L’annonce ne trompe pas: il s’agit bien d’un renoncement au programme si contesté imposé aux écoliers du primaire par la ministre féministe Najat Vallaud-Belkacem et le ministre Benoît Hamon. Deux flèches battues en brèches.
Féminisme - Page 17
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A B C D de l’égalité : la France renonce au lavage de cerveau
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Ce monde que nous avons fait ensemble (2)
Oui, bourgeoises qui nous jugez si mal depuis les miradors de vos universités et de vos organisations guerrières, nous avons fait ce monde ensemble. Nierez-vous votre profonde et durable implication dans la culture que nous, hommes et femmes, avons élaborée au cours de l’Histoire? Dans la répartition des rôles qu’ensemble nous avons mise en place? N’était-ce pas pour le bien de notre espèce?
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Ce monde que nous avons fait ensemble
D’aussi loin qu’il me souvienne, nous étions déjà ensemble. Le monde alors était vaste et libre. Les étoiles paraissaient des signes. Quand une terre n’offrait plus assez de nourriture, nous en changions.
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Femme et fière de l’être
Dans mon billet d’hier je souriais en montrant dans une vidéo quelques images de cette campagne américaine, ainsi que de son impact sur des hommes. J’était aussi étonné de voir des femmes et des hommes perdre à ce point toute fierté personnelle dans leur prise de position.
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Tabernacle ! J’ai besoin du féminisme !
Nos cousins du Québec le prononcent «ta-barre-naque». C’est un juron. Il signifie enfant de chienne ou putain de merdre. On y décèle une pointe d’étonnement. J’en use ici pour teinter d’une touche de deuxième degré l’objet singulier que je propose.
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«A Genève, une femme sur trois a subi des violences». Vraiment?
L’article de la Tribune paru sous la plume de Sophie Roselli commence par ce gros titre. J’y rajoute le «Vraiment?» Parce que ce titre alarmiste mérite d’être disséqué. D’abord d’où vient ce chiffre? D’une étude réalisée par un criminologue, Martin Killias. Etude dont je n’ai pas trouvé le détail ni la méthode. Je me baserai ici sur les éléments apportés par le quotidien genevois et sur une autre étude de 2012-2013.
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Des rats et des hommes
Eh bien! Si les rats s’y mettent aussi, les stéréotypes hommes-femmes trouvent un renfort inattendu. Même dans un espace supposé aussi neutre qu’un laboratoire de recherche, les différences de sexes sont une réalité aux conséquences encore difficile à évaluer.
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Ouragans: les prénoms féminins tuent plus!
En novlangue, un constat s’appelle un préjugé. Par exemple, si vous pensez que les chênes sont plus larges que les roseaux, ce n’est pas un fait. Vous avez probablement une préférence pour la solidité légendaire du chêne, alors que la fragilité du roseau vous rebute. C’est donc un préjugé.
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Les raisons d’une critique (7): La troisième mort du père
La première fois le père a été tué symboliquement par le long mouvement qui va des coupeurs de têtes de la Révolution, en 1793, au conflit entre Freud et Nietzsche un siècle plus tard. Décapiter c’est, selon l’étymologie, couper le «chef» (la tête). Donc enlever l’autorité. Ou par extension, contester le phallus, symbole corporel puis culturel de l’homme, «chef juridique de famille» et origine de sa descendance.
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Loi sur la famille (2): polémiques
Un des piliers du projet de loi en discussion en France (voir ici) est l’amende qu’un juge pourra infliger en cas de non-présentation d’enfant. Le montant sera adapté aux circonstances. Le plafond est fixé à 10’000 euros.
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Loi sur la famille: la gauche française devient-elle plus raisonnable?
Depuis aujourd’hui les députés français étudient un nouveau projet de loi sur la famille. Un projet presque miraculeux après les folies du genre et du mariage gay. Le moins que l’on puisse dire est que la majorité socialiste semble revenue à la raison. Mais les attaques des réactionnaires radicales-féministes permettront-elles la mise en place d’une loi bienveillante?
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Roxy Pro : surfeuse, clip et polémique
Oui, on peut dire que certaines représentations sont sexistes misogynes. Une image de femme dénudée sans rapport avec le produit présenté en fait possiblement partie. De même une image d’homme dénudé posant pour un parfum ou des chaussettes peut être considéré comme sexiste misandre. Le clip de Roxy en 2013 peut être classé dans les premiers.
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Le 16 mai: soulevons les jupes!
Avant de faire un aveu terrible, cette information: en France une initiative lycéenne a été reprise par l’Académie de Nantes et par le Ministère de l’Education nationale. Elle invite les lycéens à porter une jupe et du rouge à lèvres le 16 mai, pour, selon eux, «lutter contre les discriminations sexistes».
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Agression LGBT contre une Secrétaire d’Etat socialiste
Hier la Secrétaire d’Etat Laurence Rossignol, chargée de la famille et des personnes âgées, a été agressée à Paris dans le Xe arrondissement. Elle se rendait aux Assises des logements foyers quand elle a été prise à partie sur le trottoir par un groupe de lesbiennes (Oui Oui Oui, Act Up-Paris, Djendeur Terroristas, etc).
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Les raisons d’une critique (6 et fin): le Peuple des mâles
En conclusion temporaire, je propose deux pistes pour contrer la mise en accusation systémique des hommes. La première piste assimile le féminisme à un système de penser binaire proche de la pathologie par la disproportion de la posture victimaire en regard des correctifs sociaux légitimes. La colère de ces femmes et de ceux qui, comme les LGBT, se soumettent à leur idéologie, peut davantage être assimilée à celle des Gorgones, êtres malfaisants de la mythologie grecque.
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Les raisons d’une critique (5): le vide masculin
Attaquer le patriarcat c’est attaquer les hommes. L’évidence est cinglante. Il n’y a à ce jour aucune critique raisonnable du patriarcat qui n’attaque frontalement l’attitude de supposée domination masculine, mettant tous les hommes dans le même sac, et posant les femmes en victimes universelles. La mise en accusation des hommes est indispensable dans le système de penser binaire du féminisme.
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Les raisons d’une critique (4): procureures et chiffres
Nous avons vu que la violence de genre est la racine profonde, essentielle, permanente de l’idéologie. Les termes employés en 2014 ne diffèrent pas de ceux des années 1970. Il est toujours question de supposée suprématie masculine, de privilèges patriarcaux, de domination et d’oppression masculine, de solidarité entre femmes contre l’oppresseur.
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Raisons d’une critique (3): le mâle est (dé)fait
En citant un extrait de Valérie Solanas je suis resté très discret sur sa personnalité et ce qu’elle représente dans le mouvement féministe de l’époque. Certains pensent qu’elle était un cas isolé, victime d’un trouble psychiatrique. Je pense qu’au contraire elle a été une icône et que l’on peut parler d’un avant et un après Solanas dans le féminisme américain. On ne peut comprendre ce féminisme lesbien, vindicatif et expansionniste sans mentionner Solanas.
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Les raisons d’une critique (2): femme libérée
Le discours de reproches et de revendications a aussi des racines plus anciennes. Il y eu des raisons de corriger les effets néfastes de la révolution française et du code Napoléon, qui avaient placé les femmes en sujétion sociale. Mais cette correction et le retard à leur accorder le droit de vote expliquent-ils à eux seuls la violence du discours sur les hommes et la société, telle que décrite précédemment?
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Les raisons d’une critique (1): «Invincible»
Qui connaît ces paroles de chanson: «If I have to, I can do everything. I am strong, I am invincible, I am Woman». Ce qui donne en français: «S’il le faut je peux tout faire. Je suis forte, je suis invincible, je suis Femme». C’est une partie du refrain d’une chanson d’Helen Reddy, «I am Woman».