Interdit aux… aux quoi ?
Interdit aux quoi? Ah ah! Voici une info croustillante qui vaut son poids de gènes Y. À Genève s’est organisée une soirée jazz très particulière. Sa particularité principale?
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Interdit aux… aux quoi ?
Interdit aux quoi? Ah ah! Voici une info croustillante qui vaut son poids de gènes Y. À Genève s’est organisée une soirée jazz très particulière. Sa particularité principale?
Comment l’esprit vint à David Belliard.
Cela s’est passé subitement, pendant une interview radiodiffusée sur Sud Radio. Le journaliste, Benjamin Glaise, en vient à parler des Jeux Olympiques. Jeux salués par les acteurs de la branche du tourisme: 16 millions de visiteurs attendus cet été, deux millions de plus que la moyenne.
Le wokisme, maladie sénile du communisme qu’elle essaie de rétablir par la bande en prêchant un égalitarisme forcené, fait pitié autant que peur. Peur pour la fascisation des esprits, le néoracisme, la violence d’exclusion du différent. Pitié pour la bêtise ou la folie qu’il signale.
Les inclusifs excluent beaucoup plus qu’on n’imagine Mots, fêtes, personnes, tout y passe. C’est la purge du monde occidental. Pour « n’offenser » personne nous devrions éviter de citer la fête de Noël, éviter de mentionner le prénom Maria, et nous soumettre à cette novlangue que des politiciens nous vendent comme le sommet du progrès sociétal.
Qui sont ces étrangers religieux qui soufflent comme des bêtes sur Marne-la-Vallée? Qui s’offusquent dès qu’un téton de femme est visible? Des Sikhs? Des Muslims? Des Shintoïstes? Des Hindouistes? Des Cathos?
Bonne année inclusive aux détériorés, aux restreints, aux étroits, et à tous les offensés du monde moderne. Et il y en a! On a vu précédemment que, pour des universitaires états-uniens, faire un pique-nique est offensant car supposément raciste. À tort, mais peu importe, c’est le progrès, paraît-il.
Contrôler le langage c’est prendre le pouvoir sur les esprits. En France, des pétroleuses en robe, de Bure, l’ont bien compris et pratiquent l’inclusion façon 1984, par l’inversion du sens: l’inclusion c’est l’exclusion.
Ce livre vient à point pour combler une lacune. On parle beaucoup de sexisme, on le dénonce, avec raison mais aussi avec exagération. Et surtout avec omission: on ne parle presque jamais du deuxième sexisme.
Une nouvelle campagne virale se développe aux États-Unis sous le hashtag #WalkAway. En français: s’en aller, partir. C’est une critique et un désaveu du parti démocrate. Elle a été lancée par un coiffeur styliste gay de New York, Brandon Straka.
Disparus! Qui? Les chercheurs. Où? Là, là! Dans la foule, comme Charlie? Vite, cherchons des visages pâlis, des yeux cernés, des lunettes rondes, des cheveux ébouriffés, des blouses usagées. Comme on cherche dans l’image les bandes rouges du pull de Charlie.
Imaginons un instant que la situation soit inversée: le Mexique serait le pays riche, et les États-Unis soient moins développés. Imaginons que tout le sud de ces derniers, en particulier le long de la frontière mexicaine, soit sous la coupe de milices armées au service des cartels de la drogue.
Pour continuer sur le thème de mon avant-dernier billet, je pourrais mettre en question le droit de porter un jugement sur une personne en raison de particularités qu’elle présente.
« La non-mixité choisie, ce n’est pas pour se retrouver entre femmes mais entre personnes socialement dominées et opprimées. Il faut des espaces pour que les dominés puissent prendre conscience ensemble des pratiques d’oppression et s’exprimer, sans la présence des dominants. »
Pour donner suite au débat et sur la notion de discrimination, je propose ici un éclairage juridique. Je rappelle d’abord que cette notion a un sens positif et un sens négatif. De nos jours le sens négatif prévaut dans l’usage médiatique et politique.
Didier Bonny nous rappelle sur son blog que, chaque année, le sapin d’une commune genevoise porte le ruban rouge principalement attribué à la lutte contre le Sida. Cette année c’est le sapin de Meyrin. Même si cela part d'un bon sentiment, je trouve regrettable cet accaparement du sapin pour un seul type de maladie. Si au moins on en changeait chaque année, il y a tant de causes à défendre. Pourquoi uniquement le Sida?
Il y a une semaine c’était au tour des Vegan de défiler dans les rues de Genève pour dénoncer la discrimination dont ils seraient l’objet. La posture victimaire semble encore une fois être le dénominateur commun à tous les mouvements revendicatifs. A croire que nous ne sommes plus qu’une société de victimes qui ne savent que se plaindre, trouver des fautifs et chercher la protection de l’Etat-parent.
Comme le chante Cabrel: «Et ça continue, encore et encore». Ces sempiternelles et stupides accusations sont en passe de devenir l’un des must du politiquement correct. Aujourd'hui c'est Nicolas Bedos la cible.
Par sélectif il faut entendre ici la sélection du sexe de l’enfant. Certaines cliniques anglaises acceptent de pratiquer l’avortement à la demande de parents qui ne veulent pas de fille ou pas de garçon.
Dans les années 1970 les attentats était perpétrés principalement par l’extrême-gauche italienne et allemande. Puis ce fut majoritairement le fait des palestiniens, suivis de l’extrémisme islamiste. Il y a eu aussi quelques agressions antisémites: des attaques contre des synagogues et des profanations de cimetières.
Le billet que j’ai fait sur ce thème il y a quelques jours a provoqué des réactions particulièrement contrastées sur une autre plate-forme où je l’ai passé après l’avoir mis en ligne sur la TdG. Synthèse de la controverse: pour certains internautes il était tout simplement inadmissible, inconcevable d’utiliser la métaphore de l’étoile jaune pour autre chose que la shoah. Pour d'autre, le procédé était légitime.