Il reperd des points de sondage aussi vite que le reflux de la vague. On croirait entendre Edith Piaf: « Emporté par la foule… ». Alors Fanfrelande n’en finit plus de ramer.
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Il reperd des points de sondage aussi vite que le reflux de la vague. On croirait entendre Edith Piaf: « Emporté par la foule… ». Alors Fanfrelande n’en finit plus de ramer.
Pourquoi tant de détestation contre cet homme mythique qui ne fit qu’illustrer la revanche de la nature sur la culture? Aujourd’hui tout serait culturel. Même le sexe. La théorie du genre rejoint en cela, d’une autre manière, les thèses religieuses où la morale gouverne l’instinct.
Une bien jolie ville qu’Angoulême. La Charente y serpente comme un long chat tranquille. Des jardins font plage de ce fleuve sans excès. Aujourd’hui les excès sont dans la ville.
Je conclus sur la thèse « naturaliste » de Peggy Sastre, dans son livre La domination masculine n’existe pas. Le principe initial est intéressant et j’y avais souscris: les comportements humains sont fortement orientés vers la reproduction et donc la survie de l’espèce, et nos comportements en sont encore imprégnés inconsciemment.
On sait que ce genre d’invention est difficile à déceler. Et difficile donc à chiffrer. Il arrive cependant de plus en plus souvent que la police fasse correctement son travail d’investigation. Et que la justice sanctionne.
Quelques tornades brutales ont alimenté la chronique sur le dérèglement climatique en cette fin 2015 aux Etats-Unis. Une série d’orages violents a semé la désolation à une période en principe peu propice à ce genre de monstres météo. Pas besoin de plus pour invoquer un dérèglement climatique catastrophique.
On était préparé. Depuis plusieurs mois et semaines quelques médias l’avaient annoncé. La maladie a eu la peau de Michel Delpech. Il est mort hier à 69 ans. Nostalgie.
Je débute l’année nouvelle par un hommage aux mères, à certaines mères en particulier. J’ai déjà écrit sur l’abnégation d’une mère, lors de la tuerie du Bataclan. Elsa avait alors sauvé la vie de son fils âgé de 5 ans, en sacrifiant la sienne.
Pour les aider à balayer l’année finissante et pour qu’ils se réjouissent de la nouvelle qui vient, voici quelques images qu’ils pourront regarder le soir au fond de leur sous-terrain du désert syrien ou dans leurs salles de réunions des universités américaines. Ou dans le bureau de Najat Vallaud Belkacem. Ils? Qui ils?
La température avoisinait hier le 0° au Pôle arctique. Alors qu’elle devrait être de -40° environ. De quoi faire transpirer les ours qui sautillent d’une plaque de glace à l’autre. Ils sont facétieux les ours: c’est à celui qui tient le plus longtemps sur une plaque avant qu’elle ne fonde. La créativité des plantigrades est illimitée.
La déchéance de la nationalité française fait débat. Un débat qui sert d’écran de fumée au pouvoir car cette mesure est plus symbolique qu’efficace. Elle porte même à humour (noir) si l’on imagine les morceaux de corps des terroristes renvoyés dans leur pays d’origine. Et elle confirme en creux l’importance de l’identité nationale aux yeux de la gauche qui jusqu’alors piétinait cette notion.
Après Lens c’est Béziers qui défraie la chronique. Mais cette fois avec une question plus dérangeante: certains responsables de « l’oecuménisme » entre chrétiens et musulmans sont-ils proches ou affiliés à une mouvance islamiste? Cette question est posée par le Journal de Béziers, édité par la mairie sous la responsabilité de Robert Ménard.
L’initiative a été saluée dans la presse française, dont on sait qu’elle n’est plus réputée pour la pertinence de ses analyses. Devenue simple chambre d’écho, tout ce qui dégouline de guimauve et de bons sentiments fait le bonheur des rédactions. Le pays de Voltaire est devenu celui de Casimir.
Il faut entendre l’accent en néerlandais: Zwarte Piet! Superbe. Ce personnage du folklore est aujourd’hui voué au bûcher. Brûlé sur l’autel de l’antiracisme. A se demander si l’antiracisme d’aujourd’hui ne rend pas idiot. Personnellement je le pense.
Trois femmes pour parler de Noël et de nos racines: Joana, Léa, Natacha. Noël est une des fêtes fondatrices de la culture européenne. L’occasion de dire quelques mots à propos de racines. Les racines? Là d’où l’on vient, par où l’on a pris souche.
Noël 2015 sera l’un des plus chauds connus dans les enregistrements météorologiques. Mais il ne sera pas le premier. Cette année est particulière à cause de la durée de la douceur, commencée en novembre et qui se poursuit toujours dans une large partie de l’hémisphère nord.
En suite de mon précédent billet je propose quelques réflexions plus précises sur cette approche biologique des rôles des femmes et des hommes. Un lecteur a également signalé une interview de Peggy Sastre dans Le Matin de ce jour.
Pour la première fois depuis longtemps je trouve un réel fond à un discours féministe. Il s’agit du féminisme évolutionniste, défendu par Peggy Sastre dans sont récent livre « La domination masculine n’existe pas ».
Polémique artificielle autour de l’élection d’une blanche Miss France, autre polémique cul-cul sur la chemise edelweis. Des pseudo-débats dont la futilité laisse presque penser que nous serions en temps de paix.
Mon précédent billet se terminait ainsi: « Le productivisme présente cette contradiction qu’à la fois il permet la survie de l’espèce dans des conditions inespérées, et la pousse en même temps au bord du précipice de la saturation et de l’insignifiance. » J’en dis un peu plus.