme l’impression que les hommes auraient toujours voté. Ce qui n’est pas le cas. Le vote féminin étant mis en regard de celui des hommes, il faut aussi parler de ce dernier.
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Catalogue humoristique des revendications masculines (sérieux s'abstenir)
Je me suis bien amusé en écrivant mon précédent billet où il est question du gruppetto féministe de la Toison rouge. Le catalogue de revendications est digne d’un sketch. Rien que le mot «revendications»: tout un programme! On n’aspire pas à, on n’émet pas un voeux, on ne se donne pas les moyens de, non: on revendique. Tatatatam! Ce qui suppose un droit inaliénable que les autres doivent impérativement nous donner s’ils ne veulent pas passer pour réactionnaires. Ce féminisme-là est doué pour produire sa propre caricature.
(Cliquer sur les images pour les agrandir)
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Constituante et égalité hommes-femmes: mensonges et pleurnicheries
Je vois que l’on revient de manière insistante sur la supposée suppression de l’égalité hommes-femmes dans le projet de nouvelle Constitution. Plusieurs politiciens et blogueurs y font référence ces derniers jours.
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Violence domestique (3): trouble dans les statistiques
Dans le précédent billet sur ce thème, j’abordais la question du tabou qui entoure la violence féminine. Je rappelle que la question n’est pas d’accuser les femmes dans leur ensemble mais de démontrer que les campagnes sur la violence conjugales sont mensongères, biaisées, teintées de misandrie, et in fine que les groupements féministes qui ont depuis des décennies inspiré ce thème ont tout intérêt à ce que rien ne change et à maintenir la population dans le mensonge des chiffres (c’est le volet armé de la guerre faite aux hommes), dans une relecture historique non objective et en évacuant la notion de nature biologique au profit d’une théorie des genres destinée à semer la confusion (volet politique) et la croyance en l’origine essentiellement masculine de la violence (volet idéologique).
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Violence domestique (2): le clip détourné!
Un grand pas vers l’égalité aura été franchi quand on verra sur les écrans un clip comme celui qui figure à la fin de ce billet, détournement du clip scélérat qui passe actuellement en France. L’une des questions que je pose devant l’unilatéralité des campagnes contre la violence domestique est la suivante: pourquoi la violence féminine est-elle généralement évacuée du champ social et culturel?
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Care: le bonheur obligatoire, ou la progression de l’Etat-Mère
Si vous n’êtes pas encore familier avec le mot «care», c’est de l’anglais. C’est un mot qui a plusieurs sens. On peut citer comme traduction: le soin, la prise en charge, s’occuper, prendre soin de, se charger de, et contient aussi les aides thérapeutiques et plus loin la notion de souci.
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Chiffres de la violence conjugale: Précisions sur le délire féministe et ses motivations
4 femmes en couple sur 5 autour de vous semblent-elles souffrir le martyr, portent des traces de coups sous le maquillage, se plaignent d’être dénigrées, rabrouées, sans argent, totalement dominées, contrôlées toutes les 5 minutes, traumatisées? Avez-vous vraiment le sentiment d’être dans ce monde-là? Comptez autour de vous vos amies, vos proches, vos collègues en couple: 4 sur 5 sembleraient-elles n’être plus que l’ombre d’elles-mêmes?