Alors que d’autres concerts ont été récemment annulés pour raison « d’appropriation culturelle », le Matin Dimanche publie une interview d’un sociologue, Henri-Michel Yéré, sur ce thème polémique.
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Alors que d’autres concerts ont été récemment annulés pour raison « d’appropriation culturelle », le Matin Dimanche publie une interview d’un sociologue, Henri-Michel Yéré, sur ce thème polémique.
Le meeting de Valérie Pécresse dimanche à Paris montre qu’elle a pris quelques conseils de coaching et de pose de la voix. Elle joue au pitbull puis prend des sourires d’ange. Elle a tendance à faire chuter le ton comme une personne déçue.
Dès que l’on choisit d’adhérer à une idée, une parole ou une position, on en exclut d’autres. C’est inévitable. On parle et aux yeux des autres on prend une forme. On rapproche nos propos de telle ou telle mouvement politique, ou telle période historique.
Ce festival reçoit chaque année environ 750’000 spectateurs et visiteurs, dont 80’000 payants. Il se tient sur dix jours pendant lesquels danse, musique, costumes identitaires, langue régionale sont mis en valeur.
Biodiversité, diversité culturelle et ethnique, diversité politique, diversité des choix de vie et des orientations sexuelles: mais pas de diversité linguistique. Enfin pas trop. Par exemple le tilde.
Jeudi, parc des Bastions. Discussion avec un homme dont j’apprécie la rigueur et la liberté intellectuelles. Nous parlons de thèmes d’actualité, en particulier de l’hystérie anti-raciste qui remplace peu à peu la raison.
Le point commun entre les deux dirigeants est le recentrage. Emmanuel Macron veut un « Ni droite ni gauche » de rejet, sans ligne très claire. Theresa May assume un « Et droite et gauche » de proposition.
C’était sur le plateau de L’émission politique Spéciale présidentielle, hier soir jeudi 4 mai sur France 2. Plusieurs personnalités connues ou moins connues s’exprimaient sur le thème de l’identité nationale.
J’aime les paradoxes. Ils ouvrent une porte sur la complexité du monde. Là je suis servi: Macron, sorte de Magic Ken porté par sa Barbie, libéral pur jus, arrive en tête du premier tour en bonne partie grâce aux voix de gauche. Une gauche pourtant très remontée contre le libéralisme.
Je suis surpris par le dernier billet (lien ici) du blogueur Didier Bonny. Je pourrais répondre sur son blog car j’ai eu l’occasion de constater par moi-même qu’il est toujours ouvert au dialogue, courtois et qu’il ne refuse pas la confrontation des idées.
Le parlement français vote donc ces jours la réforme introduisant une forme d’état d’urgence dans la Constitution, ainsi que la possibilité de déchoir un français de la nationalité. Un coup pour rien? Probablement.
Polémique artificielle autour de l’élection d’une blanche Miss France, autre polémique cul-cul sur la chemise edelweis. Des pseudo-débats dont la futilité laisse presque penser que nous serions en temps de paix.
Je parle aujourd’hui d’un autre monde. Il était une fois une époque sans consommation débridée. Une époque où l’on accumulait peu d’objets, où la technologie n’était appliquée qu’à l’essentiel. Où l’humain prévalait sur les distractions, sur l’apparence et sur le spectacle.
Cette campagne si sympa, si fraternelle en apparence, si jolie et successfull, fut en réalité une tromperie. Mais qui pouvait le dire à l’époque? Toute critique aurait été stigmatisée et qualifiée de raciste. Le débat était étouffé et la réciprocité inexistante.
La République ne gomme pas les différences d’origine et d’appartenance. La réalité européenne montre le contraire. Les drapeaux étrangers déployés lors de l’élection de François Hollande disent le contraire.
Les communautés humaines se construisent avec logique et prudence. Comme les enfants elles commencent avec le proche: ce qui est près de soi, avec soi, physiquement. Pour l’enfant ce sont les parents, la fratrie, ou ce qui les remplace s’il est orphelin.
Hors de l’émotion il y a de la place pour réfléchir. L’émotion ne sert que l’immédiat. Elle met en mouvement. Elle n’a pas d’utilité à long terme. Une émotion qui gouverne durablement notre vie est même une forme de maladie.
Binious en tête, drapeaux blancs et noirs gwenn ha du partout, des milliers de bretons - entre 13’000 et 30’000 - ont défilé à Nantes hier. Leur demande: que le département de Loire-Atlantique soit rattaché à la Bretagne.
A Londres, un tableau représentant une femme en partie dénudée est censuré par des femmes. Le monde à l’envers? Ou l’illustration de la tendance puritaine qui s’est développée depuis quelques années, en paradoxe avec la société hypersexualisée qui est la nôtre?
Dysphorie de genre: c’est le terme médical qui définit le sentiment de n’être pas dans le bon corps et d’en vouloir changer. Bien que ce problème soit présenté comme une forme de normalité, dans laquelle il y aurait ni maladie ni asocialité, la définition même comporte un volet pathologique.