Ça balance pas mal à Paris. L’affaire Hanouna n’en finit pas de faire des vagues. Avec un possible retour de boomerang sur les accusateurs, au vu des derniers développements. Le Refuge en a-t-il trop fait?
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Ça balance pas mal à Paris. L’affaire Hanouna n’en finit pas de faire des vagues. Avec un possible retour de boomerang sur les accusateurs, au vu des derniers développements. Le Refuge en a-t-il trop fait?
La France ressemble par certains aspects à une république bananière. Par exemple: le fait que des députés puissent utiliser à leur discrétion 150 millions d’euros pour subventionner des associations qui ont leur faveur.
En Australie Matilda est un prénom peu fréquent. Pourquoi l’équipe nationale de foot féminin l’a-t-elle pris comme surnom? En mémoire d’une vieille chanson populaire du bush australien, déclinée par de nombreux artistes, Waltzing Matilda. Une chanson du XIXe siècle, aussi importante que l’hymne national.
Tout mène à tout et inversement. Pourvu qu’on ne se pose pas trop de questions. L’Aubainerie, chaîne de magasins de mode au Québec, ne s’en est pas posé. Les Matilda’s non plus.
Cette fin mai rappelle celle de 2003. Alors que la grande manif contre le G8 défilait, après un saccage sans précédent à Genève, les températures maximales commençaient à côtoyer les sommets (image 1 infoclimat.fr, cliquer pour agrandir).
Station de métro Waterloo, Londres, août 2015. L’heure de pointe. Après un repas bien arrosé un procureur et une avocate sont pris d’une envie subite de gros câlin. Sortis du restaurant ils s’adossent à un mur de la station et s’entreprennent mutuellement.
C’est une classe expérimentale dans la ville de Trappes. Ici pas de maîtresse qui impose et sanctionne. Les enfants n’apprennent pas dans la crainte et le stress. Ils apprennent en s’entraidant.
Le point commun entre les deux dirigeants est le recentrage. Emmanuel Macron veut un « Ni droite ni gauche » de rejet, sans ligne très claire. Theresa May assume un « Et droite et gauche » de proposition.
Le tube Femme libérée avait obtenu son succès sur l’intitulé et le refrain et dans une époque propice aux théories féministes de libération, malgré un texte peu intéressant qui pose les femmes (la femme pour les femmes) en victimes et en petites choses fragiles. Ce paradoxe entre le titre et les couplets n’a à ma connaissance pas été souligné.
Le Premier ministre britannique a présenté hier le programme de son parti en vue des élections anticipées du 8 juin prochain. Elle rompt avec l’héritage ultra-libéral thatchérien et entend ce que dit le Brexit.
Le jeune Emmanuel est-il un pion placé là par une savante planification occulte? L’élection de cet hybride mi-gauche mi-droite cache-t-elle la main invisible et l’intention secrète de quelque groupe déterminé à croquer les français tout crus?
Il y avait un manque. Le clitoris est insuffisamment traité dans la plupart des manuels de Sciences Naturelles: dessin incomplet, nom manquant, organe carrément absent. Selon un petit groupe d’enseignants c’est une discrimination.
La presse est supposée relater les événement au plus près de la vérité. Si ce n’était pas le cas elle n’aurait aucune légitimité particulière à en rendre compte sauf à être tenue pour propagandiste.
Les universalistes (mondialistes, déconstructeurs) aimeraient sans doute que les nations n’aient plus d’identité. Les résidents seraient comme des passagers d’une croisière: de simples voyageurs de hasard, sans attache particulière.
Le plus comique en ce moment c’est François Fillon: il refuse de rendre aux Républicains les millions non utilisés de sa campagne. Il est vrai que désormais il doit payer ses costumes lui-même. Mais sourions aussi de cette France aimée, plongée dans son psychodrame quinquenal.
Les comportements sexuels féminins n’ont pas fini de surprendre. C’est un constat, pas un jugement. On reconnaît habituellement aux femmes plus de réserve qu’aux hommes. L’affaire que j’évoque se passe aux États-Unis, dans la petite ville d’Evans, en périphérie d’Augusta en Géorgie.
La République en marche a fait son show hier, avec un succès certain. Une première fournée de 426 candidats prêts à se faire dorer – ou carboniser – en place publique au mois de juin a été présentée. De la jeune pâte bio du jour, pas un vieux grain moulu et vermoulu.
Pourvu que Najat Vallaud-Belkacem soit durablement écartée de la politique. Son séduisant sourire cache une idéologue farouche qui a fait de l’école publique un champ de bataille. Comme d’autres.
La nièce de la Marine nationale se met en retrait de la politique. Elle ira promener son look de rockeuse flamboyante dans le privé et mettre les mains dans le cambouis. Et s’occuper de sa pitchoune de trois ans.
En 1944 il aurait été traité d’hitléro-trotskiste. Et aujourd’hui? Mélenchon est revenu, la bouche pleine de mots. Son silence d’entre deux tours laisse place à une nouvelle logorrhée de conquête.